Des soldats britanniques envoyés en Pologne face aux migrants
Selon The Guardian, Londres a envoyé une patrouille d’une dizaine de soldats britanniques en Pologne afin d’aider l’armée polonaise à consolider son mur anti-migrants à la frontière avec la Biélorussie.
Londres parle d’un “soutien technique“ mais n’exclut pas de renforcer son aide à la Pologne afin de lutter contre l’afflux de migrants si celle-ci le demande.
Cette coopération arrive au moment où l’UE accuse Minsk d’organiser un afflux migratoire à la frontière polonaise afin de se venger des sanctions occidentales imposées au gouvernement de Loukachenko.
Celui-ci réplique en faisant jouer la menace de fermeture du gazoduc russe qui passe par la Biélorussie, fermeture qui mettrait les pays occidentaux en péril, eux qui sont déjà aux portes de la pénurie.
La gravité de cette crise n’échappe pas à l’U.E qui s’active pour tenter d’endiguer le flux de migrants vers Minsk, en prenant contact notamment avec les pays d’origine de ces migrants.
L’Irak a accepté de rapatrier ses ressortissants” volontaires”, et la Turquie interdit aux migrants d’embarquer pour Minsk.
“ Tu me tiens, je te tiens...3 et les peuples subissent.…
CH
Terrorisme : Près de 70% des Français se disent inquiets d’un risque d’attentat en France dans les prochaines semaines, selon un sondage
Selon un sondage CSA pour Europe 1, CNews et le Journal du Dimanche, 68 % des Français se disent inquiets d’un risque d’attentat en France dans les prochaines semaines, un niveau de crainte renforcé par le contexte des récentes attaques ou tentatives d'attaques de marchés de Noël à l’étranger. Cette inquiétude est plus marquée chez les femmes (73 %) que chez les hommes (63 %) et atteint un pic chez les 18-24 ans (83 %), tandis que les 25-34 ans sont les moins préoccupés (57 %). Le sentiment varie aussi selon les catégories sociales et les orientations politiques : il est élevé chez les sympathisants du RN et des Républicains (environ 80 %), plus modéré dans l’ancienne majorité présidentielle, et nettement plus faible chez les électeurs de La France insoumise, dont seuls 33 % redoutent une attaque.
Europe1 / Illustration