En ce moment
Ce soir, au programme nous commençons avec la guerre en Ukraine. Econduit par les Etats-Unis, Volodymyr Zelensky peine à trouver du soutien pour poursuivre indéfiniment sa guerre. Heureusement, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont à cœur de ralentir sa chute.
Au Proche-Orient, la guerre se poursuit aussi au Liban où les Casques bleus font les frais des affrontements.
Et nous reviendrons en France pour faire le point sur les dysfonctionnements de l’Aide sociale à l’enfance alors qu’un procès pour maltraitance par des familles d’accueil s’est ouvert ce lundi.
Au Proche-Orient, la guerre se poursuit aussi au Liban où les Casques bleus font les frais des affrontements.
Et nous reviendrons en France pour faire le point sur les dysfonctionnements de l’Aide sociale à l’enfance alors qu’un procès pour maltraitance par des familles d’accueil s’est ouvert ce lundi.
Ukraine : Zelensky à la dérive ? - JT du lundi 14 octobre 2024
Le Moyen-Orient victime de la guerre BRICS/G7... et après l'Europe ? Le conflit entre Israël et l'Iran a pris un nouveau tournant quand Téhéran a lancé ses propres missiles sur le territoire de l'Etat hébreu. Le prix du pétrole, jusque-là contenu, a déjà commencé à augmenter avec +20% début septembre et un baril aujourd'hui atour des 80$. Si un nouveau choc pétrolier éclate, c'est l'Europe qui pourrait s'effondrer !
On a une France surendettée avec un premier ministre tout droit venu de Bruxelles pour imposer l'austérité et une Allemagne qui plonge dans la récession. A Bruxelles, le projet de mutualisation des dettes préconisé par l'ancien directeur de la BCE Mario Draghi va dans le sens d'une fédéralisation et de la disparition des Etats membres qui se retrouveraient démunis face à une flambée du prix du pétrole.
De leur côté, les Etats-Unis, premier producteur d'or noir, ont tout intérêts à jeter de l'huile sur le feu : Washington reste indifférent à la politique guerrière de Benyamin Netanyahou. La Russie, elle joue sa partie et voit d'un très bon œil cette correction du marché.
L'invité de "Politique & Eco", l'analyste économique Sylvain Tiger l'affirme : "Si le Moyen-Orient s'embrase, c'est la fin de l'UE !". Il évoque aussi les conséquences de la crise sanitaire sur l'économie chinoise, jugée fébrile malgré l'envolée boursière.
On a une France surendettée avec un premier ministre tout droit venu de Bruxelles pour imposer l'austérité et une Allemagne qui plonge dans la récession. A Bruxelles, le projet de mutualisation des dettes préconisé par l'ancien directeur de la BCE Mario Draghi va dans le sens d'une fédéralisation et de la disparition des Etats membres qui se retrouveraient démunis face à une flambée du prix du pétrole.
De leur côté, les Etats-Unis, premier producteur d'or noir, ont tout intérêts à jeter de l'huile sur le feu : Washington reste indifférent à la politique guerrière de Benyamin Netanyahou. La Russie, elle joue sa partie et voit d'un très bon œil cette correction du marché.
L'invité de "Politique & Eco", l'analyste économique Sylvain Tiger l'affirme : "Si le Moyen-Orient s'embrase, c'est la fin de l'UE !". Il évoque aussi les conséquences de la crise sanitaire sur l'économie chinoise, jugée fébrile malgré l'envolée boursière.
Politique & Eco avec Sylvain Tiger - Guerre Iran/Israël : un choc pétrolier menace l'UE
L’ Occident va mal ! L’Europe va mal ! La Cité est sur le point de s’effondrer ! Que faire dans cette situation ? Le jeune essayiste et intellectuel Rodolphe Cart propose, pour nous en sortir, un mythe mobilisateur aux traditions anciennes mais aux déclinaisons potentiellement nouvelles : le mythe légionnaire, en référence à la Neuvième Légion Romaine, une des troupes les plus redoutables de l’armée romaine.
Dans "Faire Légion - Pour un réveil des autochtones", Rodolphe Cart, qui est collaborateur des revues "Eléments" et "Front populaire" redéfinit, un siècle après Barrès et ses "Scènes et doctrine du nationalisme", un nationalisme français exigeant, passionné, social, antilibéral, souverainiste, identitaire, vitaliste et populaire. Il jette les bases d’un mythe en forme d’exhortation à "lutter contre les barbares, les commissaires et les traitres".
Par son travail, l’auteur participe intensément de ces jeunes générations ayant rompu avec les idéaux et les mensonges de la gauche progressiste, bourgeoise et mondialiste. Cela donne un essai salvateur, palpitant et forcément dérangeant !
Dans "Faire Légion - Pour un réveil des autochtones", Rodolphe Cart, qui est collaborateur des revues "Eléments" et "Front populaire" redéfinit, un siècle après Barrès et ses "Scènes et doctrine du nationalisme", un nationalisme français exigeant, passionné, social, antilibéral, souverainiste, identitaire, vitaliste et populaire. Il jette les bases d’un mythe en forme d’exhortation à "lutter contre les barbares, les commissaires et les traitres".
Par son travail, l’auteur participe intensément de ces jeunes générations ayant rompu avec les idéaux et les mensonges de la gauche progressiste, bourgeoise et mondialiste. Cela donne un essai salvateur, palpitant et forcément dérangeant !
Zoom - Rodolphe Cart : Faire légion, un mythe mobilisateur pour la jeunesse
Philippe Béchade est rédacteur en chef de La Chronique Agora et La Lettre des Affranchis aux @Publications Agora.
Pour télécharger gratuitement le dernier rapport de Philippe Béchade, cliquez ici : https://bit.ly/45Jhlnd
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Les Affranchis - Fraude budgétaire : Bruno Le Maire a truqué les comptes de la France
Terres de Mission reçoit Pierre de Lauzun. Ancien directeur général de la Fédération bancaire française, celui-ci vient de publier "Epargner en vue du bien commun" (Boleine) et c'est l'occasion de discuter de la doctrine sociale de l'Eglise sur l'investissement et l'épargne.
Terres de Mission n°381 - Mettre l'argent au service de l'Homme
Eté 2024 : à la faveur d’une dissolution improvisée, éclate l’un des plus lourds nuages qui assombrissent depuis des années le sort de la France, l’aporie nos institutions. Si la Constitution de la Vème République est solide, elle n’échappe pas à une contradiction majeure, qu’avait bien comprise son créateur : comment faire que le président de la République, clef de voute de notre architecture institutionnelle, soit à la fois président de tous les Français (remplissant la triple fonction d’assurer notre continuité historique, de garantir l'impartialité de l’Etat et d’arbitrer en cas de crise) et cependant élu au suffrage universel, c’est à dire par une partie de Français contre une autre ? Longtemps la question fut masquée par l'ombre gaullienne. Mais la tragédie se révèle avec les successeurs, chaque fois plus cruelle quand les Français se rendent compte que chacun des chefs d’Etat issu de l’élection est plus éloigné de ses missions fondamentales. Le pire étant atteint avec Emmanuel Macron, destructeur déclaré de notre continuité historique et si partial qu’il en devient minoritaire, son étiage tombant même, lors des européennes de juin, au dessous de 15%. Peu après, se fissurait le bien nommé front républicain, tandis que chacun peut observer que, constitué après des mois de crise, le gouvernement ne tient que par l’habile abstention du parti que ledit Front républicain visait précisément à exclure... Au fond, tout le drame de la France vient de ce que la tête de l’Etat est "débile", selon le mot qu’utilise ici, devant la caméra de TVL, Mgr le comte de Paris, Jean de France, à la faveur de deux conversations qu’Il nous a accordées avec son habituelle simplicité. Il est évident que, au regard des actuelles circonstances, cette rencontre, qui a pour but de permettre aux Français de Le connaître mieux, arrive à son heure.
Les Conversations n°51 - Prince Jean de France : La question de la République est posée
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