Comme nous l'avions prévu dans notre édition du JT de mercredi, la rencontre de Coupe du Monde entre la France et le Maroc a servi de prétexte à tous les délinquants du pays pour casser et agresser. A Montpellier, où les supporters marocains ont été particulièrement virulents, l’un d’entre eux a été tué, écrasé par une voiture qu’il prenait d’assaut.
Des scènes ultra-violentes à travers tout le pays
Dès le coup de sifflet final, les supporters marocains ont pris d’assaut les supporters français qui célébraient la victoire des Bleus. De Lens à Montpellier en passant par Paris, Saint-Nazaire, Annecy, Grenoble, Bordeaux, Nice, Cannes ou Avignon, les agressions, incendies et affrontements en tous genres se sont multipliés pendant plusieurs heures, certaines images fleurissant parallèlement sur les réseaux sociaux.
Très rapidement, notamment à Lyon, les agresseurs ont provoqué des incendies et initié des affrontements avec les forces de police. A Lens, ville de foot, les Marocains déçus du résultat s’en sont pris à un bar de supporters, tirant sur l’établissement au mortier d’artifice.
Comme le révèle le site FDesouche, le Tribunal judiciaire de Créteil, dans le Val-de-Marne, a lui aussi été ciblé par des tirs de mortiers d’artifice après le match, provoquant un début d'incendie dans un immeuble voisin. Trois interpellations ont eu lieu dont celles de deux mineurs.
La couverture journalistique et l’interprétation politique des évènement est diverse, certains appuyant très fort sur les quelques endroits où la fête s’est bien déroulée quand d’autres évoquent la responsabilité de « l’extrême droite »... Pour affirmer cela, la caste politico-médiatique s’appuie sur quelques images et sur l’arrestation de quelques dizaines de militants nationalistes s’étant regroupés pour faire le travail que la police ne parvenait plus à faire : défendre les rues et les Français. La présence de ces nationalistes n’en reste pas moins anecdotique face aux hordes de délinquants.
La haine anti-français d’individus souvent de nationalité française s’est exprimée jusqu’en Belgique ou des délinquants s’en sont pris à un habitant qui avait brandi un drapeau tricolore. Le football ne servant plus ici que de faire valoir à un affrontement ethnique et culturel.
Drame à Montpellier
C’est finalement à Montpellier que la soirée a tourné au drame. A l’issue du match, les supporters marocains ont pris pour cible les supporters français sur la place de la Comédie, tirant sur la foule à coup de mortiers d’artifice. Plusieurs agressions s’en sont suivies.
Un peu plus tard, une autre scène a été captée par des caméras, scène débouchant sur la mort d’un délinquant. Alors qu’un groupe d’individus prenait d’assaut un véhicule et y arrachait le drapeau français qui y était suspendu, le chauffeur a pris peur et a pris la fuite, écrasant l’un des agresseurs par la même occasion. Dans un communiqué officiel ne relatant qu’une brève partie de l’histoire, sans souligner que la victime était d’abord un agresseur, le préfet de l’Hérault, Hugues Moutouh, a confirmé le décès de l’adolescent.
Marocains et militants de gauche se sont vite emparés de l’affaire, ciblant là encore la fameuse "extrême-droite" et plaçant les Marocains dans le rôle des victimes, dans un déni de réalité sidérant qui devrait être appuyé rapidement par le ministre de l'Intérieur.
Tous oublient sciemment de diffuser les images des multiples agressions envers des Français commises par des supporters marocains, comme à Avignon ou un jeune homme a été lynché par une bande alors qu’il regagnait sa voiture, l’obligeant à fuir en courant et à laisser les sauvages détruire son véhicule. Prendre la fuite en voiture et écraser l’un des assaillants aurait ici aussi été une possibilité. Les agresseurs s’en tire dans ce cas à bon compte.
Ce sujet sera abordé en profondeur dans notre JT de ce soir.