La menace terroriste toujours bien présente avertit Europol
L'agence de police criminelle européenne Europol alerte sur le danger du terrorisme, malgré son "effet" de disparition.
Mercredi 13 juillet, Europol, l'agence européenne de police criminelle qui facilite l'échange de renseignements entre polices nationales au sein de l'Union européenne a indiqué dans un rapport annuel que le terrorisme restait un danger réel bien que le nombre d'attaques soit en baisse. En 2021, elle dénombre 15 attaques menées à bien, déjouées et ratées contre 57 en 2020. Cette nette différence est due à la baisse significative du nombre d'attaques terroristes de gauche.
Catherine De Bolle, la directrice exécutive de l'agence, précise dans un communiqué qu' « à une époque de bouleversements géopolitiques, l'UE doit plus que jamais poursuivre ses mesures antiterroristes […] Il ne fait aucun doute que les changements géopolitiques et les retombées de la guerre d'agression de la Russie contre l'Ukraine auront un impact durable sur la sécurité de l'UE ». En 2021, 388 suspects ont été arrêtés dans l'UE pour des infractions liées au terrorisme. Plus des deux tiers (260) des arrestations ont été menées à la suite d'enquêtes sur des infractions de terrorisme djihadiste en Autriche, en France et en Espagne.
Guerre en Ukraine : Donald Trump déclare être "très mécontent" de son appel avec Vladimir Poutine
Le président américain Donald Trump a déclaré être "très mécontent" de son appel avec Vladimir Poutine concernant la guerre en Ukraine, accusant le dirigeant russe de vouloir "continuer à tuer des gens". Trump a évoqué la possibilité de durcir les sanctions contre la Russie après six mois de retenue. Il a également eu un échange "stratégique" avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky pour renforcer la défense aérienne de l’Ukraine, alors que les attaques russes s’intensifient. Trump a discuté de l'envoi éventuel de missiles Patriot avec le chancelier allemand Friedrich Merz, sans encore s'engager.
Moscow Times
Près de 80 % des Français mécontents d'Emmanuel Macron comme président de la République, selon un sondage
Selon un sondage Ifop publié par le Journal du Dimanche, 80 % des Français se disent mécontents de François Bayrou comme Premier ministre, et 77% sont insatisfaits d'Emmanuel Macron en tant que président, un niveau de rejet comparable à celui de la crise des Gilets jaunes. Avec seulement 23 % de satisfaits, Macron perd particulièrement du terrain chez les 18-24 ans (−8 points), tandis que Bayrou atteint son plus bas niveau de popularité depuis sa nomination en décembre 2024. L’enquête a été menée du 18 au 26 juin 2025 auprès de 2 000 personnes.
La Provence / Illustration