Infos du jour

Par Valentin - 20/04/2023 12:44

[La Chronique Agora] L'incohérence des subventions en Europe : Nous devons revenir aux principes fondateurs du marché commun.

[La Chronique Agora] L'incohérence des subventions en Europe : Nous devons revenir aux principes fondateurs du marché commun.

Selon une tendance que j’ai décrite à plusieurs reprises dans La Chronique Agora, les pays européens s’orientent de plus en plus vers des modèles de subventionnement de l’industrie, dans le but de s’aligner sur les très vastes projets des États-Unis visant à soutenir les transitions économiques respectueuses du climat. Cela a créé une situation dans laquelle l’Union européenne punit les États qui soutiennent leur industrie nationale, mais les incite également à le faire.

Prenons un exemple dans lequel la Commission européenne applique strictement les règles anti-subventions de l’Union.

La Commission européenne vient de décider, à juste titre, que les aides d’État accordées par l’Italie à la compagnie aérienne en difficulté Alitalia (qui a depuis fait faillite et s’est rebaptisée « ITA Airways ») n’étaient pas conformes aux règles de l’UE. Rome a accordé à la compagnie aérienne un total de 1,3 milliard d’euros de prêts en 2017 et 2019 – selon Bruxelles – sans indication palpable que la compagnie serait en mesure de rembourser les prêts ; 400 millions d’euros de ce prêt doivent maintenant être remboursés aux contribuables italiens, a statué la Commission. Cependant, ITA Airways affirme qu’elle n’est pas responsable de la dette accumulée par Alitalia, ce qui signifie que Rome ne sera probablement pas en mesure de se conformer à la décision.

« La solution à long terme ne réside pas dans les subventions publiques », explique Ebba Bush, vice-premier ministre et ministre des Affaires suédoise, interrogée sur les projets de l’UE visant à augmenter considérablement les subventions pour contrer la « loi sur la réduction de l’inflation » américaine (IRA). Certaines des plus grandes économies européennes, telles que la France et l’Allemagne, ont fait pression en faveur d’un assouplissement des règles de l’Union en matière d’aides d’État afin de rester compétitives au niveau mondial dans les secteurs verts. Des pays plus petits, dont la Suède, qui assure la présidence tournante du Conseil, ont toutefois averti que le marché intérieur pourrait être menacé si Bruxelles permettait de donner trop d’argent aux plus grandes économies de l’Union.

L’assouplissement des règles relatives aux aides d’État a été motivé par la forte augmentation des prix de l’énergie et le risque de voir l’industrie européenne se déplacer vers les États-Unis en réponse à l’IRA, qui est entré en vigueur en août 2022 et offre des subventions d’une valeur de 369 milliards de dollars pour les « investissements verts », à la suite de quoi les entreprises envisagent de se délocaliser vers les États-Unis.

Margrethe Vestager, vice-commissaire de l’UE, affirme qu’il est essentiel de préserver l’intégrité du marché unique de l’UE. « Quoi que nous fassions, nous devons éviter une course aux subventions », a-t-elle ajouté. La Commission propose de simplifier le calcul des aides d’État, d’accélérer les approbations et d’élargir le champ d’application de l’encadrement temporaire de crise et de transition – adopté à la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Russie – afin de « soutenir toutes les sources d’énergie renouvelables possibles ».

Cet encadrement propose également une « option temporaire très exceptionnelle d’aide d’alignement ». Le projet suggère que les États membres soient autorisés à égaler les subventions offertes par les pays tiers, afin de garantir que les investissements ne soient pas « injustement détournés vers le plus offrant en dehors de l’Europe ». Les dispositions ne s’appliquent qu’aux secteurs affectés par l’IRA, et des conditions strictes seraient imposées, notamment si le projet profite à plus d’un État membre, a indiqué Mme Vestager.

Même en prétendant qu’il y aura des contrôles stricts sur l’utilisation des aides d’État, la Commission européenne a des antécédents plutôt occasionnels en ce qui concerne l’application de règles strictes (Alitalia est l’une d’entre elles). En général, Bruxelles énumère toutes sortes de raisons exceptionnelles pour lesquelles un paquet particulier d’un milliard d’euros a été approuvé et, dans le cas de COVID-19, a emprunté des sommes incroyables sur le dos des contribuables de l’UE.

En théorie, l’Union européenne s’efforce de créer un marché exempt de distorsions anticoncurrentielles, mais en réalité, elle ne fait pas grand-chose pour y parvenir. L’IRA américain a touché un point sensible : non seulement l’Europe peut revenir au protectionnisme, mais elle peut aussi le faire en prétendant le faire au nom du développement durable. Après tout, nous diront les bureaucrates, quel meilleur scénario qu’une guerre commerciale qui protège l’environnement ?

Voici les principaux problèmes liés à l’ouverture des portes de l’État dans l’UE :

  • bien que plafonnée à 150 millions d’euros par entreprise, l’aide ne tient pas compte de la taille et des concurrents européens, ce qui signifie qu’elle bénéficiera de manière disproportionnée aux grandes entreprises par rapport aux PME ;
  • les pays les plus pauvres de l’UE – même s’ils sont autorisés – ne sont tout simplement pas en mesure d’accorder autant d’aides d’État qu’un pays comme l’Allemagne, ce qui crée de nouveaux déséquilibres sur le marché ;
  • les grandes entreprises sont également en mesure d’augmenter leurs subventions sur plusieurs continents, car l’UE autorise le dépassement du plafond s’il existe un risque palpable de voir les investissements quitter le marché unique.

Nous devons revenir aux principes fondateurs du marché commun : le libre-échange, l’absence de distorsions du marché dues à des normes réglementaires injustes pour les produits et les services, et l’absence de subventions. Nous ne pouvons tout simplement pas nous le permettre, tant sur le plan financier qu’économique.

Rédigé par Bill Wirtz 

La Chronique Agora

01/07/2025 08:57

En raison de la canicule, près de 1 350 écoles publiques seront partiellement ou totalement fermées ce mardi

En raison de la canicule, près de 1 350 écoles publiques seront partiellement ou totalement fermées ce mardi

En raison de la canicule, près de 1 350 écoles publiques seront partiellement ou totalement fermées mardi, soit deux fois plus que la veille, annonce le ministère de l’Éducation.

Le Figaro / Illustration

01/07/2025 08:49

Près de 80 % des Français mécontents d'Emmanuel Macron comme président de la République, selon un sondage

Près de 80 % des Français mécontents d'Emmanuel Macron comme président de la République, selon un sondage

Selon un sondage Ifop publié par le Journal du Dimanche, 80 % des Français se disent mécontents de François Bayrou comme Premier ministre, et 77% sont insatisfaits d'Emmanuel Macron en tant que président, un niveau de rejet comparable à celui de la crise des Gilets jaunes. Avec seulement 23 % de satisfaits, Macron perd particulièrement du terrain chez les 18-24 ans (−8 points), tandis que Bayrou atteint son plus bas niveau de popularité depuis sa nomination en décembre 2024. L’enquête a été menée du 18 au 26 juin 2025 auprès de 2 000 personnes.

La Provence / Illustration

28/06/2025 08:52

Hongrie : 35 000 personnes sont attendues à Budapest pour la Gay Pride malgré son interdiction

Hongrie : 35 000 personnes sont attendues à Budapest pour la Gay Pride malgré son interdiction

En Hongrie, malgré l’interdiction de la Gay Pride par le gouvernement, plus de 35 000 personnes sont attendues à Budapest pour manifester. Le Premier ministre Viktor Orbán, soucieux d’éviter des images de répression, a écarté une intervention directe de la police, mais a averti que des sanctions légales pourraient suivre. Cette décision s’inscrit dans une politique ferme de protection des mineurs et des valeurs traditionnelles, soutenue par une modification de la Constitution.

Face aux pressions internationales, notamment de l’Union européenne, le gouvernement hongrois affirme sa souveraineté. Orbán, critiqué par les militants LGBT et les eurodéputés, agit selon ses priorités : préserver l’ordre public, défendre la famille, et refuser l’idéologie du genre, qu’il considère comme imposée de l’extérieur. L’État hongrois continue ainsi de résister à ce qu’il perçoit comme des tentatives d’ingérence culturelle, dans un climat politique polarisé en amont des élections.

Le Figaro 

28/06/2025 08:33

La cote de confiance du président Emmanuel Macron descend à 32 %, selon un sondage

La cote de confiance du président Emmanuel Macron descend à 32 %, selon un sondage

Selon le baromètre de confiance politique Toluna Harris Interactive / LCI publié le 27 juin, Emmanuel Macron et François Bayrou perdent chacun deux points de confiance. La cote de confiance du président descend à 32 %, contre 49 % lors de sa réélection en mai 2022. La baisse est marquée chez les sympathisants du camp présidentiel (Ensemble), où Emmanuel Macron perd 7 points depuis mai. Ces derniers critiquent surtout sa politique, plus que son attitude.

TF1/Illustration

 

27/06/2025 08:46

Sandrine Rousseau affirme que « les Français de souche, ça n’existe pas » et que la France est le produit de « 1001 flux migratoires »

Sandrine Rousseau affirme que « les Français de souche, ça n’existe pas » et que la France est le produit de « 1001 flux migratoires »

Lors d’un débat à l’Assemblée nationale sur une proposition de loi de l’UDR visant à interdire les mariages avec des personnes sous OQTF (obligation de quitter le territoire français), la députée écologiste Sandrine Rousseau s’est fermement opposée au texte. Elle a défendu les mariages mixtes et l’immigration, affirmant que « les Français de souche, ça n’existe pas » et que la France a été traversée par « 1001 flux migratoires ». Elle a dénoncé la vision « fermée » de la société portée par l’UDR, allié du Rassemblement national, qu’elle accuse de vouloir transformer la France en « île rabougrie entourée de barbelés ». Elle a terminé son intervention en déclarant : « Vive les mariages, vive l’amour et vive les enfants issus de ces mariages ! »

Le texte n’a de son coté pas été adopté, bloqué par l’opposition de la gauche et du centre, et les débats ont été interrompus avant minuit.

Le Figaro  / Illustration

26/06/2025 09:14

Ursula von der Leyen appelle la Hongrie à revenir sur l’interdiction de la marche des fiertés prévue le 29 juin à Budapest

Ursula von der Leyen appelle la Hongrie à revenir sur l’interdiction de la marche des fiertés prévue le 29 juin à Budapest

Ursula von der Leyen a appelé la Hongrie à revenir sur l’interdiction de la marche des fiertés prévue le 29 juin à Budapest, dénonçant une atteinte aux droits des personnes LGBTQ+. Le parlement hongrois avait interdit l’événement en mars, invoquant la protection des mineurs contre la "promotion de l’homosexualité et du changement de sexe". Malgré cette interdiction, le maire de Budapest maintient le défilé, tandis que le gouvernement de Viktor Orbán tente de dissuader les participants, y compris les diplomates étrangers. Des eurodéputés ont annoncé qu’ils prendraient part à la manifestation, que les organisateurs espèrent transformer en mobilisation record.

Le Figaro

26/06/2025 08:59

La Haye : Les pays de l'OTAN s'engagent à consacrer 3,5 % de leur PIB à leurs dépenses militaires

La Haye : Les pays de l'OTAN s'engagent à consacrer 3,5 % de leur PIB à leurs dépenses militaires

Le 25 juin 2025, lors du sommet de l’OTAN à La Haye, les alliés européens et le Canada ont accepté d’augmenter significativement leurs dépenses militaires, sur demande du président américain Donald Trump. Ce dernier, sans remettre en cause l’article 5 sur la défense collective, a obtenu un engagement à consacrer 3,5 % du PIB à la défense d’ici 2035. Pour parvenir à un compromis – Trump réclamant initialement 5 % – les membres de l’Alliance ont convenu d’inclure dans ce calcul des dépenses élargies de sécurité, telles que la police ou les infrastructures. Afin d’éviter un engagement symbolique comme celui des 2 % décidés en 2014, des plans annuels détaillés seront exigés, avec une révision prévue en 2029. A l'issue du sommet, Trump a évoqué un « succès monumental ».

Le Monde

25/06/2025 09:03

La chute des ventes de Tesla se poursuit en Europe

La chute des ventes de Tesla se poursuit en Europe

Tesla continue de perdre du terrain en Europe. En mai 2025, ses immatriculations ont chuté de 40,2 % par rapport à mai 2024, et de 45,2 % sur les cinq premiers mois de l’année, alors même que le marché global des voitures électriques progresse (+26,1 %). La part de marché du constructeur d’Elon Musk dans l’UE est désormais de 1,1 %, contre 2 % un an plus tôt.

Cette baisse intervient alors que les prises de position politiques controversées de Musk, notamment son soutien affiché à Donald Trump, pourraient nuire à l’image de la marque en Europe. Pendant ce temps, les voitures hybrides gagnent en popularité, représentant 43,3 % du marché, tandis que les voitures thermiques reculent fortement. Du côté des constructeurs, Volkswagen reste leader (27,4 %), suivi de Stellantis (16,5 %, en recul) et Renault (11,3 %, en progression).

Le Figaro / Illustration

25/06/2025 08:22

Le Royaume-Uni va rétablir sa dissuasion nucléaire aéroportée dans le cadre de l’OTAN en se dotant de douze avions F-35A capables de transporter des bombes américaines B61

Le Royaume-Uni va rétablir sa dissuasion nucléaire aéroportée dans le cadre de l’OTAN en se dotant de douze avions F-35A capables de transporter des bombes américaines B61

Le Royaume-Uni va rétablir sa dissuasion nucléaire aéroportée dans le cadre de l’OTAN en achetant douze avions F-35A capables de transporter des bombes nucléaires américaines B61, marquant le plus grand renforcement de son arsenal nucléaire depuis une génération. Jusqu’ici assurée uniquement par ses sous-marins, la dissuasion britannique s’élargit face à la menace croissante de la Russie. Cette capacité restera toutefois sous contrôle des États-Unis. Londres investit massivement dans la défense, visant 2,5 % du PIB d’ici 2027 et 3 % après 2029, avec également la construction de douze sous-marins nucléaires d’attaque et six usines de munitions dans le cadre d’AUKUS.

Le Figaro / Illustration

24/06/2025 08:28

La popularité d'Emmanuel Macron continue de chuter en juin, selon un sondage

La popularité d'Emmanuel Macron continue de chuter en juin, selon un sondage

En juin, la popularité d’Emmanuel Macron et de François Bayrou reste très faible selon le baromètre Odoxa. Macron perd un point et tombe à 28 % d’opinions favorables, notamment en raison de sa discrétion sur la scène internationale face aux tensions entre Israël et l’Iran, ce qui lui coûte le soutien d’une partie de la gauche. François Bayrou remonte légèrement à 22 %, après un record d’impopularité en mai, mais reste le Premier ministre le moins populaire de la dernière décennie. Seuls les sympathisants Renaissance lui sont majoritairement favorables, tandis qu’il recule à gauche. Bruno Retailleau, avec 33 % d’adhésion, devient la personnalité la plus populaire du gouvernement.

Yahoo / Illustration

21/06/2025 08:49

70 % des Israéliens approuvent l’attaque contre l’Iran, selon un sondage

70 % des Israéliens approuvent l’attaque contre l’Iran, selon un sondage

Un sondage réalisé en juin par l’Institut pour la démocratie d’Israël révèle que 70 % des Israéliens approuvent l’attaque contre l’Iran, bien que des divergences marquées apparaissent selon l’origine des répondants : 82 % des juifs israéliens soutiennent l’opération, contre 65 % des citoyens arabes qui s’y opposent. Le soutien traverse les clivages politiques, même si la gauche reste plus critique sur le calendrier de l’attaque. Concernant les motivations de Netanyahou, deux tiers des juifs les jugent sécuritaires, tandis que deux tiers des Arabes les estiment politiques. Enfin, la perception de Donald Trump évolue : la majorité des juifs israéliens le voient désormais comme soucieux de la sécurité d’Israël, en contraste avec les opinions exprimées le mois précédent.

i24  / Illustration

20/06/2025 10:05

Près de 60% des Français redoutent un nouveau mouvement de colère similaire aux « gilets jaunes » si les ZFE étaient finalement maintenues, selon un sondage

Près de 60% des Français redoutent un nouveau mouvement de colère similaire aux « gilets jaunes » si les ZFE étaient finalement maintenues, selon un sondage

Les Zones à Faibles Émissions (ZFE), officiellement censées réduire la pollution de l’air, sont désormais vues par une majorité de Français comme un marqueur d’injustice sociale. Selon un sondage Odoxa–Backbone Consulting pour Le Figaro, 60 % souhaitent leur suppression et près de 60 % redoutent une nouvelle révolte des automobilistes si elles sont maintenues. Le bilan écologique d’Emmanuel Macron est par ailleurs jugé mauvais par 71 % des sondés, tandis que 70 % estiment que les ZFE pénalisent les plus modestes et 52 % doutent même de leur efficacité. La suppression des ZFE recueille 64 % d’approbation, mais l’attitude des députés Renaissance, opposés à une mesure pourtant portée par leur camp, est jugée incohérente par 54 % des Français – et 63 % de leurs propres sympathisants. Pour beaucoup, les ZFE incarnent une écologie punitive, éloignée des réalités sociales.

Le Figaro / Illustration

20/06/2025 08:43

Nucléaire iranien : Le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, affirme que son rapport sur l’Iran ne justifie en rien une action militaire

Nucléaire iranien : Le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, affirme que son rapport sur l’Iran ne justifie en rien une action militaire

Le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a déclaré que les éléments recueillis par son organisation sur le programme nucléaire iranien ne justifient en rien une action militaire. Selon lui, toute attaque est une décision politique indépendante des conclusions de l’AIEA.

Après avoir lancé sa première vague de frappes sur l'Iran, Israël a invoqué un récent rapport de l'AIEA qui reconnaît que l'Iran enrichit de l'uranium à un niveau plus élevé que d'autres pays ne disposant pas de programmes d'armes nucléaires, en violation de ses obligations en matière de non-prolifération nucléaire. Toutefois, M. Grossi a déclaré que rien n'indiquait l'existence d'un « programme systématique en Iran visant à produire une arme nucléaire ».

Grossi a souligné que la diplomatie reste la seule voie durable, rappelant qu’on peut détruire des infrastructures, mais pas le savoir ni les progrès technologiques. Il a aussi rejeté les accusations iraniennes selon lesquelles l’AIEA diffuserait un "récit trompeur", et s’est dit prêt à surveiller de près la situation après les frappes israéliennes, qui auraient tué plusieurs scientifiques nucléaires iraniens.

CNN / Illustration

19/06/2025 09:01

62 % des Français estiment qu’il est difficile de créer ou développer une entreprise en France, selon un sondage

62 % des Français estiment qu’il est difficile de créer ou développer une entreprise en France, selon un sondage

Un sondage CSA pour le collectif 300 pour la France révèle que 62 % des Français jugent qu’il est difficile de créer ou développer une entreprise en France, dénonçant les complexités administratives et fiscales. En réponse, 84 % appellent à une simplification des règles, un consensus particulièrement fort à droite. Enfin, 74 % des Français souhaitent que les chefs d’entreprise interviennent davantage dans le débat public.

Le JDD / Illustration

20/04/2023
12:44
01/07/2025
08:57
08:49
28/06/2025
08:52
08:33
27/06/2025
08:46
26/06/2025
09:14
08:59
25/06/2025
09:03
08:22
24/06/2025
08:28
21/06/2025
08:49
20/06/2025
10:05
08:43
19/06/2025
09:01