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Par Valentin - 20/07/2023 12:05

[La Chronique Agora] Néo-banques : début de la fin ou rebond ? Comme les banques en ligne, elles traversent une période difficile… depuis quelques années. Dans ces conditions, est-ce encore une bonne idée de confier ses économies à une néo-banque ?

[La Chronique Agora] Néo-banques : début de la fin ou rebond ? Comme les banques en ligne, elles traversent une période difficile… depuis quelques années. Dans ces conditions, est-ce encore une bonne idée de confier ses économies à une néo-banque ?

Les néo-banques n’arrêtent pas de faire parler d’elles : rachat, levée de fonds, fermeture, développement… Vont-elles finir par concurrencer vraiment les banques traditionnelles ou vont-elles finir par être absorbées comme leurs grandes sœurs les banques en ligne ? Petite revue de détail.

Ne pas confondre néo-banques et banques en ligne

Les termes sont souvent confondus. Pourtant, ils désignent deux activités certes très proches, mais néanmoins différentes. Les banques en ligne, comme leur nom l’indique, sont des établissements bancaires présents sur Internet. La première sur le marché français fut Cortal, créé en 1984 par la Compagnie bancaire (rachetée par Paribas qui, à son tour, sera rachetée par BNP, cette dernière transférant les comptes de Cortal à Hello Bank en 2016).

C’est surtout au début des années 2000 que les banques en ligne se sont multipliées. Elles sont alors indépendantes – comme Zebank ou Boursorama – ou filiales d’établissements étrangers – comme Bibop ou ING. Cette première génération de banques à distance propose surtout des services d’épargne et de courtage en Bourse, sans ouverture de compte bancaire, et à frais réduits. Elles s’adressent aux jeunes urbains, aux clients « modernes » séduits par les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC), ou encore aux cadres très mobiles ou expatriés cherchant une solution pour gérer leurs comptes de n’importe quel endroit de la planète. Petit à petit, elles deviendront des banques à part entière, sans agences physiques toutefois.

Si le développement d’Internet a permis l’émergence des banques en ligne, c’est celui de l’Internet mobile qui a fait le succès des néo-banques. Apparues au début des années 2010, elles s’appuient, en effet, principalement – et parfois exclusivement – sur leurs applications pour smartphones. Leur principal attrait est de proposer, en règle générale, une ouverture de compte facile et rapide (quelques minutes) et de ne pas exiger de conditions de ressources. Elles sont réellement accessibles au plus grand nombre, à condition toutefois, nous l’avons dit, de posséder un smartphone.

La différence de taille entre les néo-banques et les autres est que les premières sont généralement des « établissements de paiement », selon la classification de la Banque de France. Pour le dire autrement, elles ne sont pas de « vraies » banques, ne pouvant pas proposer de découvert, de chéquier, pas plus que de solutions d’épargne ou de crédit.

Des banques qui ne gagnent pas d’argent

Si les banques traditionnelles ont pu être surprises par l’arrivée des banques en ligne, puis des néo-banques, elles ont su rebondir rapidement. Elles ont ainsi créé leur propre banque en ligne ou racheté un établissement existant. Aujourd’hui, en France, plus une seule banque en ligne n’est indépendante : Bforbank est filiale du Crédit Agricole, Boursorama de Société Générale, Fortuneo de Crédit Mutuel Arkéa, Hello Bank, nous l’avons vu, de BNP Paribas, et Monabanq de Crédit Mutuel Alliance fédérale.

Ces emplettes des banques traditionnelles chez les banques en ligne ont été facilitées par le fait que ces dernières ne gagnent en général pas d’argent. Aujourd’hui, seules Fortuneo et Boursorama seraient rentables.

Ainsi la néerlandaise ING, arrivée en France en 2000, l’une des premières banques en ligne de l’Hexagone, a-t-elle fini par jeter l’éponge après plus de 20 ans de pertes. ING avait l’ambition de faire oublier la banque traditionnelle. Mais, en 2021, le groupe annonçait sa décision de fermer son établissement français « du fait des difficultés liées au contexte économique actuel, et notamment la faiblesse des taux d’intérêts, des résultats financiers négatifs enregistrés par la banque en ligne ces dernières années et de sa part de marché relativement limité ». Bref, la banque n’a jamais vraiment réussi à percer.

Alors que la plupart des banques en ligne insistent sur la qualité du service rendu pour se distinguer, ING a mis l’expérience client de côté au moment de sa sortie du territoire. Pourtant la banque néerlandaise avait annoncé qu’elle faciliterait les transferts de comptes vers Boursorama, choisi comme partenaire. Une procédure simplifiée avait été mise en place et ING devait contacter ses clients pour leur proposer cette option. Ceux qui préféraient transférer leur compte dans une autre banque devaient, en revanche, suivre la procédure classique, plus longue et, souvent, plus fastidieuse.

Toujours est-il qu’en juillet 2022, ING commença à fermer les comptes encore existants et que de nombreux clients se sont retrouvés sans compte du jour au lendemain, c’est-à-dire sans moyens de paiement ! Le cafouillage a aussi été maximal sur les comptes d’épargne, des livrets réglementés aux PEA et comptes-titres. Quant à ceux qui détenaient une assurance-vie, ils ont vu leur contrat transféré chez Boursorama sans qu’ils aient eu leur mot à dire. Tout cela a décidé France Conso Banque à entamer une action collective pour faire valoir les droits des clients qui ont été lésés.

Les banques traditionnelles ne sont pas non plus restées à l’écart du mouvement des néo-banques. BNP Paribas a ainsi racheté Nickel en 2017 ; l’année suivante, La Banque postale a créé Ma French Bank en 2018 et Crédit Agricole a lancé Eko ; Shine, qui s’adresse aux entrepreneurs, a été reprise par Société Générale en 2020.

Quand la banque fait flop

Il faut dire que les néo-banques connaissent aussi des déboires. C-Zam, par exemple, créée par Carrefour en 2017 a fermé boutique en juillet 2020. Les dernières communications du groupe faisaient état d’environ 120 000 clients à la fin de l’année 2018… bien loin de la taille critique. Prismea, lancée par le Crédit du Nord en 2020, à l’intention des entreprises, a cessé d’exister.

Le dernier flop en date est celui d’Orange Bank. Rappelons que l’idée de départ, en 2017, était de séduire les clients d’Orange (plus de 20 millions en France rien que pour l’offre mobile) pour surpasser toutes les autres banques en ligne, et donner un relai de croissance au groupe qui subissait la concurrence de Free. Orange espérait aussi pouvoir fidéliser ses clients, le taux de désabonnement étant très important dans les télécoms. L’objectif était d’atteindre 2 millions de clients d’ici 2027 et ne plus perdre d’argent au bout de quatre à cinq ans.

Certes, les 2 millions de clients ont été atteints (en incluant la filiale espagnole) plus rapidement que prévu, mais le cumul des pertes d’exploitation depuis 2017 dépasse le milliard d’euros, obligeant la maison-mère à recapitaliser la banque régulièrement. C’est donc bien parce que les résultats n’étaient pas au rendez-vous que l’opérateur téléphonique a fini par conclure un accord avec BNP Paribas.

Les 500 000 clients d’Orange Bank ont donc été invités à rejoindre Hello Bank, qui compte 800 000 clients en France. Celle-ci aurait plus de 3 millions de clients en Europe (principalement en Belgique et en Allemagne) où elle serait rentable. En France toutefois, elle ne gagne toujours pas d’argent et vise l’équilibre d’ici 2025.

On peut donc se demander si les néo-banques, nombreuses à rester indépendantes, comme N26, Revolut, Lydia, Bunq, CanB, Qonto, etc., vont le rester longtemps encore étant donné les difficultés que connaît le secteur.

Des millions de clients concernés

Dernièrement, N26 a annoncé supprimer 71 postes à son siège de Berlin. On ne peut pas vraiment dire que la banque « taille dans ses effectifs » comme l’ont titré Les Échos, car cela ne représente que 4% de ses 1 700 salariés. Pas de quoi affoler les marchés ! En revanche, ses pertes – 151 M€ en 2020, 172 M€ en 2021– inquiètent davantage. Allianz, actionnaire historique, voudrait se séparer de sa participation de 5,3%.

Il faut dire que N26 n’est pas vraiment aidée par l’administration de son pays. La BaFin (Bundesanstalt für Finanzdienstleistungsaufsicht, ou Autorité fédérale de supervision financière, l’équivalent de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution française) lui a imposé en 2021 de limiter l’acquisition de nouveaux clients à 50 000 par mois, afin de réduire les risques et concentrer ses ressources sur la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Pointant les lacunes de la banque en la matière, la BaFin lui avait infligé 4 M€ d’amendes en mai 2021. Difficile dans ces conditions de faire des bénéfices !

Pourtant, les clients sont là : 8 millions en Europe, dont 2,5 millions en France où la banque serait bénéficiaire. N26 espère beaucoup se développer dans notre pays et compte doubler sa clientèle d’ici 2025.

Pour ce faire elle a ouvert une succursale en France afin de pouvoir proposer un IBAN français. Cela devrait l’aider à séduire de nouveaux clients qui hésitaient à franchir le pas puisque de nombreuses entreprises refusent les prélèvements ou les versements sur des comptes avec un IBAN étranger. N26 devrait, dans les prochains mois, proposer un compte à terme rémunéré, mais aussi autoriser les découverts.

Le problème des valorisations

Autre grand acteur, la britannique Revolut a aussi longtemps cumulé les pertes, même si elle a annoncé avoir réalisé ses premiers bénéfices en 2021, essentiellement grâce à son activité de trading de cryptomonnaies. Pour l’exercice 2022, les résultats n’ont pas encore été publiés. On sait tout de même qu’elle a réalisé 850 M£ de chiffre d’affaires contre 636 M£ en 2021. Aujourd’hui, la néo-banque revendique plus de 27 millions de clients, soit plus du double qu’au début de l’année 2021. Ses salariés ont aussi été multipliés par deux et sont près de 6 000 à ce jour.

Tout irait donc pour le mieux… si les valorisations n’étaient pas en chute libre. En juillet 2021, Revolut annonçait avoir levé 800 M$. Un tour de table qui la valorisait 33 Mds$. Aujourd’hui, la société vaudrait 40% de moins. C’est en tout cas ce que pense le fonds Molten Ventures, qui a revu la valeur de sa participation à la baisse dans ses comptes, la faisant passer de 91 M£ en mars 2022 à 55 M£ en mars 2023.

Cette baisse touche tout le secteur des fintechs. Le BCG, qui valorisait en moyenne les start-ups de la finance 20 fois leurs revenus il y a deux ans, ne les valorise plus que 4 fois leurs revenus aujourd’hui.

Conséquence, l’argent ne coule plus à flot. Comme le dit Maximilian Tayenthal, le patron de N26, « les levées de fonds sont plus compliquées pour tout le monde ». Leur croissance pourrait donc se trouver entravée, les néo-banques ayant besoin de beaucoup d’argent pour conquérir de nouveaux clients.

Nous verrons demain que si la situation est compliquée pour certaines de ces banques, d’autres pourraient en profiter pour tirer leur épingle du jeu.

Rédigé par Patrick Coquart 

La Chronique Agora

17/09/2025 08:41

En dix ans, la facture annuelle moyenne de gaz des ménages français a doublé, selon une étude réalisée par le comparateur Selectra

En dix ans, la facture annuelle moyenne de gaz des ménages français a doublé, selon une étude réalisée par le comparateur Selectra

En dix ans, la facture annuelle moyenne de gaz des ménages français a doublé, selon une étude réalisée par le comparateur Selectra, passant de 747 € à 1511 €. Selon cette étude, cela s’explique surtout par la flambée des prix en 2021-2022 liée à la guerre en Ukraine et à la baisse de production nucléaire, ainsi que par une hausse de 155 % des taxes sur le gaz entre 2016 et 2025. Même si les prix de gros sont retombés sous les 50 €/MWh après le pic de 2022 (350 €/MWh), ils restent supérieurs aux niveaux d’avant-crise (18 €/MWh entre 2014 et 2019).

Le Figaro / Illustration

16/09/2025 09:17

Etat Islamique : Trois femmes et dix enfants rapatriés par la France depuis les camps de prisonniers djihadistes dans le nord-est de la Syrie, annonce le Parquet national antiterroriste

Etat Islamique : Trois femmes et dix enfants rapatriés par la France depuis les camps de prisonniers djihadistes dans le nord-est de la Syrie, annonce le Parquet national antiterroriste

La France a rapatrié mardi dix enfants et trois femmes depuis des camps du nord-est syrien, a annoncé le Parquet national antiterroriste. Deux femmes ont été placées en garde à vue, une troisième, visée par un mandat d’arrêt, doit être présentée à un juge. Les enfants sont pris en charge dans le cadre de procédures d’assistance éducative sous la responsabilité du parquet près le tribunal judiciaire de Versailles.

Le Pnat a précisé qu’il assurerait le suivi centralisé des mineurs rapatriés en lien avec les parquets locaux, tandis que la France a remercié les autorités syriennes de transition et l’administration locale du Nord-Est syrien pour leur aide dans l’opération.

Le Figaro / Illustration

16/09/2025 09:07

« Gaza brûle », déclare le ministre israélien de la Défense Israël Katz alors que Tsahal intensifie ses frappes sur l'enclave palestinienne

« Gaza brûle », déclare le ministre israélien de la Défense Israël Katz alors que Tsahal intensifie ses frappes sur l'enclave palestinienne

« Gaza brûle », a déclaré le ministre israélien de la Défense Israël Katz alors que Tsahal intensifie ses frappes sur la bande de Gaza, promettant de « ne pas céder » avant la défaite du Hamas et la libération des otages. De son côté, le Hamas accuse Benyamin Netanyahou de porter « l’entière responsabilité » des prisonniers israéliens et dénonce le « parti pris flagrant » des États-Unis. En visite à Jérusalem, Marco Rubio a assuré du « soutien indéfectible » américain à Israël et averti que le Hamas n’a qu’une « très courte fenêtre » — « quelques jours et peut-être quelques semaines » — pour accepter un accord de cessez-le-feu, alors que les bombardements continuent sans relâche.

Le Figaro / Illustration

13/09/2025 09:22

L’agence de notation Fitch abaisse la note de la dette de la France de AA- à A+

L’agence de notation Fitch abaisse la note de la dette de la France de AA- à A+

L’agence américaine Fitch a dégradé la note de la France de AA- à A+ en raison de ses mauvais comptes publics et de l’instabilité politique qui rend improbable le retour du déficit sous 3 % du PIB d’ici 2029. Avec une dette déjà à 113,9 % du PIB et en hausse potentielle jusqu’à 121 % en 2027, cette note plus faible pourrait, à terme, pousser les investisseurs à vendre la dette française, entraînant une hausse des taux d’emprunt et donc des intérêts plus coûteux pour l’État. Pour l’instant, les conséquences immédiates restent limitées, mais la confiance financière s’érode.

La Depeche / Illustration

13/09/2025 08:50

92 % des Français souhaitent sanctionner les responsables politiques incitant à la violence lors des manifestations, selon une étude

92 % des Français souhaitent sanctionner les responsables politiques incitant à la violence lors des manifestations, selon une étude

Un sondage CSA pour CNEWS, Europe 1 et le JDD, publié le 13 septembre 2025, révèle que 92 % des Français souhaitent sanctionner les responsables politiques incitant à la violence lors des manifestations, une position particulièrement soutenue par la droite (98 %)

CNews / Illustration

13/09/2025 08:17

75% des Français favorables à l’instauration de quotas d’immigration par pays, selon un sondage

75% des Français favorables à l’instauration de quotas d’immigration par pays, selon un sondage

Selon un sondage CSA pour CNEWS, Europe 1 et le JDD, publié le 12 septembre, 75 % des Français sont favorables à l’instauration de quotas d’immigration par pays, avec peu de différences entre hommes et femmes et une adhésion particulièrement forte chez les 50-64 ans (81 %). Les catégories socio-professionnelles moins favorisées y sont plus favorables (79 %) que les CSP+ (71 %), et le soutien est nettement plus marqué à droite (94 % chez Les Républicains, 93 % au Rassemblement national) qu’à gauche, où seuls 56 % des sympathisants socialistes, 50 % de La France insoumise et 45 % des écologistes y sont favorables.

CNews / Illustration

12/09/2025 08:39

Marine Le Pen exhorte Sébastien Lecornu à « rompre avec le macronisme », lui rappelant qu'« On ne peut pas gouverner contre ou sans le peuple »

Marine Le Pen exhorte Sébastien Lecornu à « rompre avec le macronisme », lui rappelant qu'« On ne peut pas gouverner contre ou sans le peuple »

Invitée du « 20 heures » de TF1, Marine Le Pen a exhorté le nouveau premier ministre à « rompre avec le macronisme », affirmant qu’« on ne peut pas indéfiniment gouverner sans le peuple ou contre lui ». Deux jours après sa nomination, Sébastien Lecornu a promis des « ruptures » sur « la forme », « la méthode » et « le fond ». Le Rassemblement national, par la voix de Jordan Bardella, a prévenu : « Soit il y a rupture, soit il y aura censure », tout en attendant le discours de politique générale avant de décider de son attitude.

Le Figaro

12/09/2025 08:22

L’Insee prévoit une nette baisse du pouvoir d'achat des ménages d’ici fin 2025

L’Insee prévoit une nette baisse du pouvoir d'achat des ménages d’ici fin 2025

Après une légère hausse au premier semestre 2025 (+0,1 % puis +0,4 %), le pouvoir d’achat des ménages devrait reculer de 0,1 % au troisième trimestre et de 0,7 % au quatrième, selon l’Insee.
Cette baisse s’explique par la hausse des impôts, notamment la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus et le prélèvement à la source, ainsi que par le recul des revenus de la propriété.Sur l’année, le pouvoir d’achat ne progresserait que de 0,8 %, contre 2,5 % en 2024, alimentant le pessimisme des ménages, qui consomment de moins en moins malgré une inflation faible et un emploi stable.

Le Figaro 

12/09/2025 08:16

Emmanuel Macron s'engage à mobiliser trois avions de chasse Rafale pour aider à protéger l'espace aérien de la Pologne et de l'Europe de l'Est avec l'OTAN

Emmanuel Macron s'engage à mobiliser trois avions de chasse Rafale pour aider à protéger l'espace aérien de la Pologne et de l'Europe de l'Est avec l'OTAN

Emmanuel Macron a annoncé que la France mobilisera trois avions de chasse Rafale pour aider à protéger l’espace aérien de la Pologne et de l’Europe de l’Est avec l’OTAN, après les incursions de drones russes en Pologne. Il a précisé s’être engagé auprès du Premier ministre polonais Donald Tusk et avoir échangé avec le chef de l’OTAN et le Premier ministre britannique.
Tusk avait déjà reçu des offres de soutien de plusieurs pays européens, tandis que Zelensky a appelé à la création d’un bouclier aérien commun pour l’Europe.

Le Figaro / Illustration

11/09/2025 08:37

Etats-Unis : L'influent militant conservateur Charlie Kirk assassiné par un sniper en plein discours à l’Université de la vallée de l’Utah

Etats-Unis :  L'influent militant conservateur Charlie Kirk assassiné par un sniper en plein discours à l’Université de la vallée de l’Utah

Charlie Kirk, 31 ans, influent militant conservateur et fondateur de Turning Point USA, a été assassiné par un sniper le 10 septembre lors d’un discours à l’Université de la vallée de l’Utah, un drame qui a suscité des réactions unanimes à travers le spectre politique : Donald Trump et les républicains ont salué un « patriote courageux » et un « phare pour la jeunesse américaine », tandis que Joe Biden et Barack Obama ont condamné une violence jugée incompatible avec la démocratie, les motivations du tireur restant pour l’heure inconnues.

Pour l’instant, l’identité du suspect dans le meurtre de Charlie Kirk reste inconnue : une personne d’intérêt a été brièvement interrogée puis relâchée, et le tireur, décrit par certains témoins comme vêtu de noir avec un équipement tactique, est toujours en fuite tandis que l’enquête se poursuit.

Le Figaro / Illustration

10/09/2025 07:54

Donald Trump « très mal à l’aise » après la frappe israélienne contre des responsables du Hamas à Doha, au Qatar, allié des États-Unis, a annoncé la porte-parole de la Maison-Blanche

Donald Trump « très mal à l’aise » après la frappe israélienne contre des responsables du Hamas à Doha, au Qatar, allié des États-Unis, a annoncé la porte-parole de la Maison-Blanche

Israël a mené mardi une frappe contre des responsables du Hamas à Doha, au Qatar, allié des États-Unis, ce qui a rendu Donald Trump « très mal à l’aise », a déclaré la porte-parole de la Maison-Blanche Karoline Leavitt : « Bombarder unilatéralement au Qatar, une nation souveraine et un allié proche des États-Unis qui travaille dur, avec courage, et qui prend des risques, pour négocier vers la paix, ne promeut pas les objectifs d'Israël ni de l'Amérique ». L’administration américaine, informée le matin même par son armée, a immédiatement averti le Qatar, et Trump a ensuite assuré à l’émir cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani « qu'une telle chose ne se reproduirait pas sur leur sol », tout en rappelant que « éliminer le Hamas, qui a profité de la misère de ceux qui vivent à Gaza, constitue un but louable ».

Le Figaro / Illustration

09/09/2025 09:00

10 septembre : 80 000 policiers et gendarmes mobilisés pour la journée "Bloquons tout", annonce Bruno Retailleau

10 septembre : 80 000 policiers et gendarmes mobilisés pour la journée "Bloquons tout", annonce Bruno Retailleau

Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur sur le départ, a annoncé la mobilisation de 80.000 policiers et gendarmes pour encadrer la journée d’action « Bloquons tout » du 10 septembre, qui pourrait rassembler environ 100.000 participantspartout en France. Il promet une fermeté totale face aux blocages et violences, accusant LFI et l’ultragauche d’avoir radicalisé un mouvement initialement citoyen. Les autorités redoutent des blocages et sabotages difficiles à anticiper, tandis que Jean-Luc Mélenchon appelle à des actions calmes et maîtrisées.

Le Figaro / Illustration

09/09/2025 08:32

Le Rassemblement national et ses alliés largement en tête des intentions de vote en cas de nouvelles législatives, selon un sondage

Le Rassemblement national et ses alliés largement en tête des intentions de vote en cas de nouvelles législatives, selon un sondage

Un sondage Toluna Harris Interactive pour Challenges montre que le Rassemblement national et ses alliés atteindraient 33 % des intentions de vote en cas de nouvelles législatives, loin devant la gauche (19-26 %) et le camp présidentiel (15-16 %, contre 23 % en 2024). Face à cette chute, seuls 15 % des Français soutiennent une nouvelle dissolution, tandis que 49 % souhaitent la démission d’Emmanuel Macron, un chiffre qui grimpe à 64 % selon un autre sondage Odoxa.

Le Telegramme

06/09/2025 08:54

Cisjordanie : Les Israéliens partagés sur la question de l'annexion de la Judée-Samarie, selon un sondage

Cisjordanie : Les Israéliens partagés sur la question de l'annexion de la Judée-Samarie, selon un sondage

Un sondage i24NEWS/Direct Polls du 4 septembre 2025 révèle une opinion israélienne très partagée : 42 % des sondés soutiennent une annexion totale de la Judée-Samarie et de la vallée du Jourdain, 41 % y sont opposés, et 12 % prônent une annexion partielle. Par ailleurs, 63 % estiment que les manifestations et incendies liés à la libération des otages à Gaza ont nui à la cause, contre 24 % qui pensent l’inverse. Enfin, 53 % jugent insuffisante l’action de la conseillère juridique du gouvernement contre les discours de haine, tandis que 41 % l’évaluent positivement.

I24News / Illustration

20/07/2023
12:05
17/09/2025
08:41
16/09/2025
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13/09/2025
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10/09/2025
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09/09/2025
09:00
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06/09/2025
08:54