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Pour commencer, nous reviendrons sur la répression des manifestants de Crépol. Six jeunes ont été condamnés à de la prison ferme dans ce qui s’apparente de plus en plus à une inversion accusatoire.
Nous ferons ensuite le point sur la situation au Proche-Orient. Près de 70 otages israéliens ont été libérés au cours d’une trêve désormais prolongée pour 48 heures.
Et puis nous reviendrons en France pour évoquer le projet de loi immigration, désormais à la commission des lois de la Chambre basse.
Nous ferons ensuite le point sur la situation au Proche-Orient. Près de 70 otages israéliens ont été libérés au cours d’une trêve désormais prolongée pour 48 heures.
Et puis nous reviendrons en France pour évoquer le projet de loi immigration, désormais à la commission des lois de la Chambre basse.
Crépol : l’injustice pour Thomas ? - JT du mardi 28 novembre 2023
Le 13 mars 1938, Adolf Hitler proclamait le rattachement de l'Autriche au Reich allemand et, deux jours plus tard, faisait une entrée triomphale dans la capitale autrichienne. Ces événements sont connus, et plus encore les photos qui les illustrent : douaniers autrichiens accueillant les soldats de la Wehrmacht, foule enthousiaste acclamant le chancelier allemand dans les rues de Vienne et le 10 avril suivant par plébiscite, plus de 99% des Autrichiens approuvaient l'Anschluss.
Mais comme toujours en Histoire, il y a un envers du décor et si apparemment l’Autriche se jette dans les bras de son puissant voisin, les résistances furent nombreuses. Dès 1933, l’État autrichien combat le national-socialisme tant à l’intérieur qu’à l’extérieur et c’est le projet d’un référendum sur l’indépendance du pays, dont le résultat aurait certainement été positif, qui provoqua la réaction d’Hitler et l’intervention des troupes allemandes en mars 1938. Et si durant tout le conflit mondial des soldats autrichiens combattirent jusqu’au bout aux côtés des Allemands, si de grands dignitaires nazis furent autrichiens, jusqu’en 1945 l’Autriche connut une véritable résistance intérieure au nazisme. C’est cette Autriche qui a dit non à Hitler que nous allons découvrir en compagnie de Jean Sévillia.
La Revue d'Histoire européenne : bit.ly/42tCcbT
Mais comme toujours en Histoire, il y a un envers du décor et si apparemment l’Autriche se jette dans les bras de son puissant voisin, les résistances furent nombreuses. Dès 1933, l’État autrichien combat le national-socialisme tant à l’intérieur qu’à l’extérieur et c’est le projet d’un référendum sur l’indépendance du pays, dont le résultat aurait certainement été positif, qui provoqua la réaction d’Hitler et l’intervention des troupes allemandes en mars 1938. Et si durant tout le conflit mondial des soldats autrichiens combattirent jusqu’au bout aux côtés des Allemands, si de grands dignitaires nazis furent autrichiens, jusqu’en 1945 l’Autriche connut une véritable résistance intérieure au nazisme. C’est cette Autriche qui a dit non à Hitler que nous allons découvrir en compagnie de Jean Sévillia.
La Revue d'Histoire européenne : bit.ly/42tCcbT
Le Nouveau Passé-Présent avec Jean Sévillia - Cette Autriche qui a dit non à Hitler
Ecrivain, cadre et militant nationaliste depuis plus de 40 ans, Didier Lecerf a dirigé et conçu le dernier numéro en date de la revue "Synthèse nationale" : "Ce n’est donc pas faute d’avoir sonné le tocsin". Pour les auteurs du magazine, on se voile la face sur le douloureux problème de l’immigration depuis plus de 50 ans. Et l’embrasement de tout le pays qui a marqué ces dernières semaines n’est que l’aboutissement logique des politiques menées par l’ensemble des gouvernements qui se sont succédés. Didier Lecerf, spécialiste de la droite nationale, démontre que dès le début des années 70, des voix téméraires se sont élevées en France pour dénoncer l’immigration incontrôlée. Ce furent les militants patriotes du mouvement Ordre Nouveau, puis l’immense écrivain Jean Raspail avec son roman prophétique "Le camp des saints" et le Front National de Jean-Marie Le Pen à travers de multiples campagnes électorales. Tous avaient prévenu. Ce n’est donc pas faute d’avoir sonné le tocsin !
Zoom - Didier Lecerf : Raspail, J-M Le Pen... ils avaient sonné le tocsin !
Les BRICS prennent le pouvoir ! Le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud ont fêté, lors de leur sommet en août dernier à Johannesburg, leur nouvelle suprématie sur le monde : leur PIB a dépassé cette année celui des pays du G7. Et ils ne s'arrêteront pas là ! D'autres Etats les rejoindront dès le 1er janvier prochain comme l'Arabie Saoudite et l'Iran, et l'Algérie et le Venezuela sont déjà sur liste d'attente. Après avoir organisé la dédollarisation de leur économie, les pays autrefois appelés émergents ont su prendre la main sur l'Occident en jouant avec ses propres règles. Faire produire ailleurs pour maximiser les profits et faire tourner la planche à billets pour convertir le monde à la démocratie dans des guerres sanglantes auront fait perdre la face à l'ancien monde. Ses sanctions économiques contre la Russie n'auront fait qu'accélérer la transition.
L'économiste politique Bernard Monot, vice-président du Cercle national des économistes (CNE), est l'invité de "Politique & Eco". Il évoque les moyens mis en œuvre par les pays des BRICS pour devancer le G7 et décrypte les enjeux énergétiques du nouveau conflit du Proche-Orient. Il propose enfin une voie de sortie pour l'Europe, grande victime du retournement du monde.
L'économiste politique Bernard Monot, vice-président du Cercle national des économistes (CNE), est l'invité de "Politique & Eco". Il évoque les moyens mis en œuvre par les pays des BRICS pour devancer le G7 et décrypte les enjeux énergétiques du nouveau conflit du Proche-Orient. Il propose enfin une voie de sortie pour l'Europe, grande victime du retournement du monde.
Politique & Eco n°414 avec Bernard Monot - BRICS+ : l'espoir de la France après la banqueroute ?
Dessinateur de presse, Romée de Saint-Céran a illustré et co-écrit avec Arnaud Florac "Education minimum" (Editions Magnus). Ce recueil reprend les meilleures chroniques publiées dans le magazine "La Furia". Les auteurs nous offrent, avec humour et espièglerie, une arme d’instruction massive, un voyage dans ce que la culture a de meilleur et de plus accessible. Cet ouvrage tient du dictionnaire amoureux, du manuel de savoir-vivre et du livre de textes littéraires. Il dessine les contours d’un paysage qui nous reste familier : la France, la culture, la beauté, la grandeur. Ce livre commence par un hommage à Brigitte Bardot. Il se poursuit par des portraits d’hommes libres de Desproges à Jean-Pax Méfret, de Raspail à Céline et Evola. Mais parce que l’humour et la fantaisie sont le fil rouge de ces chroniques endiablées, Florac et Saint Céran répondent à des questions existentielles : "1314, début du bordel ?", "Chien et chat : qui est de droite ?", "Et si le Moyen Âge, c’était mieux que maintenant" ou encore "Du Guesclin, coach en séduction". "Education minimum" est un livre revigorant, tumultueux, un livre de rééducation… au minimum.
Zoom - Romée de Saint Céran : Notre livre est une arme d’instruction massive
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