Yvelines : une jeune femme majeure égorgée, son compagnon placé en garde à vue
Une jeune femme de 19 ans est morte égorgée dans un appartement situé à Carrières-sur-Seine (Yvelines), dans la nuit de samedi à dimanche 21 août. Son compagnon âgé de 20 ans et un ami de 21 ans ont été interpellés et placés en garde à vue par la police.
Âgée de 19 ans, elle est victime de son compagnon. Ce sont les voisins qui ont alerté la police vers 3 heures du matin, suite à une bagarre. Les sapeurs-pompiers reçoivent un appel de la jeune femme appelant "à l'aide", juste avant la fin de la communication.
Une équipe de la BAC se rend alors sur place. Dans un premier temps, le suspect refuse d'ouvrir aux forces de l'ordre, puis accepte. Les policiers découvrent la victime avec une plaie importante au niveau du cou. Ils lui prodiguent les premiers soins pour tenter en vain de stopper l'hémorragie. Les médecins du Samu prennent rapidement le relai, mais la victime succombe des suites de ses blessures.
Les deux suspects ont été placés en garde à vue dans les locaux de la BSU à Sartrouville, chargée de l'enquête. Un couteau de cuisine a été retrouvé à l'intérieur du logement. Le compagnon est connu des services de police pour des faits de violences conjugales.
Terrorisme : Près de 70% des Français se disent inquiets d’un risque d’attentat en France dans les prochaines semaines, selon un sondage
Selon un sondage CSA pour Europe 1, CNews et le Journal du Dimanche, 68 % des Français se disent inquiets d’un risque d’attentat en France dans les prochaines semaines, un niveau de crainte renforcé par le contexte des récentes attaques ou tentatives d'attaques de marchés de Noël à l’étranger. Cette inquiétude est plus marquée chez les femmes (73 %) que chez les hommes (63 %) et atteint un pic chez les 18-24 ans (83 %), tandis que les 25-34 ans sont les moins préoccupés (57 %). Le sentiment varie aussi selon les catégories sociales et les orientations politiques : il est élevé chez les sympathisants du RN et des Républicains (environ 80 %), plus modéré dans l’ancienne majorité présidentielle, et nettement plus faible chez les électeurs de La France insoumise, dont seuls 33 % redoutent une attaque.
Europe1 / Illustration