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Par Valentin - 12/07/2023 12:21

[La Chronique Agora] La bulle de tout dépasse la finance : L’imaginaire militaire occidental est exactement le même que son imaginaire financier : une bulle !

[La Chronique Agora] La bulle de tout dépasse la finance : L’imaginaire militaire occidental est exactement le même que son imaginaire financier : une bulle !

Depuis le début de la guerre en Ukraine, j’essaie de vous persuader d’une idée simple, mais bouleversante : l’imaginaire délirant que vous voyez déployer en Occident pour dissimuler la situation militaire réelle est rigoureusement semblable à celui qui vous est imposé concernant la situation financière, monétaire économique et sociale du même Occident.

Mais il faut aller plus loin que l’homologie ou l’isomorphisme, il faut ajouter que le mouvement historique qui anime ces imaginaires est le même : l’engrenage, la fuite en avant, le toujours plus, l’accélération, et l’impossibilité de retourner en arrière. Dans les deux domaines, nous avons largué les amarres, nous nous sommes désancrés.

Maintenant, les classes dominantes essaient de brûler nos vaisseaux, de créer de l’irréversible avec la guerre. Elles essaient de forcer l’ordre du monde, de s’opposer à la naissance d’un ordre nouveau qui les ferait rétrograder. Elles jouent leur va-tout, elles sont là aussi dans le « coûte que coûte ».

Nous sommes dans la démesure du « soft power ».

Creusons un peu.

Modernisation

Le vrai « soft power » est là, il est dans ce développement civilisationnel qui, d’une part, a découvert que les ombres pouvaient être séparées des corps et, d’autre part, que l’alchimie de la manipulation des ombres pouvait donner un pouvoir sur les autres humains.

Cette alchimie peut manipuler les perceptions, les comportements, les convictions, détruire les certitudes, fracasser le bon sens, faire prendre les vessies pour des lanternes, faire marcher à côté de ses pompes, faire devenir étranger à soi-même, faire jouir de s’auto-détruire. Cette alchimie peut conduire les peuples à la folie, y compris destructrice.

Ce soft power est produit par les sciences humaines détournées de leur idéal de progrès et les technologies détournées, dévoyées pour asservir au lieu de servir.

Cet imaginaire est enfermé dans sa rhétorique, dans sa logique purement langagière, dans sa seule grammaire, dans son esthétique du plaire ; cette rhétorique se substitue aux articulations réelles des phénomènes, aux liens entre les causes et des effets. Ainsi se constitue un autre monde.

La modernité a remplacé l’objectivité du monde réel par la subjectivité de la classe des maîtres, des puissants, des kleptocrates, par la subjectivité délirante de l’hyperclasse, de ses banquiers, de ses marchands d’armes…

C’est « marche ou crève » dans cette rhétorique.

Au fur et à mesure que le temps passe, le souvenir du réel s’estompe, l’imaginaire prend de plus en plus de force, car il est de moins en moins concurrencé.

Tout part en bulle

Ce n’est plus seulement le monde qui est tordu, rendu abstrait et subjectif, non ; ce sont aussi les identités. Vous finissez par douter de tout, de vous-même, du bien, du mal, du vrai, du faux, de l’utile, de l’inutile, de votre filiation, de vos déterminations. C’est le désancrage, c’est la dérive qui fait de vous des esquifs qu’ils dirigent, des tableaux noirs sur lesquels ils écrivent et vous disent ce que vous devez être.

Dans ce mouvement de la société, au fur et à mesure que l’on avance, on brûle les vaisseaux, les livres, les souvenirs, on détruit l’histoire, on rend les retours en arrière impossibles.

La forme « bulle » est une forme maintenant générale du monde occidental.

La bulle, c’est celle de l’enflure, de l’inflation des signes. Le monde occidental vit dans un colossal mensonge sur lui-même et ce mensonge a besoin de toujours plus de mensonges pour s’entretenir, pour se soutenir ; d’où la forme bullaire.

La bulle est le symbole de l’auto-surestimation, de l’auto-survalorisation du monde occidental.

La bulle mère, c’est bien sûr le dollar, mais ce n’est qu’un symbole, un concentré de représentation. Il se croit supérieur, il est supérieur ; il flotte libéré de la pesanteur des richesses réelles, des richesses produites et productives, libéré presque du besoin, et de l’utile, pur équivalent des désirs de puissance. Il flotte d’autant plus facilement qu’il est libéré de l’effort et du travail : il exploite soit ses minorités, soit le reste du monde.

Ainsi libéré de la production, de la sueur, de la finitude, de la douleur, ayant délocalisé la guerre qu’il fait faire par d’autres, ayant coupé les ancrages et boulets qui le rattachent au vrai monde, il jouit, il s’envoie en l’air avec ses jeux vidéo, ses spectacles, ses fictions, son Netflix, ses drogues, sa coke et sa pornographie.

Jeux de miroirs

Au plan des fondations se trouve bien entendu la dette, qui gonfle, qui gonfle. Rien ne pourrait exister et durer sans la dette. La dette, c’est l’air chaud qui gonfle les bulles. La dette, c’est l’opium du système qui s’envoie en l’air.

Mais la dette tout en étant une forme générale, envahissante de nos systèmes, un report, un peu comme l’était le paradis dans l’ancien temps, la dette fait partie d’un ensemble encore plus vaste : l’ensemble des promesses, des fantasmes de toute puissance, de pouvoirs magiques, l’ensemble de toutes les illusions et de tous les équivalents du désir. La dette est fondamentalement prométhéenne : elle nie le temps, elle nie la rareté. C’est l’outil des maîtres qui s’en servent pour prétendre rivaliser avec, pour prétendre être dieux.

Mais plus radicalement, plus abstraitement à la racine du tout, holiste, général, se trouve la modernité : la disjonction entre d’un côté les signes que constituent les mots, les romans, les histoires, les narratives, et les images, et de l’autre côté la réalité vraie, en soi et son mouvement, et son évolution.

Les deux mondes, l’imaginaire et le réel divergent de plus en plus et il faut maintenant des efforts considérables et ruineux pour essayer de les faire tenir ensemble et maintenir les fictions de représentation, pour maintenir l’illusion que l’un, l’imaginaire reflète l’autre, le réel.

Il faut contrôler, étoffer la police, l’armer, militariser les écrits, censurer, multiplier, répéter les pressions, les mensonges, taxer de complotisme, rejeter les messagers hors du champ social, discréditer, interdire, d’un côté et de l’autre côté, il faut clore, englober, fermer toute issue, boucher toute faille et c’est ce que les élites essaient de faire en catastrophe avec la promotion subite concertée de l’intelligence artificielle.

L’intelligence artificielle, c’est l’intelligence de l’autre, du maître, qui est conçue pour s’imposer comme parole au-dessus de la vôtre.

L’intelligence artificielle, c’est l’administration et la diffusion de la vérité dominante, celle qui réside non dans le monde, mais dans les mémoires des machines en forme de tautologies. L’intelligence artificielle, c’est l’extension impériale des jeux télévisés ou le crétin de service vous interroge, vous pose une question de savoir, une question de connaissance, en précisant : attention, je ne vous demande pas ce que vous pensez être vrai, non, je vous demande ce que vous pensez que la majorité des Français pensent être vrai ; le vrai de l’intelligence des jeux et de l’IA c’est le hit parade !

Le but de tout cela est de clore, clôturer l’Imaginaire, de murer l’entrée de la Caverne de Platon, d’empêcher toute fuite, de renvoyer contre les parois de verre afin que tout reste à l’intérieur ; vous, vous ne devez voir que les ombres !

A suivre…

Rédigé par Bruno Bertez 

La Chronique Agora

29/07/2025 10:03

Écologie : Des centaines de fonds "verts" préfèrent changer de nom plutôt que de renoncer à investir dans les énergies fossiles

Écologie : Des centaines de fonds "verts" préfèrent changer de nom plutôt que de renoncer à investir dans les énergies fossiles

Depuis le 21 mai 2025, de nouvelles règles imposées par l’Autorité européenne des marchés financiers (ESMA) encadrent l’utilisation de termes comme « vert », « durable » ou « transition » dans les noms des fonds d’investissement. Pour utiliser ces appellations, un fonds doit désormais consacrer au moins 80 % de ses investissements à des actifs réellement durables sur le plan environnemental ou social. Résultat : entre mai 2024 et juillet 2025, environ 1 300 fonds sur 5 500 ont retiré ces termes de leur nom, selon les données de Morningstar Sustainalytics, afin d’éviter de devoir changer leur stratégie d’investissement – notamment en continuant à financer des entreprises actives dans les énergies fossiles.

Le Monde / illustration

29/07/2025 09:38

L’accord commercial entre Trump et von der Leyen impose 15 % de droits de douane sur la plupart des produits européens importés aux Etats-Unis

L’accord commercial entre Trump et von der Leyen impose 15 % de droits de douane sur la plupart des produits européens importés aux Etats-Unis

Le président américain Donald Trump et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ont annoncé un accord imposant des droits de douane de 15 % sur la plupart des produits européens importés aux États-Unis. Cet accord, présenté comme une réponse au déséquilibre commercial, marque une nouvelle ère de protectionnisme américain. Plusieurs secteurs sont directement concernés. Les médicaments, jusqu’ici exemptés, seront désormais taxés à 15 %, bien qu’ils constituent la principale exportation européenne vers les États-Unis. Dans le secteur automobile, la taxe est abaissée à 15 %, contre 27,5 % ces derniers mois, ce qui soulage partiellement l’industrie européenne, notamment allemande. En revanche, les produits de luxe et les cosmétiques ne bénéficieront d’aucune exception : LVMH et d'autres géants du secteur envisagent d’augmenter leurs prix ou de relocaliser une partie de leur production aux États-Unis. Pour l’aéronautique, l’accord supprime totalement les droits de douane, une avancée importante pour ce secteur fortement mondialisé. En matière agroalimentaire, certains produits agricoles pourraient être exemptés, mais aucun détail précis n’a été communiqué. Les vins et spiritueux ne sont pas encore couverts par l’accord : des discussions restent à venir. Par ailleurs, l’Union européenne s’est engagée à réaliser des achats stratégiques pour 750 milliards de dollars (notamment en énergie et technologies), à investir 600 milliards de dollars aux États-Unis et à acheter du matériel militaire américain pour plusieurs centaines de milliards. Toutefois, certaines zones de flou persistent, notamment sur l’acier et l’aluminium. En contrepartie, l’UE a suspendu des mesures de rétorsion évaluées à 93 milliards d’euros qui devaient s’appliquer dès le 7 août.

Le Monde 

28/07/2025 10:46

🇮🇱Israël/🇵🇸Palestine : Une conférence internationale organisée par l’ONU, sous l’égide de la France et de l’Arabie saoudite, s’ouvre pour relancer la perspective d’une solution à deux États

🇮🇱Israël/🇵🇸Palestine : Une conférence internationale organisée par l’ONU, sous l’égide de la France et de l’Arabie saoudite, s’ouvre pour relancer la perspective d’une solution à deux États

Une conférence internationale organisée par l’ONU, sous l’égide de la France et de l’Arabie saoudite, s’ouvre pour relancer la perspective d’une solution à deux États, israélien et palestinien. Cette initiative survient alors que la pression s’accentue sur Israël pour mettre fin à la guerre à Gaza. L’annonce d’Emmanuel Macron de reconnaître officiellement l’État palestinien en septembre a ravivé l’intérêt pour cette conférence, incitant potentiellement d’autres pays européens à suivre. La France espère notamment convaincre des puissances comme le Royaume-Uni, bien que Londres et Berlin restent pour l’instant prudents. Actuellement, 142 pays membres de l’ONU reconnaissent l’État de Palestine, mais la poursuite de la colonisation israélienne et les velléités d’annexion en Cisjordanie menacent la viabilité de cette solution.

Au-delà de la reconnaissance politique, la conférence entend poser les bases d’une paix durable en abordant trois axes : la réforme de l’Autorité palestinienne, l’exclusion du Hamas par le biais de son désarmement, et la normalisation des relations entre Israël et les pays arabes. Si aucune avancée majeure sur ce dernier point n’est attendue à court terme, la France affirme que, pour la première fois, plusieurs pays arabes condamneront publiquement le Hamas. Le chef de la diplomatie française, Jean-Noël Barrot, souligne l’urgence de l’initiative, estimant que « la perspective de l’existence d’un État palestinien n’a jamais été aussi menacée, ni aussi nécessaire ».

Le Figaro / Illustration

28/07/2025 10:14

Etats-Unis : Un sondage du Wall Street Journal révèle une forte chute de popularité du Parti démocrate, qui atteint son niveau le plus bas depuis 1990

Etats-Unis : Un sondage du Wall Street Journal révèle une forte chute de popularité du Parti démocrate, qui atteint son niveau le plus bas depuis 1990

Un sondage du Wall Street Journal révèle une forte chute de popularité du Parti démocrate, qui atteint son niveau le plus bas depuis 1990 avec 63 % d'opinions défavorables. Seuls 33 % des électeurs y sont favorables, dont 8 % seulement très favorables. Cette situation fragilise la capacité du parti à critiquer Donald Trump, dont les politiques suscitent pourtant un mélange d’inquiétude et d’approbation. Même si 51 % des sondés estiment que Trump engendre le chaos, 45 % pensent qu’il apporte des changements nécessaires. Malgré une impopularité importante du camp républicain, les électeurs jugent que les démocrates feraient pire. Selon le sondeur démocrate John Anzalone, le parti n’a plus de crédibilité et doit reconnecter avec les électeurs sur les valeurs économiques et sociales.

DHnet / Illustration

26/07/2025 10:18

Donald Trump déclare que les déclarations d'Emmanuel Macron sur la reconnaissance d’un État palestinien n’ont « pas beaucoup de poids » et « ne changeront rien »

Donald Trump déclare que les déclarations d'Emmanuel Macron sur la reconnaissance d’un État palestinien n’ont « pas beaucoup de poids » et « ne changeront rien »

Donald Trump a minimisé les déclarations d'Emmanuel Macron sur la reconnaissance d’un État palestinien, affirmant qu’elles n’ont « pas beaucoup de poids » et « ne changeront rien ». Jeudi, Macron avait annoncé que la France reconnaîtra formellement la Palestine lors de l’Assemblée générale de l’ONU en septembre. Cette annonce a suscité la colère d’Israël, qui y voit une « récompense de la terreur » après l’attaque du Hamas le 7 octobre 2023. Les États-Unis ont également rejeté cette initiative, la jugeant « imprudente » et nuisible au processus de paix.

Le Figaro / Illustration

26/07/2025 10:09

57 % des Français sont désormais opposés à la loi Duplomb, selon un sondage

57 % des Français sont désormais opposés à la loi Duplomb, selon un sondage

Selon un sondage Toluna Harris Interactive pour LCI publié le 25 juillet, 57 % des Français sont désormais opposés à la loi Duplomb, dont 29 % totalement opposés, contre 42 % de favorables. Cette loi, contestée notamment pour ses impacts sur l’environnement (61 %) et la santé publique (57 %), suscite une forte mobilisation citoyenne : près de 2 millions de signatures ont été recueillies pour une pétition demandant son retrait. Seuls les électorats de LR (65 % favorables), Ensemble ! (51 %) et RN (50 %) soutiennent majoritairement le texte. Enfin, le soutien à l’allègement des contraintes réglementaires et environnementales chute à 51 %, contre 75 % en mai.

Pour rappel, La loi Duplomb est un projet de loi visant à réduire les contraintes environnementales, sanitaires et administrativespesant sur le secteur agricole, au nom de la simplification et de la compétitivité.​​​​​, réintroduisant notamment de manière dérogatoire l'utilisation de l’acétamipride, un pesticide de la famille des néonicotinoïdes interdit en France mais autorisé ailleurs en Europe.

TF1 / Illustration : TVL

25/07/2025 09:29

Reconnaissance d'un État palestinien par la France : Le secrétaire d’État étasunien Marco Rubio qualifie cette initiative d’« imprudente » et de « camouflet pour les victimes du 7 octobre »

Reconnaissance d'un État palestinien par la France : Le secrétaire d’État étasunien Marco Rubio qualifie cette initiative d’« imprudente » et de « camouflet pour les victimes du 7 octobre »

Les États-Unis ont vivement critiqué la décision d’Emmanuel Macron de reconnaître un État palestinien en septembre, lors de l’Assemblée générale de l’ONU. Le secrétaire d’État Marco Rubio a qualifié cette initiative d’« imprudente » et de « camouflet pour les victimes du 7 octobre », estimant qu’elle favorise la propagande du Hamas et compromet le processus de paix. Washington, fidèle à sa position traditionnelle, rejette toute reconnaissance unilatérale et privilégie une solution négociée à deux États. Cette décision française accentue le fossé entre les États-Unis et certaines capitales européennes, alors que les pourparlers pour un cessez-le-feu à Gaza ont échoué. En France, le Crif a dénoncé de son côté une «faute morale» et «un danger politique».

Le Figaro / Illustration

24/07/2025 09:25

Bruno Retailleau accorde de nouveaux pouvoirs aux préfets pour lutter plus efficacement contre le trafic de drogue

Bruno Retailleau accorde de nouveaux pouvoirs aux préfets pour lutter plus efficacement contre le trafic de drogue

Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a diffusé une circulaire ce mercredi accordant de nouveaux pouvoirs aux préfets, notamment pour lutter plus efficacement contre le trafic de drogue. Ces derniers peuvent désormais imposer des interdictions administratives de paraître sur des « points de deal », une mesure comparable aux interdictions de stade pour les supporters violents. L’objectif est d’éloigner les trafiquants connus, souvent mineurs, des lieux de vente de drogue. La circulaire vise aussi à accélérer l’expulsion de familles jugées indésirables. Mais ce dernier point s’annonce plus complexe à appliquer sur le terrain.

Le Figaro / IIlustration

24/07/2025 09:01

81 % des Français souhaitent que les agresseurs de policiers soient condamnés automatiquement à des peines de prison, selon un sondage

81 % des Français souhaitent que les agresseurs de policiers soient condamnés automatiquement à des peines de prison, selon un sondage

Selon un sondage CSA pour CNEWS, Europe 1 et le JDD, publié le 24 juillet 2025, 81 % des Français souhaitent que les agresseurs de policiers soient condamnés automatiquement à des peines de prison.

Le soutien est fort chez les femmes (83 %), les hommes (80 %), les 65 ans et plus (88 %), ainsi que chez les catégories CSP+ (83 %) et les inactifs (81 %). En revanche, les jeunes de 18-24 ans sont un peu moins favorables (74 %). Politiquement, les sympathisants de droite (96 %), d'extrême droite (90 %) et de la majorité présidentielle (88 %) soutiennent massivement cette mesure. À gauche, le soutien est plus modéré, avec 76 % chez les écologistes et seulement 50 % chez les sympathisants de la France insoumise.

CNews / Illustration

23/07/2025 10:09

Le Comité olympique et paralympique des États-Unis (USOPC) exclut les femmes transgenres des épreuves féminines des JO de Los Angeles 2028

Le Comité olympique et paralympique des États-Unis (USOPC) exclut les femmes transgenres des épreuves féminines des JO de Los Angeles 2028

Le Comité olympique et paralympique des États-Unis (USOPC) a exclu les femmes transgenres des épreuves féminines des JO de Los Angeles 2028, en application d’un décret signé par Donald Trump en février, intitulé « Keeping Men Out of Women's Sports ». Cette mesure, entrée en vigueur le 21 juillet, vise à garantir un environnement de compétition jugé « juste et sécurisé » pour les femmes, selon l'USOPC.

Le Figaro / Illustration

23/07/2025 09:11

Bruno Retailleau déclare que «le macronisme s’achèvera» avec le départ d'Emmanuel Macron en 2027

Bruno Retailleau déclare que  «le macronisme s’achèvera»  avec le départ d'Emmanuel Macron en 2027

Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, a déclaré que le macronisme disparaîtra avec Emmanuel Macron en 2027, estimant qu’il ne repose que sur sa personne et non sur une véritable idéologie. Elisabeth Borne et le parti Renaissance ont dénoncé ses propos comme divisant la majorité. Retailleau rappele toutefois de son côté que sa présence au sein du gouvernement «n'est pas une adhésion au macronisme», mais est animée par «l'intérêt général» et son refus que «la gauche mélenchonisée » ne puisse accéder au pouvoir.

CNews / Illustration

22/07/2025 10:33

Brésil : Jair Bolsonaro menacé d'emprisonnement immédiat pour «non-respect» de l'interdiction d'utiliser les réseaux sociaux

Brésil : Jair Bolsonaro menacé d'emprisonnement immédiat pour «non-respect» de l'interdiction d'utiliser les réseaux sociaux

Le juge de la Cour suprême brésilienne Alexandre de Moraes a accusé Jair Bolsonaro et son fils Eduardo d'inciter à des « actes hostiles » des États-Unis contre le Brésil et de tenter d'entraver son procès pour tentative de coup d’État. Malgré une interdiction d’utiliser les réseaux sociaux et le port imposé d’un bracelet électronique depuis vendredi, Bolsonaro a vu ses déclarations aux médias relayées en ligne. Le juge a sommé ses avocats de s'expliquer, brandissant la menace d'un emprisonnement immédiat, sur cette diffusion jugée illégale.

Le Figaro / Illustration

22/07/2025 08:56

La cote de popularité d'Emmanuel Macron chute sous la barre des 20%

La cote de popularité d'Emmanuel Macron chute sous la barre des 20%

En juillet 2025, la cote de popularité d'Emmanuel Macron chute à 19 %, un niveau historiquement bas, partagé avec son Premier ministre François Bayrou (18 %), selon un sondage Ifop pour le JDD. Cette impopularité est accentuée par l’annonce d’un plan d’économies de 44 milliards d’euros pour le budget 2026, qui a suscité un fort mécontentement dans l’opinion publique. Macron avait déjà touché un seuil très bas en décembre 2018 (18 %), en pleine crise des Gilets jaunes. Il figure donc parmi les présidents les plus impopulaires, mais n’a pas encore battu les records de ses prédécesseurs.

actu / Illustration

19/07/2025 09:13

La Commission européenne propose de tripler les futurs frais d’entrée dans l’UE via l’autorisation de voyage ETIAS, les faisant passer de 7 à 20 euros, justifiant cette mesure par l’inflation et les coûts opérationnels

La Commission européenne propose de tripler les futurs frais d’entrée dans l’UE via l’autorisation de voyage ETIAS, les faisant passer de 7 à 20 euros, justifiant cette mesure par l’inflation et les coûts opérationnels

La Commission européenne propose de tripler les futurs frais d’entrée dans l’UE via l’autorisation de voyage ETIAS, les faisant passer de 7 à 20 euros. Cette hausse est justifiée par l’inflation et les coûts opérationnels. L’ETIAS concernera les ressortissants d’environ 60 pays exemptés de visa de court séjour, comme les États-Unis, le Royaume-Uni ou le Brésil.

Valable trois ans, cette autorisation permettra de séjourner jusqu’à 90 jours dans l’espace Schengen (hors Irlande). Les moins de 18 ans et les plus de 70 ans seront exemptés de frais. Le système, initialement prévu pour 2024, est désormais attendu fin 2026. L’UE espère ainsi renforcer ses ressources budgétaires tout en s’alignant sur les tarifs d’autres pays comme les États-Unis ou le Royaume-Uni.

Le Figaro / Illustration

12/07/2023
12:21
29/07/2025
10:03
09:38
28/07/2025
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10:14
26/07/2025
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25/07/2025
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24/07/2025
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23/07/2025
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22/07/2025
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19/07/2025
09:13