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Par Valentin - 30/01/2023 11:53

[La Chronique Agora] La débâcle du plafond de la dette : Une guerre perdue d’avance de plus, comme toutes les autres menées par les gouvernements de nations en déclin…

[La Chronique Agora] La débâcle du plafond de la dette : Une guerre perdue d’avance de plus, comme toutes les autres menées par les gouvernements de nations en déclin…

La semaine dernière, nous étions dans le Poitou pour visiter la maison que nous y possédons depuis maintenant plus d’un quart de siècle. C’est encore, hélas, un chantier en cours… fonctionnel, habitable… mais loin d’être confortable.

Pendant notre séjour, nous avons rendu visite à une voisine vive et intelligente. Une femme séduisante d’environ notre âge (née en 1947) ; elle avait beaucoup à dire.

La science infuse

Pour commencer :

« Je ne peux même pas en parler à ma famille. Soit ils se sentent offensés… soit ils pensent que je suis folle. Ils ont été formés par une génération de soixante-huitards. Ils croient toutes ces choses – que la planète est en danger… que nous devrions tous être obligés de nous faire vacciner… que le gouvernement peut dépenser autant d’argent qu’il le souhaite… que ceux d’entre nous qui doutent de ces choses… ou qui ont un quelconque sens de la tradition, des manières et des coutumes… ne font qu’entraver le progrès… et que nous devrions toujours suivre ‘la Science’, comme les élites la perçoivent, bien sûr…

« J’essaie de leur expliquer que la science représente un moyen de découvrir la vérité. Si vous pensez que vous connaissez déjà la vérité – que vous avez la science infuse – vous n’avez pas besoin de la science du tout. Et je pourrais continuer encore et encore, avec bien d’autres exemples… »

Nous étions sûrs qu’elle le pourrait ! Et elle l’a fait. Mais faisons d’abord le point sur les marchés.

Les investisseurs hésitent encore… vacillent… ne savent pas trop quelle direction prendre. Comme des passagers perdus dans le métro parisien, ils tournent à gauche, ils tournent à droite… d’abord paralysés par le choix… puis finissent par être fatigués de faire les mauvais choix.

Nous ne savons pas non plus quelle direction les marchés vont prendre… mais nous pensons que « l’argent intelligent » anticipe la baisse. Si ce n’est pas maintenant, ce sera bientôt.

Il y a simplement trop de peaux de bananes sur le sol. L’une d’entre elles va forcément nous échapper.

Le 20 janvier, le gouvernement fédéral américain s’est heurté au plafond de sa dette. Mme Yellen, qui était auparavant responsable de la politique monétaire de la Fed, et qui s’occupe maintenant de la politique fiscale, explique qu’elle peut recourir à des « mesures extraordinaires » pour maintenir le chauffage du Capitole. Mais ces mesures ne dureront pas éternellement. En juin, la pression sera forte… et le plafond devra être relevé.

Bataille fictive

Les experts en politique américaine affirment que les « conservateurs » insisteront sur les coupes budgétaires avant d’accepter de relever le plafond de la dette. Mais c’est ce qu’ils disent chaque fois que le plafond est relevé. Et, au final, le plafond est relevé sans aucune contrainte réelle sur les dépenses.

Le combat sur le relèvement du plafond de la dette est un simulacre de combat. Les deux camps tirent à blanc. Les deux jurent de se battre jusqu’au dernier homme pour obtenir ce qu’ils veulent. Puis, finalement, les deux s’accordent à dire que ce dont ils ont besoin, c’est de plus d’argent à dépenser.

Oui, le déclin de l’empire américain se produit avec l’avis et le consentement des deux partis. Les républicains et les démocrates prétendent être des concurrents féroces. Mais le membre du Congrès moyen a beaucoup moins en commun avec ses propres électeurs qu’avec ses collègues du Capitole – même ceux du camp opposé.

Ils vivent tous dans la même région. Ils gagnent la même somme d’argent – augmentée par les mêmes contributions sordides des industries qu’ils réglementent. Et ils ont tous le même intérêt à voir le flux d’argent provenant du peuple se diriger vers les poches de l’élite, sans interruption.

Ainsi, le « plafond » de la dette est en lévitation et les peaux de bananes prolifèrent.

La Fed augmente les taux et la masse monétaire diminue ; à un moment donné, il y aura au moins un acteur majeur du pays qui sera incapable de refinancer ses dettes. Les salaires réels ont baissé pendant 21 mois d’affilée ; tôt ou tard, les ménages devront cesser de dépenser de l’argent. Les taux de croissance sont pathétiquement bas. Les taux d’épargne sont proches de leur plus bas niveau historique. La productivité diminue au rythme le plus rapide depuis 40 ans.

Les autorités américaines essaient de réduire l’approvisionnement en énergie fossile, la même qui nous a rendus si prospères. Et l’industrie de la défense – qui paie les deux partis politiques, la presse et les universités – conduit le pays vers un autre énorme désastre.

Nous rappelons aux lecteurs que le progrès, tel qu’il existe – que ce soit au sein d’un mariage, de l’économie ou de la politique – est cyclique. Un jour, nous profitons de baisers chaleureux ; le lendemain, on nous rappelle de sortir les poubelles. Un jour, il y a un grand boom des actions… puis, il y a un krach. L’optimisme prévaut… jusqu’à ce que les faits se révèlent au grand jour ; alors le pessimisme prend le dessus.

Et inévitablement, il y a des dérapages. Notre amie était sur le coup :

« Vous avez vu ces manifestations à la télé ? »

Un système truqué

Nous n’avons pas vu, car nous n’avons pas la télé. Mais nous savions qu’elle parlait des grandes manifestations contre le relèvement de l’âge de la retraite.

« Parmi les manifestants, beaucoup peuvent être considérés comme des enfants gâtés. Certains n’ont jamais eu de travail, et ont toujours bénéficié de l’aide du gouvernement.

Sans les immigrés, qui ont beaucoup d’enfants, la population de la France diminuerait considérablement. A l’heure actuelle, il n’y a que 1,7 travailleur pour chaque personne retraitée. Comment pouvez-vous soutenir un tel système ?

La clé était de vous donner plus d’argent à la retraite, que ce que vous avez cotisé. Sinon, vous ne voudriez pas le faire. Mais comment ce système pouvait-il fonctionner ? »

A ce moment-là, nous n’avions plus aucun doute. La dame en face de nous avait entamé une jérémiade contre la philosophie politique moderne dans son intégralité.

« La démocratie est une fraude. Tout le monde vote mais cela ne veut rien dire. Nous abandonnons la moitié de nos revenus… et obtenons des programmes qui ne servent que l’élite. Dans les coulisses, l’élite – et nous ne savons jamais exactement qui c’est – a truqué le système.  

Macron, par exemple, le petit jeune qui a épousé sa mère… d’où vient-il ? Ils ont éliminé DSK. Et ce n’est pas une mauvaise chose, à mon avis. Il était affreux.

Mais quelqu’un voulait se débarrasser de lui. Et maintenant, nous avons la marionnette Macron. Pour qui travaille-t-il ? Nous ne le savons pas… probablement pour les hommes de Davos. Il est diplômé de leur programme ‘Global Leaders’, vous savez. »

Comme toujours, plus à venir…

Rédigé par Bill Bonner 

La Chronique Agora

29/07/2025 10:03

Écologie : Des centaines de fonds "verts" préfèrent changer de nom plutôt que de renoncer à investir dans les énergies fossiles

Écologie : Des centaines de fonds "verts" préfèrent changer de nom plutôt que de renoncer à investir dans les énergies fossiles

Depuis le 21 mai 2025, de nouvelles règles imposées par l’Autorité européenne des marchés financiers (ESMA) encadrent l’utilisation de termes comme « vert », « durable » ou « transition » dans les noms des fonds d’investissement. Pour utiliser ces appellations, un fonds doit désormais consacrer au moins 80 % de ses investissements à des actifs réellement durables sur le plan environnemental ou social. Résultat : entre mai 2024 et juillet 2025, environ 1 300 fonds sur 5 500 ont retiré ces termes de leur nom, selon les données de Morningstar Sustainalytics, afin d’éviter de devoir changer leur stratégie d’investissement – notamment en continuant à financer des entreprises actives dans les énergies fossiles.

Le Monde / illustration

29/07/2025 09:38

L’accord commercial entre Trump et von der Leyen impose 15 % de droits de douane sur la plupart des produits européens importés aux Etats-Unis

L’accord commercial entre Trump et von der Leyen impose 15 % de droits de douane sur la plupart des produits européens importés aux Etats-Unis

Le président américain Donald Trump et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ont annoncé un accord imposant des droits de douane de 15 % sur la plupart des produits européens importés aux États-Unis. Cet accord, présenté comme une réponse au déséquilibre commercial, marque une nouvelle ère de protectionnisme américain. Plusieurs secteurs sont directement concernés. Les médicaments, jusqu’ici exemptés, seront désormais taxés à 15 %, bien qu’ils constituent la principale exportation européenne vers les États-Unis. Dans le secteur automobile, la taxe est abaissée à 15 %, contre 27,5 % ces derniers mois, ce qui soulage partiellement l’industrie européenne, notamment allemande. En revanche, les produits de luxe et les cosmétiques ne bénéficieront d’aucune exception : LVMH et d'autres géants du secteur envisagent d’augmenter leurs prix ou de relocaliser une partie de leur production aux États-Unis. Pour l’aéronautique, l’accord supprime totalement les droits de douane, une avancée importante pour ce secteur fortement mondialisé. En matière agroalimentaire, certains produits agricoles pourraient être exemptés, mais aucun détail précis n’a été communiqué. Les vins et spiritueux ne sont pas encore couverts par l’accord : des discussions restent à venir. Par ailleurs, l’Union européenne s’est engagée à réaliser des achats stratégiques pour 750 milliards de dollars (notamment en énergie et technologies), à investir 600 milliards de dollars aux États-Unis et à acheter du matériel militaire américain pour plusieurs centaines de milliards. Toutefois, certaines zones de flou persistent, notamment sur l’acier et l’aluminium. En contrepartie, l’UE a suspendu des mesures de rétorsion évaluées à 93 milliards d’euros qui devaient s’appliquer dès le 7 août.

Le Monde 

28/07/2025 10:46

🇮🇱Israël/🇵🇸Palestine : Une conférence internationale organisée par l’ONU, sous l’égide de la France et de l’Arabie saoudite, s’ouvre pour relancer la perspective d’une solution à deux États

🇮🇱Israël/🇵🇸Palestine : Une conférence internationale organisée par l’ONU, sous l’égide de la France et de l’Arabie saoudite, s’ouvre pour relancer la perspective d’une solution à deux États

Une conférence internationale organisée par l’ONU, sous l’égide de la France et de l’Arabie saoudite, s’ouvre pour relancer la perspective d’une solution à deux États, israélien et palestinien. Cette initiative survient alors que la pression s’accentue sur Israël pour mettre fin à la guerre à Gaza. L’annonce d’Emmanuel Macron de reconnaître officiellement l’État palestinien en septembre a ravivé l’intérêt pour cette conférence, incitant potentiellement d’autres pays européens à suivre. La France espère notamment convaincre des puissances comme le Royaume-Uni, bien que Londres et Berlin restent pour l’instant prudents. Actuellement, 142 pays membres de l’ONU reconnaissent l’État de Palestine, mais la poursuite de la colonisation israélienne et les velléités d’annexion en Cisjordanie menacent la viabilité de cette solution.

Au-delà de la reconnaissance politique, la conférence entend poser les bases d’une paix durable en abordant trois axes : la réforme de l’Autorité palestinienne, l’exclusion du Hamas par le biais de son désarmement, et la normalisation des relations entre Israël et les pays arabes. Si aucune avancée majeure sur ce dernier point n’est attendue à court terme, la France affirme que, pour la première fois, plusieurs pays arabes condamneront publiquement le Hamas. Le chef de la diplomatie française, Jean-Noël Barrot, souligne l’urgence de l’initiative, estimant que « la perspective de l’existence d’un État palestinien n’a jamais été aussi menacée, ni aussi nécessaire ».

Le Figaro / Illustration

28/07/2025 10:14

Etats-Unis : Un sondage du Wall Street Journal révèle une forte chute de popularité du Parti démocrate, qui atteint son niveau le plus bas depuis 1990

Etats-Unis : Un sondage du Wall Street Journal révèle une forte chute de popularité du Parti démocrate, qui atteint son niveau le plus bas depuis 1990

Un sondage du Wall Street Journal révèle une forte chute de popularité du Parti démocrate, qui atteint son niveau le plus bas depuis 1990 avec 63 % d'opinions défavorables. Seuls 33 % des électeurs y sont favorables, dont 8 % seulement très favorables. Cette situation fragilise la capacité du parti à critiquer Donald Trump, dont les politiques suscitent pourtant un mélange d’inquiétude et d’approbation. Même si 51 % des sondés estiment que Trump engendre le chaos, 45 % pensent qu’il apporte des changements nécessaires. Malgré une impopularité importante du camp républicain, les électeurs jugent que les démocrates feraient pire. Selon le sondeur démocrate John Anzalone, le parti n’a plus de crédibilité et doit reconnecter avec les électeurs sur les valeurs économiques et sociales.

DHnet / Illustration

26/07/2025 10:18

Donald Trump déclare que les déclarations d'Emmanuel Macron sur la reconnaissance d’un État palestinien n’ont « pas beaucoup de poids » et « ne changeront rien »

Donald Trump déclare que les déclarations d'Emmanuel Macron sur la reconnaissance d’un État palestinien n’ont « pas beaucoup de poids » et « ne changeront rien »

Donald Trump a minimisé les déclarations d'Emmanuel Macron sur la reconnaissance d’un État palestinien, affirmant qu’elles n’ont « pas beaucoup de poids » et « ne changeront rien ». Jeudi, Macron avait annoncé que la France reconnaîtra formellement la Palestine lors de l’Assemblée générale de l’ONU en septembre. Cette annonce a suscité la colère d’Israël, qui y voit une « récompense de la terreur » après l’attaque du Hamas le 7 octobre 2023. Les États-Unis ont également rejeté cette initiative, la jugeant « imprudente » et nuisible au processus de paix.

Le Figaro / Illustration

26/07/2025 10:09

57 % des Français sont désormais opposés à la loi Duplomb, selon un sondage

57 % des Français sont désormais opposés à la loi Duplomb, selon un sondage

Selon un sondage Toluna Harris Interactive pour LCI publié le 25 juillet, 57 % des Français sont désormais opposés à la loi Duplomb, dont 29 % totalement opposés, contre 42 % de favorables. Cette loi, contestée notamment pour ses impacts sur l’environnement (61 %) et la santé publique (57 %), suscite une forte mobilisation citoyenne : près de 2 millions de signatures ont été recueillies pour une pétition demandant son retrait. Seuls les électorats de LR (65 % favorables), Ensemble ! (51 %) et RN (50 %) soutiennent majoritairement le texte. Enfin, le soutien à l’allègement des contraintes réglementaires et environnementales chute à 51 %, contre 75 % en mai.

Pour rappel, La loi Duplomb est un projet de loi visant à réduire les contraintes environnementales, sanitaires et administrativespesant sur le secteur agricole, au nom de la simplification et de la compétitivité.​​​​​, réintroduisant notamment de manière dérogatoire l'utilisation de l’acétamipride, un pesticide de la famille des néonicotinoïdes interdit en France mais autorisé ailleurs en Europe.

TF1 / Illustration : TVL

25/07/2025 09:29

Reconnaissance d'un État palestinien par la France : Le secrétaire d’État étasunien Marco Rubio qualifie cette initiative d’« imprudente » et de « camouflet pour les victimes du 7 octobre »

Reconnaissance d'un État palestinien par la France : Le secrétaire d’État étasunien Marco Rubio qualifie cette initiative d’« imprudente » et de « camouflet pour les victimes du 7 octobre »

Les États-Unis ont vivement critiqué la décision d’Emmanuel Macron de reconnaître un État palestinien en septembre, lors de l’Assemblée générale de l’ONU. Le secrétaire d’État Marco Rubio a qualifié cette initiative d’« imprudente » et de « camouflet pour les victimes du 7 octobre », estimant qu’elle favorise la propagande du Hamas et compromet le processus de paix. Washington, fidèle à sa position traditionnelle, rejette toute reconnaissance unilatérale et privilégie une solution négociée à deux États. Cette décision française accentue le fossé entre les États-Unis et certaines capitales européennes, alors que les pourparlers pour un cessez-le-feu à Gaza ont échoué. En France, le Crif a dénoncé de son côté une «faute morale» et «un danger politique».

Le Figaro / Illustration

24/07/2025 09:25

Bruno Retailleau accorde de nouveaux pouvoirs aux préfets pour lutter plus efficacement contre le trafic de drogue

Bruno Retailleau accorde de nouveaux pouvoirs aux préfets pour lutter plus efficacement contre le trafic de drogue

Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a diffusé une circulaire ce mercredi accordant de nouveaux pouvoirs aux préfets, notamment pour lutter plus efficacement contre le trafic de drogue. Ces derniers peuvent désormais imposer des interdictions administratives de paraître sur des « points de deal », une mesure comparable aux interdictions de stade pour les supporters violents. L’objectif est d’éloigner les trafiquants connus, souvent mineurs, des lieux de vente de drogue. La circulaire vise aussi à accélérer l’expulsion de familles jugées indésirables. Mais ce dernier point s’annonce plus complexe à appliquer sur le terrain.

Le Figaro / IIlustration

24/07/2025 09:01

81 % des Français souhaitent que les agresseurs de policiers soient condamnés automatiquement à des peines de prison, selon un sondage

81 % des Français souhaitent que les agresseurs de policiers soient condamnés automatiquement à des peines de prison, selon un sondage

Selon un sondage CSA pour CNEWS, Europe 1 et le JDD, publié le 24 juillet 2025, 81 % des Français souhaitent que les agresseurs de policiers soient condamnés automatiquement à des peines de prison.

Le soutien est fort chez les femmes (83 %), les hommes (80 %), les 65 ans et plus (88 %), ainsi que chez les catégories CSP+ (83 %) et les inactifs (81 %). En revanche, les jeunes de 18-24 ans sont un peu moins favorables (74 %). Politiquement, les sympathisants de droite (96 %), d'extrême droite (90 %) et de la majorité présidentielle (88 %) soutiennent massivement cette mesure. À gauche, le soutien est plus modéré, avec 76 % chez les écologistes et seulement 50 % chez les sympathisants de la France insoumise.

CNews / Illustration

23/07/2025 10:09

Le Comité olympique et paralympique des États-Unis (USOPC) exclut les femmes transgenres des épreuves féminines des JO de Los Angeles 2028

Le Comité olympique et paralympique des États-Unis (USOPC) exclut les femmes transgenres des épreuves féminines des JO de Los Angeles 2028

Le Comité olympique et paralympique des États-Unis (USOPC) a exclu les femmes transgenres des épreuves féminines des JO de Los Angeles 2028, en application d’un décret signé par Donald Trump en février, intitulé « Keeping Men Out of Women's Sports ». Cette mesure, entrée en vigueur le 21 juillet, vise à garantir un environnement de compétition jugé « juste et sécurisé » pour les femmes, selon l'USOPC.

Le Figaro / Illustration

23/07/2025 09:11

Bruno Retailleau déclare que «le macronisme s’achèvera» avec le départ d'Emmanuel Macron en 2027

Bruno Retailleau déclare que  «le macronisme s’achèvera»  avec le départ d'Emmanuel Macron en 2027

Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, a déclaré que le macronisme disparaîtra avec Emmanuel Macron en 2027, estimant qu’il ne repose que sur sa personne et non sur une véritable idéologie. Elisabeth Borne et le parti Renaissance ont dénoncé ses propos comme divisant la majorité. Retailleau rappele toutefois de son côté que sa présence au sein du gouvernement «n'est pas une adhésion au macronisme», mais est animée par «l'intérêt général» et son refus que «la gauche mélenchonisée » ne puisse accéder au pouvoir.

CNews / Illustration

22/07/2025 10:33

Brésil : Jair Bolsonaro menacé d'emprisonnement immédiat pour «non-respect» de l'interdiction d'utiliser les réseaux sociaux

Brésil : Jair Bolsonaro menacé d'emprisonnement immédiat pour «non-respect» de l'interdiction d'utiliser les réseaux sociaux

Le juge de la Cour suprême brésilienne Alexandre de Moraes a accusé Jair Bolsonaro et son fils Eduardo d'inciter à des « actes hostiles » des États-Unis contre le Brésil et de tenter d'entraver son procès pour tentative de coup d’État. Malgré une interdiction d’utiliser les réseaux sociaux et le port imposé d’un bracelet électronique depuis vendredi, Bolsonaro a vu ses déclarations aux médias relayées en ligne. Le juge a sommé ses avocats de s'expliquer, brandissant la menace d'un emprisonnement immédiat, sur cette diffusion jugée illégale.

Le Figaro / Illustration

22/07/2025 08:56

La cote de popularité d'Emmanuel Macron chute sous la barre des 20%

La cote de popularité d'Emmanuel Macron chute sous la barre des 20%

En juillet 2025, la cote de popularité d'Emmanuel Macron chute à 19 %, un niveau historiquement bas, partagé avec son Premier ministre François Bayrou (18 %), selon un sondage Ifop pour le JDD. Cette impopularité est accentuée par l’annonce d’un plan d’économies de 44 milliards d’euros pour le budget 2026, qui a suscité un fort mécontentement dans l’opinion publique. Macron avait déjà touché un seuil très bas en décembre 2018 (18 %), en pleine crise des Gilets jaunes. Il figure donc parmi les présidents les plus impopulaires, mais n’a pas encore battu les records de ses prédécesseurs.

actu / Illustration

19/07/2025 09:13

La Commission européenne propose de tripler les futurs frais d’entrée dans l’UE via l’autorisation de voyage ETIAS, les faisant passer de 7 à 20 euros, justifiant cette mesure par l’inflation et les coûts opérationnels

La Commission européenne propose de tripler les futurs frais d’entrée dans l’UE via l’autorisation de voyage ETIAS, les faisant passer de 7 à 20 euros, justifiant cette mesure par l’inflation et les coûts opérationnels

La Commission européenne propose de tripler les futurs frais d’entrée dans l’UE via l’autorisation de voyage ETIAS, les faisant passer de 7 à 20 euros. Cette hausse est justifiée par l’inflation et les coûts opérationnels. L’ETIAS concernera les ressortissants d’environ 60 pays exemptés de visa de court séjour, comme les États-Unis, le Royaume-Uni ou le Brésil.

Valable trois ans, cette autorisation permettra de séjourner jusqu’à 90 jours dans l’espace Schengen (hors Irlande). Les moins de 18 ans et les plus de 70 ans seront exemptés de frais. Le système, initialement prévu pour 2024, est désormais attendu fin 2026. L’UE espère ainsi renforcer ses ressources budgétaires tout en s’alignant sur les tarifs d’autres pays comme les États-Unis ou le Royaume-Uni.

Le Figaro / Illustration

30/01/2023
11:53
29/07/2025
10:03
09:38
28/07/2025
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10:14
26/07/2025
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25/07/2025
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24/07/2025
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23/07/2025
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22/07/2025
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19/07/2025
09:13