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Par Valentin - 21/11/2022 12:47

Enquête sur des soldats russes exécutés : le New York Times affirme avoir authentifié les vidéos

Enquête sur des soldats russes exécutés : le New York Times affirme avoir authentifié les vidéos

Dans un article du 20 novembre, le New York Times affirme avoir vérifié l'authenticité de vidéos mises en ligne quelques jours plus tôt, qui montraient l'exécution de soldats russes captifs par les troupes ukrainiennes. Après la diffusion des images, plusieurs responsables russes avaient réclamé l'ouverture d'une enquête, dénonçant la violation «systématique» des conventions de la guerre par Kiev et épinglant «la sauvagerie du régime actuel de Kiev». Deux jours plus tard, le chargé ukrainien des droits de l'Homme, Dmytro Loubynets, a – sans remettre en cause l'exécution des militaires russes – fait valoir qu'il ne s'agissait pas de prisonniers de guerre, ajoutant qu'un «piège» avait été tendu aux forces ukrainiennes.

Selon le journal américain, qui confirme que les hommes «semblent avoir été abattus à bout portant», cette exécution se serait déroulée dans le village de Makeevka dans la République populaire de Donetsk, à la mi-novembre. C'est également ce qu'avait affirmé deux jours plus tôt le Conseil des droits de l'homme auprès du Kremlin, un organe consultatif rattaché à la présidence russe.

Une violation du droit international dénoncée par Moscou

«[Ces vidéos], dont l'authenticité a été vérifiée par le New York Times, offrent un regard rare sur un moment horrible parmi tant d'autres de la guerre, mais ne montrent pas comment ou pourquoi les soldats russes ont été tués», relate le New York Times, ajoutant que les raisons de ce massacre restent pour l'heure «un mystère».

Toutefois, le journal précise qu'au vu des images «au moins 11 Russes, dont la plupart sont aperçus allongés sur le sol, semblent avoir été abattus à bout portant après que l'un de leurs camarades combattants a soudainement ouvert le feu sur des soldats ukrainiens qui se trouvaient à proximité».

Dans l'une des vidéos apparues sur les réseaux sociaux, on voit dans un premier temps les militaires russes, désarmés, se rendre aux troupes de Kiev et s'allonger sur le sol. Dans une deuxième séquence, les corps des soldats russes sont inertes dans une marre de sang. Enfin, dans une autre scène, présentée comme liée à ce même épisode, on voit un soldat russe sortir d'un bâtiment et ouvrir le feu sur les Ukrainiens.

Citée dans l'article du New York Times, le Dr Rohini Haar, conseillère médicale de l'ONG Physicians for Human Rights, souligne que «tuer ou blesser un combattant ayant déposé les armes ou n'ayant plus de moyens de se défendre» est une violation des lois des conflits armés internationaux.

«Il semble que la plupart d'entre eux aient été abattus d'une balle dans la tête», a déclaré la conseillère médicale au sujet des soldats russes dans les vidéos. «Il y a une mare de sang. Cela indique qu'ils ont simplement été laissés là, morts. Il semble qu'aucune tentative n'ait été faite de les ramasser ou de les aider», ajoute-t-elle. Elle note par ailleurs que, les hommes étant étendus et «apparemment désarmés», ils sont considérés comme «hors de combat» et donc «de fait, prisonniers de guerre».

Egalement citée par le quotidien américain, Iva Vukusic, experte dans la répression des crimes de guerre à l'université d'Utrecht, souligne pour sa part que le fait de feindre se rendre pour attaquer l'ennemi (comme le fait valoir Kiev au sujet du groupe de soldats russes) peut également constituer, en soi, un crime de guerre. La spécialiste insiste néanmoins sur l'aspect confus de l'incident dans son ensemble.

Vers une enquête internationale?

Face à cette exécution filmée, le ministère de la Défense russe a pointé du doigt «la sauvagerie du régime actuel de Kiev, dirigé par Zelensky, et de ceux qui le protègent et le soutiennent». Maria Zakharova, porte-parole de la diplomatie russe, a dénoncé «une nouvelle preuve des crimes commis par les néonazis ukrainiens».

«Il s'agit d'un crime ostentatoire et ignoble. C'est la violation de toutes les conventions possibles interdisant les mauvais traitements des prisonniers de guerre, des normes du droit international et tout simplement de la morale», a en outre accusé le président du Conseil des droits de l'homme russe, Valériy Fadeïev.

De son côté, Kiev rejette catégoriquement les accusations de Moscou. Dans un message sur Telegram, le chargé des droits de l'Homme ukrainien Dmytro Loubynets n'a pas remis en cause la scène d'exécution, mais a assuré que les soldats ukrainiens s'étaient défendus après une «reddition feinte» des Russes. Ceux-ci auraient, selon lui, utilisé se prétexte et «commis un crime de guerre en ouvrant le feu sur les forces armées ukrainiennes». Dmytro Loubynets assure que les militaires russes tués ne «peuvent donc pas être considérés comme des prisonniers de guerre».

Les Nations unies ont pour leur part déclaré que l'épisode de Makeyevka devrait faire l'objet d'une enquête. 

RT France

07/06/2025 09:37

Délinquance des mineurs : Près de 80% des Français veulent des sanctions contre les parents de mineurs délinquants, selon un sondage

Délinquance des mineurs : Près de 80% des Français veulent des sanctions contre les parents de mineurs délinquants, selon un sondage

Selon un sondage CSA pour le JDD, CNews et Europe 1, une large majorité de Français soutient des sanctions contre les parents de mineurs délinquants. Le soutien est particulièrement fort chez les 50 ans et plus (84 %) et reste élevé toutes catégories confondues.

Le JDD / Image d'Illustration

07/06/2025 09:08

Le Conseil d’orientation des retraites revoit à la hausse le déficit prévu pour 2070. Pour y remédier, un nouveau recul de l'âge de départ à la retraite serait la meilleure option, estime le COR

Le Conseil d’orientation des retraites revoit à la hausse le déficit prévu pour 2070. Pour y remédier, un nouveau recul de l'âge de départ à la retraite serait la meilleure option, estime le COR

Le Conseil d’orientation des retraites revoit à la baisse le déficit prévu pour 2030 (0,2 % du PIB), mais l’augmente pour 2070 à 1,4 %. Il identifie quatre leviers pour rééquilibrer le système : modération des pensions, hausse des cotisations des salariés, celle des employeurs, et recul de l’âge de départ. Les trois premiers sont jugés récessifs ; seul le report de l’âge permettrait de soutenir la croissance, une option qui reste très contestée.

Dans le détail, le COR estime que les deux premiers leviers « réduisent le revenu net et donc la demande des ménages, ce qui affaiblit le PIB ». La troisième option « augmente le coût du travail, ce qui réduit l’investissement et l’emploi et donc aussi le PIB ». L’effet récessif de ces trois voies correspond à « une réduction des recettes fiscales et sociales des administrations publiques » et renforce « les difficultés à financer les dépenses publiques autres que les retraites, à l’instar de l’école, [de] la santé, [de] la sécurité, etc. » En revanche, un recul de l’âge de la retraite correspondrait « à un enrichissement du pays (hausse du PIB par habitant) ».

« la France est le deuxième pays (après l’Italie) où la part des dépenses de retraite publiques dans le PIB est la plus élevée », rappelle enfin le COR.

Le Monde / Illustration

06/06/2025 08:10

81 % des Français estiment que la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron a fait perdre du temps au pays, selon un sondage

81 % des Français estiment que la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron a fait perdre du temps au pays, selon un sondage

Un an après la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron, 81 % des Français estiment que cette décision a fait perdre du temps au pays, selon un sondage Ifop pour LCI réalisé en juin 2025. Le sentiment dominant reste l'incompréhension (43 %), suivi de l’indifférence (25 %) et de la colère (21 %). Seuls 9 % des sondés se disent satisfaits et 2 % fiers. De plus, 74 % pensent que la dissolution a freiné l'action gouvernementale, même si 32 % y voient une ouverture à davantage de débats parlementaires.

Quant à l’avenir, 41 % des Français souhaitent une nouvelle dissolution, mais seuls 30 % pensent qu’elle aura lieu. En cas de législatives, le Rassemblement national arrive en tête des intentions de vote (35 %), suivi du Nouveau Front populaire (21 %), du bloc central (18 %) et des Républicains (11 %).

LCI

06/06/2025 08:06

Pouvoir d'achat : 80 % des Français déclarent devoir "se serrer la ceinture" et la moitié d’entre eux s’attendent à une dégradation de leur situation dans les mois à venir

Pouvoir d'achat : 80 % des Français déclarent devoir "se serrer la ceinture" et la moitié d’entre eux s’attendent à une dégradation de leur situation dans les mois à venir

Selon un sondage Elabe pour BFMTV, 80 % des Français déclarent devoir "se serrer la ceinture", un chiffre en légère baisse de 2 points depuis janvier 2025. Dans le détail, 50 % affirment le faire "un peu" (+1 point), tandis que 30 % le font "beaucoup" (-3 points). Cette pression financière entraîne de nombreux renoncements : 45 % des sondés ont dû renoncer aux vacances ou week-ends, 41 % aux sorties comme les restaurants ou cinémas, 38 % au shopping et à l’achat de vêtements, 33 % à certains produits alimentaires, et 27 % au chauffage adéquat de leur logement.

Par ailleurs, 50 % des Français s’attendent à une dégradation de leur pouvoir d’achat dans les mois à venir, dont 18 % "beaucoup". Seuls 13 % anticipent une amélioration. Malgré tout, 23 % des personnes interrogées déclarent n’avoir renoncé à aucune dépense récemment.

BFMTV

05/06/2025 08:57

Donald Trump annonce une interdiction d’entrée sur le sol américain visant les ressortissants de douze pays : «Nous allons rétablir l’interdiction de voyager et maintenir les terroristes islamistes radicaux en dehors de notre pays (...) Nous ne voulons pas d’eux»

Donald Trump annonce une interdiction d’entrée sur le sol américain visant les ressortissants de douze pays : «Nous allons rétablir l’interdiction de voyager et maintenir les terroristes islamistes radicaux en dehors de notre pays (...) Nous ne voulons pas d’eux»

Donald Trump a annoncé une nouvelle interdiction d’entrée sur le sol américain visant les ressortissants de douze pays d’Afrique, du Moyen-Orient, d’Asie centrale et des Caraïbes, invoquant la lutte contre le terrorisme et l’immigration illégale. La mesure entrera en vigueur le 9 juin et rappelle le "Muslim Ban" de 2017. Elle survient après une attaque commise dans le Colorado par un Égyptien en situation irrégulière, ce qui a renforcé la volonté présidentielle d’agir vite. Les pays concernés incluent notamment l’Iran, la Libye, la Somalie et Haïti, tandis que sept autres nations feront l’objet de restrictions partielles. Les titulaires de visas, de cartes vertes ou relevant de l’intérêt national (comme les sportifs des JO 2028) sont exemptés. Trump a précisé que la liste pourrait s’allonger selon l’évolution des menaces. «Nous allons rétablir l’interdiction de voyager – certains appellent cela le «Trump Ban » - et maintenir les terroristes islamistes radicaux en dehors de notre pays (...) Nous ne voulons pas d’eux», a-t-il détaillé. 

Le Figaro

05/06/2025 08:40

72 % des Français ne font pas confiance à Emmanuel Macron pour se montrer « implacable » envers les auteurs des violences survenues après la victoire du PSG en Ligue des champions, selon un sondage

72 % des Français ne font pas confiance à Emmanuel Macron pour se montrer « implacable » envers les auteurs des violences survenues après la victoire du PSG en Ligue des champions, selon un sondage

Selon un sondage CSA pour CNEWS publié le 4 juin, 72 % des Français ne font pas confiance à Emmanuel Macron pour se montrer « implacable » envers les auteurs des violences survenues après la victoire du PSG en Ligue des champions. Ce scepticisme traverse les genres (71 % des hommes, 72 % des femmes) et varie selon l'âge, les 50-64 ans étant les plus critiques (77 %). Le clivage politique est marqué : seuls les sympathisants du parti présidentiel (Renaissance) expriment majoritairement leur confiance (73 %), tandis que la défiance atteint 86 % chez les proches du Rassemblement national et 69 % chez ceux du Parti socialiste.

CNews

04/06/2025 08:56

Une large majorité des Français ne souhaitent pas acheter de voiture électrique, même à prix équivalent avec une thermique, selon un sondage

Une large majorité des Français ne souhaitent pas acheter de voiture électrique, même à prix équivalent avec une thermique, selon un sondage

Un sondage Ifop révèle que la majorité des Français ne souhaitent pas acheter de voiture électrique, même à prix équivalent avec une thermique. Seuls 13 % opteraient immédiatement pour l’électrique, tandis que 24 % l’envisageraient dans quelques années. Les freins sont multiples : prix des batteries, incertitudes sur leur durée de vie, complexité perçue de l’achat d’occasion, et surtout, un frein culturel persistant. Toutefois, l’intérêt progresse chez les jeunes, les catégories aisées et les Franciliens. L’hybride apparaît comme un compromis plus accepté.

Le Figaro / Illustration

04/06/2025 08:12

Suède : un rapport révèle des abus massifs dans les adoptions internationales et propose leur interdiction totale

Suède : un rapport révèle des abus massifs dans les adoptions internationales et propose leur interdiction totale

Un rapport commandé par le gouvernement suédois met en lumière de graves irrégularités dans les adoptions internationales depuis les années 1970. Des enfants ont été adoptés sur la base de documents falsifiés, parfois sans le consentement des parents biologiques ou à la suite de fausses déclarations de décès. Le rapport évoque aussi des manquements systémiques dans la documentation suédoise sur l’origine des enfants, et révèle que l’État suédois était informé de ces abus dès le début. Une dizaine de cas de trafic d’enfants ont été confirmés, en provenance notamment du Sri Lanka, de la Colombie, de la Pologne et de la Chine. La rapporteure propose une interdiction totale des adoptions internationales vers la Suède. Le rapport souligne le traumatisme profond vécu par les personnes adoptées, privées de leur identité et de leurs racines.

Le Figaro / Illustration

03/06/2025 09:42

Scandale des eaux Nestlé : L'UFC-Que Choisir attaque l'État et Nestlé Waters en justice en dénonçant l'immobilisme des pouvoirs publics

Scandale des eaux Nestlé : L'UFC-Que Choisir attaque l'État et Nestlé Waters en justice en dénonçant l'immobilisme des pouvoirs publics

L’UFC-Que Choisir annonce avoir déposé plainte auprès de la Cour de justice de la République contre la ministre actuelle de la Transition écologique et plusieurs ex-ministres, ainsi qu’une plainte au pénal contre Nestlé Waters. L’association dénonce l’« immobilisme » des pouvoirs publics face à l’utilisation illégale de traitements (UV, charbon actif) sur des eaux censées être naturelles. Elle porte plainte pénalement contre Nestlé Waters pour tromperie aggravée et pratiques commerciales trompeuses, et saisit la Cour de justice de la République contre plusieurs ministres actuels et anciens. L’UFC demande aussi en référé le retrait et le rappel de certains produits, notamment l’eau Perrier. Une audience est prévue début juillet.

Pour rappel, une procédure judiciaire est déjà en cours à Paris après des plaintes d’associations de défense des consommateurs pour «tromperie» visant Nestlé Waters et son concurrent Sources Alma.

Le Figaro / Illustration

03/06/2025 09:01

Gérald Darmanin juge trop laxistes les sanctions infligées aux auteurs de violences après la victoire du PSG en Ligue des Champions et propose une réforme de la loi

Gérald Darmanin juge trop laxistes les sanctions infligées aux auteurs de violences après la victoire du PSG en Ligue des Champions et propose une réforme de la loi

À la suite des violences et pillages ayant eu lieu après la victoire du PSG en Ligue des Champions, quatre jeunes hommes ont été condamnés à des peines relativement légères (2 à 8 mois de prison avec sursis). Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, juge ces sanctions trop laxistes au regard de la gravité des faits. Il propose donc une réforme de la loi pour instaurer des peines planchers, supprimer les sursis et les aménagements de peine obligatoires. Il souhaite notamment un minimum de trois mois de prison ferme pour toute agression contre un représentant de l’État, ou des amendes élevées en cas de destructions.

Le Figaro

31/05/2025 08:39

Dette : L'agence de notation américaine Standard & Poor’s (S&P) maintient la note AA− de la France

Dette : L'agence de notation américaine Standard & Poor’s (S&P) maintient la note AA− de la France

La France conserve sa note de crédit AA− auprès de l’agence de notation Standard & Poor’s (S&P), qui a choisi de ne pas la dégrader le 30 mai 2025. Ce maintien évite une sanction financière potentiellement lourde, notamment une hausse des taux d’intérêt sur la dette. Cette décision offre un répit politique et budgétaire au premier ministre François Bayrou, confronté à un défi majeur : trouver 40 milliards d’euros pour boucler le prochain budget. Cependant, la menace d’une dégradation reste présente, car la note est assortie d’une perspective négative, ce qui signifie qu’elle peut être abaissée à tout moment si les finances ne s’améliorent pas. Une dégradation en dessous du « double A » aurait pu avoir des conséquences non négligeables, notamment en restreignant l’accès de la France à certains investisseurs.

Le Monde / Illustration

30/05/2025 09:01

Syrie : Le groupe État islamique (EI) a revendiqué sa première attaque contre les forces du nouveau gouvernement syrien depuis la chute de Bachar al-Assad, selon l’OSDH et SITE Intelligence Group

Syrie : Le groupe État islamique (EI) a revendiqué sa première attaque contre les forces du nouveau gouvernement syrien depuis la chute de Bachar al-Assad, selon l’OSDH et SITE Intelligence Group

Le groupe État islamique (EI) a revendiqué sa première attaque contre les forces du nouveau gouvernement syrien depuis la chute de Bachar al-Assad, selon l’OSDH et SITE Intelligence Group. L’attentat, survenu le 28 mai, a visé une patrouille de la 70e division de l’armée syrienne, tuant une personne et blessant trois soldats par une mine déclenchée à distance.

Le Figaro / Illustration

30/05/2025 08:54

Loire-Atlantique : les rodéos sauvages empoisonnent la vie des habitants de la commune de Frossay

Loire-Atlantique : les rodéos sauvages empoisonnent la vie des habitants de la commune de Frossay

À Frossay, petite commune de Loire-Atlantique, les habitants subissent une recrudescence des rodéos urbains motorisés, en particulier avec le retour des beaux jours. Depuis 2020, ces rassemblements bruyants de jeunes en scooters ou motos, parfois accompagnés de dégradations et d’incivilités, empoisonnent le quotidien des riverains, au point de provoquer détresse et arrêts maladie. Malgré des plaintes et quelques actions des forces de l'ordre, le phénomène persiste, alimenté par une poignée de jeunes connus des autorités, parfois impliqués dans des affaires de stupéfiants. Face à une situation devenue insupportable, certains vont même jusqu'à réclamer des caméras de surveillance, tandis que la gendarmerie annonce un renforcement des contrôles. Le maire, conscient de l’ampleur du problème, déplore l’impuissance face à un phénomène qui dépasse les frontières de sa commune.

Le Figaro

21/11/2022
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