Covid-19 : Brigitte Autran la présidente du Comité de veille des risques sanitaires alerte sur une nouvelle vague à l'automne et souhaite "élargir l'accès au Paxlovid"
Covid-19 : pour la présidente du Comité de veille des risques sanitaires, une nouvelle vague à l’automne est « quasi certaine ».
Dans les colonnes du Parisien, Brigitte Autran, présidente du Comité de veille et d'anticipation de tous les risques sanitaires (CVARS) - le nouvel organe qui remplace le Conseil scientifique dissous le 31 juillet - alerte sur le retour du Covid-19. Pour elle « l'épidémie de Covid n'est pas derrière nous » et « il est quasi certain qu'il y aura une vague à l'automne ». La spécialiste de VIH annonce que « le Comité va agir et conseiller le gouvernement […] pour élargir l'accès aux vaccins et aux médicaments efficaces pour éviter les formes graves, comme le Paxlovid ». Brigitte Autran dit ignorer si la future vague sera liée ou non à Omicron mais veut continuer à avancer sur les vaccins qui sont « extrêmement importants ».
Le président des Patriotes n'a pas tardé à réagir : "stop à cette folie !"
Par Alix - 18/12/2025 08:41
Terrorisme : Près de 70% des Français se disent inquiets d’un risque d’attentat en France dans les prochaines semaines, selon un sondage
Selon un sondage CSA pour Europe 1, CNews et le Journal du Dimanche, 68 % des Français se disent inquiets d’un risque d’attentat en France dans les prochaines semaines, un niveau de crainte renforcé par le contexte des récentes attaques ou tentatives d'attaques de marchés de Noël à l’étranger. Cette inquiétude est plus marquée chez les femmes (73 %) que chez les hommes (63 %) et atteint un pic chez les 18-24 ans (83 %), tandis que les 25-34 ans sont les moins préoccupés (57 %). Le sentiment varie aussi selon les catégories sociales et les orientations politiques : il est élevé chez les sympathisants du RN et des Républicains (environ 80 %), plus modéré dans l’ancienne majorité présidentielle, et nettement plus faible chez les électeurs de La France insoumise, dont seuls 33 % redoutent une attaque.
Europe1 / Illustration