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Par Valentin - 24/11/2022 14:42

Faut-il investir sur l'uranium ? Ce secteur minier est cyclique avec un très fort effet de levier, mais pourrait profiter de la tendance de la transition énergétique : peut-on en profiter tout en limitant les risques ?

Faut-il investir sur l'uranium ? Ce secteur minier est cyclique avec un très fort effet de levier, mais pourrait profiter de la tendance de la transition énergétique : peut-on en profiter tout en limitant les risques ?

Lorsque vous cherchez à investir aujourd’hui, il faut absolument suivre la tendance qu’impose le réchauffement climatique. Si vous vous intéressez aux investissements de Warren Buffet et Bill Gates, tout est compatible avec cette tendance lourde (de façon plus ou moins complexe).

En particulier, le nucléaire présente beaucoup d’inconvénients, mais le monde se trouve dans une situation tellement critique qu’il est devenu irremplaçable pour l’électrification de l’économie, nécessaire à la baisse des émissions de CO2.

La précédente grande vague de hausse du prix de l’uranium a eu lieu en 2008, en même temps que le précédent sommet du prix du pétrole, les deux étant très fortement corrélés.

Pour l’investisseur, il est possible de s’orienter vers les centrales nucléaires (on les oublie vite) ou les producteurs d’uranium.

La meilleure option pour limiter le risque

Les mines présentent un gros avantage, qui est leur effet de levier énorme ; vous pouvez multiplier votre mise par 2, par 10, voire par 100. Mais elles présentent aussi un inconvénient majeur : vous pouvez tout perdre aussi vite.

Il s’agit d’un investissement intéressant lorsque vous recherchez des « ten-bagger ». Ce terme a été inventé par l’investisseur Peter Lynch pour qualifier des actions dont le cours a le potentiel d’être multiplié par 10. Il a utilisé le terme pour la première fois dans son livre Et si vous en saviez assez pour gagner en bourse (très bon cadeau de Noël, si vous ne l’avez pas lu). J’affectionne particulièrement la chasse au ten-bagger, mais, aujourd’hui, nous allons nous tourner vers un actif différent pour limiter les risques.

Mais comment faire pour limiter ces risques ? Les supports les plus accessibles sont les ETF (pour exchange traded fund). Ce sont des fonds de placement en valeur mobilière dont les parts sont négociées en bourse.

J’ai tendance à penser que les plus gros limitent les risques ; c’est pourquoi j’ai choisi « Global X Uranium ETF » (il en existe d’autres).

Global X Uranium ETF est un ETF géré par Global X, qui gère 40 milliards d’actifs et qui a été racheté en 2018 par « Mirae Asset Financial Group », un groupe coréen gérant 550 milliards d’actifs.

Son code mnémonique aux USA est URA, et son code ISIN est le suivant : US37954Y8710.

La première question à se poser est la suivante : quels sont les frais de gestion ? Pour URA, ils sont de 0.69% par an, ce qui est « raisonnable ». Mais n’oubliez pas que tous les ans, ils grignotent donc 0.69% de votre capital en frais de gestion.

Petite remarque au passage : lorsque vous achetez un ETF, il est vivement conseillé de lire la documentation officielle, ou au minimum le prospectus de présentation de l’ETF.

La capitalisation globale de Global X Uranium ETF est d’environ 1,4 Mds$ à 20 $.

Il est composé de 43 compagnies liées plus ou moins directement à la production de l’uranium.

Voici les six positions les plus importantes de cet ETF :

  • n°1 Cameco (21,5%), le n°1 du secteur.
  • n°2 Sprott physical (8,28%), un fonds qui stocke de l’uranium.
  • n°3 NAC KAZATOG-REGS (5,96%), un producteur d’uranium au Kazakhstan.
  • n°4 NEXGEN ENERGY (5,83%), une junior dans le secteur de l’uranium. Une « junior » est une petite compagnie qui a un projet de mines, et qui demande de l’argent pour le financer.
  • n°5 Paladin Energy (4,95%), une junior canadienne (le Canada est au secteur minier ce que le Brésil est au football).
  • n°6 Uranium Energy (4,15%), un petit producteur d’uranium américain.

Ces 43 compagnies protègent des risques non systémiques, comme la faillite d’une entreprise ; mais elles ne protègent pas contre les risques systémiques, comme une crise financière ou un accident nucléaire.

A quel niveau investir ?

Du point de vue de l’analyse technique, nous observons un canal baissier depuis le début de l’année 2022, mais en même temps une divergence, avec l’OBV qui reste obstinément haute, ce qui peut être interprété comme de l’accumulation.

Le signal d’achat idéal serait une sortie de ce canal baissier par le haut du canal dans la zone des 20 $. Ce qui est aussi le niveau de la moyenne mobile à 200 jours.

Vous remarquerez le haut précèdent en 2011, à 130 $.

Nous sommes dans une zone de prix intéressante : l’ETF est passé de 10 à 30 $ de 2020 à 2021, puis il corrigé jusqu’à 18 $ en 2022. Cela donne un beau support à 18 $.

Le secteur minier est cyclique avec un très fort effet de levier. Pour les mines d’uranium, c’est encore pire, avec les risques d’accidents et les soubresauts du prix de l’énergie. Il s’agit d’un actif impossible à conseiller ; mais il était difficile de ne pas vous en parler.

Pour les intrépides en mal de sensations fortes, cela mérite au minimum un « stop loss » en dessous de 18 $.

Notez toutefois que, pour l’essentiel des investisseurs européens, cet ETF sera inaccessible en raison de la législation sur les ETF.

En revanche, son émetteur Global X propose aussi une version compatible avec la législation européenne, sous la norme UCITS (undertakings for the collective investment in transferable securities, l’équivalent anglais de nos OPCVM).

Cet ETF s’appelle ainsi le Global X Uranium UCITS ETF, et il est coté à Londres, Francfort et Milan sous le code mnémonique URNU et l’ISIN IE000NDWFGA5.

Vous pouvez retrouver les informations le concernant (notamment la liste des positions et leur taille respective) sur le site de Global X en cliquant ici. Vous pouvez aussi retrouver sa fiche d’information sur le site dédié aux ETF JustETF en cliquant ici.

La Chronique Agora

Par Alix - 10/05/2025 08:43

Emmanuel Macron à Kiev aux côtés de ses homologues britannique et allemand pour réaffirmer leur soutien à l'Ukraine

Emmanuel Macron à Kiev aux côtés de ses homologues britannique et allemand pour réaffirmer leur soutien à l'Ukraine

Emmanuel Macron est arrivé à Kiev aux côtés de ses homologues britannique et allemand pour réaffirmer leur soutien à l'Ukraine face à l'agression russe. Il a salué le courage des Ukrainiens et porté trois messages : un cessez-le-feu immédiat, la garantie de la souveraineté ukrainienne dans tout accord de paix, et un engagement pour l’avenir du pays. Les dirigeants européens espèrent toujours parvenir à un accord dans le cadre d'une « coalition des volontaires ». Ils ont voyagé ensemble en train depuis la Pologne et doivent rencontrer Volodymyr Zelensky et Donald Tusk.
 



Le Figaro 

Par Alix - 10/05/2025 08:24

Donald Trump signe un décret proposant aux immigrés clandestins de quitter volontairement les États-Unis en échange d’un vol gratuit vers l’étranger et d’une prime de 1 000 dollars

Donald Trump signe un décret proposant aux immigrés clandestins de quitter volontairement les États-Unis en échange d’un vol gratuit vers l’étranger et d’une prime de 1 000 dollars

Le 9 mai, Donald Trump a signé un décret proposant aux immigrés clandestins de quitter volontairement les États-Unis en échange d’un vol gratuit vers l’étranger et d’une prime de 1 000 dollars. Ce programme, destiné à réduire les coûts des expulsions forcées (estimés à plus de 17 000 dollars par personne), vise à encourager l’« auto-expulsion ». Trump affirme que les clandestins peuvent réserver leur vol via une application, mais prévient que ceux qui restent s’exposent à des sanctions sévères. Ce dispositif s’inscrit dans sa politique prioritaire de lutte contre l’immigration illégale, souvent freinée par la justice.

Le Figaro

Par Alix - 09/05/2025 08:43

Sèvre et Loire : levée de boucliers contre le nouveau schéma départemental d’accueil des Gens du voyage

Sèvre et Loire : levée de boucliers contre le nouveau schéma départemental d’accueil des Gens du voyage

Dans la communauté de communes de Sèvre et Loire (Loire-Atlantique), les élus ruraux s’opposent vivement au nouveau schéma départemental d’accueil des gens du voyage, qui impose la création de 12 nouveaux terrains d’accueil alors que 57 installations illicites existent déjà. Le maire de Vallet, Jérôme Marchais, dénonce une application inéquitable de la loi et un traitement de faveur accordé aux occupations sauvages, au détriment des règles d’urbanisme et de la protection des terres agricoles. Le conseil communautaire a exprimé un avis défavorable, évoquant un coût insoutenable (1,5 million d’euros), des tensions locales et une atteinte au principe d’égalité devant la loi.

Le Figaro / Illustration

Par Alix - 08/05/2025 08:53

Djihadistes français en Syrie : Ahmed al-Charaa assure qu’ils «ne constitueraient pas une menace» et n'exclut pas leur naturalisation

Djihadistes français en Syrie : Ahmed al-Charaa assure qu’ils «ne constitueraient pas une menace» et n'exclut pas leur naturalisation

Lors de sa rencontre avec le président Macron, le nouveau représentant syrien Ahmed al-Charaa a déclaré avoir «garanti à tous les pays [...] que ces gens ne constitueraient pas une menace», en parlant des djihadistes étrangers présents dans le nord-ouest syrien, dont environ une centaine de Français. Il n’a pas exclu de leur offrir la nationalité, si la future Constitution syrienne le permet.

Lors de la rencontre à l’Élysée le 7 mai, le président français a annoncé que la France plaidera pour une levée des sanctions européennes contre la Syrie, tout en exigeant que les auteurs des récents massacres contre des civils soient jugés. Il a rappelé à al-Charaa que la protection de tous les Syriens était une priorité. Ce dernier a affirmé que la sécurité des citoyens était garantie. Macron a aussi exprimé son soutien aux Kurdes et critiqué les frappes israéliennes en Syrie, les jugeant contre-productives pour la sécurité régionale.

Le Figaro

Par Alix - 08/05/2025 08:35

Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, menace l’Iran de représailles similaires à celles infligées au Hamas à Gaza en raison de son soutien aux Houthis du Yémen

Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, menace l’Iran de représailles similaires à celles infligées au Hamas à Gaza en raison de son soutien aux Houthis du Yémen

Le 8 avril, le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a menacé l’Iran de représailles similaires à celles infligées au Hamas à Gaza. Cette déclaration fait suite à une attaque menée quelques jours plus tôt par les rebelles Houthis du Yémen, alliés de Téhéran, contre l’aéroport de Tel-Aviv. Katz a accusé l’Iran de soutenir les Houthis et affirmé que l’« axe du mal » était en train de s’effondrer, promettant que Téhéran subirait le même sort que le Hezbollah à Beyrouth, le Hamas à Gaza et le régime d’Assad à Damas.

Le Figaro / Illustration

Par Alix - 07/05/2025 09:51

La Cour suprême des États-Unis autorise provisoirement l’exclusion des personnes transgenres de l’armée, en rétablissant un décret de Donald Trump suspendu jusqu’alors par des tribunaux fédéraux

La Cour suprême des États-Unis autorise provisoirement l’exclusion des personnes transgenres de l’armée, en rétablissant un décret de Donald Trump suspendu jusqu’alors par des tribunaux fédéraux

La Cour suprême des États-Unis a provisoirement autorisé l’exclusion des personnes transgenres de l’armée, en rétablissant un décret de Donald Trump suspendu jusqu’alors par des tribunaux fédéraux. La décision a été prise par six juges conservateurs contre trois progressistes, sans justification détaillée, en attendant l’examen du fond par une cour d’appel.

Les associations de défense des droits des personnes transgenres dénoncent une décision "dévastatrice", affirmant que ces militaires remplissent les mêmes critères que les autres. La Maison Blanche s’est félicitée de cette « victoire massive », évoquant une volonté de restructurer l’armée en rupture avec l’idéologie "woke".

BFMTV 

Par Alix - 07/05/2025 08:51

L’Inde lance des frappes de missiles contre des sites présumés terroristes au Pakistan, entraînant une riposte pakistanaise

L’Inde lance des frappes de missiles contre des sites présumés terroristes au Pakistan, entraînant une riposte pakistanaise

L’Inde a lancé des frappes de missiles contre des sites présumés terroristes au Pakistan, dans le cadre de l’"opération Sindoor", visant neuf cibles dans le Cachemire pakistanais et le Pendjab. Selon New Delhi, ces sites servaient à organiser des attaques contre l’Inde, et aucune installation militaire n’a été ciblée.

Le Pakistan a riposté par des tirs d’artillerie contre le Cachemire indien, violant selon l’Inde l’accord de cessez-le-feu. Bilan provisoire côté pakistanais : trois civils tués, dont un enfant, et douze blessés. Islamabad accuse l’Inde d’avoir frappé des cibles civiles.

Alors que les deux pays sont au bord de l’escalade, le Pakistan a convoqué son Comité de sécurité nationale, et ses avions de chasse ont été mobilisés. La tension monte après une série d’attaques récentes au Cachemire, que l’Inde impute au Pakistan.

Donald Trump a réagi aux frappes, et a dit espérer que les affrontements entre Inde et Pakistan «s’arrêtent très rapidement»«C’est bien dommage. Vous savez, ils se battent depuis de nombreuses décennies et siècles, en fait, si vous y réfléchissez vraiment, j’espère juste que cela s’arrêtera très rapidement»

Dans un contexte de fortes tensions entre l’Inde et le Pakistan, le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a récemment appelé les deux pays à éviter une confrontation militaire, soulignant le risque d’escalade incontrôlable. Parallèlement, l’Iran a lancé une tentative de médiation : son ministre des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, s’est rendu à Islamabad lundi et doit se rendre à New Delhi jeudi pour tenter d’apaiser la crise.
 

Par Alix - 06/05/2025 10:03

Emmanuel Macron recevra ce mercredi 7 mai à Paris Ahmed Al-Charaa, le nouveau président syrien et ancien chef du groupe terroriste Front al-Nosra, qui selon le renseignement américain, n’a pas renié son passé de djihadiste

Emmanuel Macron recevra ce mercredi 7 mai à Paris Ahmed Al-Charaa, le nouveau président syrien et ancien chef du groupe terroriste Front al-Nosra, qui selon le renseignement américain, n’a pas renié son passé de djihadiste

Emmanuel Macron recevra ce mercredi 7 mai à Paris Ahmed Al-Charaa, le nouveau président syrien, pour sa première visite en Europe depuis la chute de Bachar Al-Assad. Le chef de l’État français entend réaffirmer le soutien de la France à une Syrie libre, stable et inclusive, tout en posant des exigences claires, notamment sur la stabilisation régionale et la lutte contre le terrorisme.

La visite intervient dans un contexte délicat : bien que la coalition islamiste au pouvoir tente de rassurer la communauté internationale, des violences récentes (1 700 morts, principalement alaouites) et des abus signalés par des ONGsoulèvent des inquiétudes sur la dérive de certains groupes affiliés au régime.

Ahmed al-Charaa, alias Abou Mohammed al-Joulani, ancien chef du Front al-Nosra (ex-branche syrienne d'Al-Qaïda), dirige aujourd'hui le HTC. Bien que théoriquement interdit de voyager, il a obtenu une dérogation de l'ONU pour se rendre à Paris, affirmant avoir tourné la page du djihadisme — ce que les services occidentaux contestent. Les États-Unis s’inquiètent de l'influence persistante de ses proches dans les structures sécuritaires syriennes, et d'une distribution massive de passeports à d’anciens djihadistes, perçue comme une menace directe pour l’Occident.

Le Monde / Europe1 / Illustration

Par Alix - 06/05/2025 09:52

Israël a annoncé un nouveau plan militaire visant la « conquête » de la bande de Gaza, impliquant le déplacement de la majorité de sa population

Israël a annoncé un nouveau plan militaire visant la « conquête » de la bande de Gaza, impliquant le déplacement de la majorité de sa population

Israël a annoncé un nouveau plan militaire visant la « conquête » de la bande de Gaza, impliquant le déplacement de la majorité de sa population. Cette offensive, relancée le 18 mars après une trêve de deux mois, intervient dans un contexte de grave crise humanitaire, avec plus de 52 000 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les autorités locales. Le plan prévoit aussi le rappel de dizaines de milliers de réservistes.

Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou souhaite parallèlement promouvoir le « plan Trump », qui envisage un départ volontaire des habitants de Gaza et une future reconstruction américaine du territoire. Israël justifie le blocus de Gaza, en place depuis le 2 mars, par la volonté de faire pression sur le Hamas pour la libération des otages encore détenus.

Ce projet provoque de vives inquiétudes internationales, notamment à l’ONU, qui alerte sur le risque de famine et la détresse des 2,4 millions d’habitants. Des proches d’otages en Israël critiquent également le plan, qu’ils estiment mettre en danger à la fois les otages et les soldats israéliens.

20minutes

Par Alix - 06/05/2025 08:52

Les dirigeants de Stellantis et Renault alertent sur l’avenir de l’industrie automobile européenne, qu’ils jugent menacée par une réglementation trop complexe

Les dirigeants de Stellantis et Renault alertent sur l’avenir de l’industrie automobile européenne, qu’ils jugent menacée par une réglementation trop complexe

Les dirigeants de Stellantis (John Elkann) et Renault (Luca de Meo) alertent sur l’avenir de l’industrie automobile européenne, qu’ils jugent menacée par une réglementation trop complexe. Dans un entretien au Figaro, ils estiment que le marché pourrait être divisé par deux d’ici 2035 si rien ne change. Ils dénoncent l’inadéquation entre l’offre imposée par l’Union européenne (notamment sur l’électrique) et la demande réelle des consommateurs. Ils appellent à une simplification urgente des règles pour pouvoir continuer à produire des véhicules abordables en Europe. À défaut, des décisions « douloureuses » pour l’industrie pourraient être prises d’ici trois ans. Ils soulignent également que, contrairement à d’autres régions du monde, l’Europe ne protège pas assez son marché automobile.

Le Monde

Par Alix - 03/05/2025 08:33

Santé : un Français sur deux (48 %) juge son accès aux soins « compliqué, long ou partiel », selon un sondage

Santé : un Français sur deux (48 %) juge son accès aux soins « compliqué, long ou partiel », selon un sondage

Selon un sondage Elabe pour Les Echos, un Français sur deux (48 %) juge son accès aux soins compliqué, long ou partiel, et un sur dix (9 %) déclare n’y avoir aucun accès, que ce soit physiquement ou en ligne. Cette situation, en nette dégradation depuis octobre 2023, touche particulièrement les zones rurales et reflète des inégalités territoriales croissantes. Le sujet alimente le débat politique, notamment autour de la proposition de loi du député Guillaume Garot contre les déserts médicaux.

 Les Echos / Illustration

Par Alix - 03/05/2025 08:17

79 % des Français sont favorables à l’installation systématique de portiques de sécurité dans les collèges et lycées

79 % des Français sont favorables à l’installation systématique de portiques de sécurité dans les collèges et lycées

À la suite de l’attaque au couteau dans un collège-lycée à Nantes le 24 avril, un sondage CSA pour CNEWS, le JDD et Europe 1 révèle que 79 % des Français sont favorables à l’installation systématique de portiques de sécurité dans les collèges et lycées. Le soutien est particulièrement fort chez les jeunes (94 % des 18-24 ans) et les femmes (85 %). Les CSP- (85 %) et les inactifs (79 %) y sont plus favorables que les CSP+ (72 %). Politiquement, la mesure recueille 94 % d’adhésion chez les électeurs du Rassemblement national, 82 % chez les Républicains, 69 % chez Renaissance, et entre 59 % et 70 % à gauche, avec les Verts étant les plus réservés. Le débat reste vif, notamment dans la classe politique.

CNews / Illustration

Par Alix - 02/05/2025 08:41

Paris : Vous risquez désormais 135 € d’amende si vous roulez seul sur la voie de covoiturage en semaine aux heures de pointe

Paris : Vous risquez désormais 135 € d’amende si vous roulez seul sur la voie de covoiturage en semaine aux heures de pointe

Depuis le 3 mars 2025, une voie de covoiturage expérimentale est en place sur une portion du boulevard périphérique parisien en semaine aux heures de pointe. Réservée aux véhicules transportant au moins deux personnes, aux transports en commun et aux taxis, cette voie est située sur la gauche et s’étend du quai d’Issy à la porte de Bercy, dans les deux sens. Après une phase pédagogique sans sanctions, les contrevenants seront verbalisés à partir du 2 mai 2025, avec une amende forfaitaire de 135 €. Les contrôles seront réalisés par vidéo-verbalisation assistée par ordinateur, avec vérification par un agent assermenté. Le dispositif a vocation à s’étendre progressivement à l’ensemble du périphérique.

BFMTV / Service-Public

24/11/2022
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10/05/2025
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09/05/2025
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02/05/2025
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