Il y avait les élections, il y avait la guerre en Ukraine. La sourdine se lève sur le Covid-19. Depuis quelques jours, les médias agitent une remontée des contaminations… L’occasion de relancer la machine à doses et de préparer les esprits pour une possible prolongation de la loi d’urgence sanitaire. Retour ensuite sur la crise institutionnelle en cours avec le président de la République qui étudie les différentes possibilités qui s'offrent à lui. Nous reviendrons sur l’hypothétique gouvernement d’union nationale et sur la possibilité plus réaliste que la majorité relative se passe de ses adversaires.

Pour commencer cette édition, la diplomatie mondiale bouleversée. Il devait être isolé, malade et mourant, Vladimir Poutine devrait accueillir vendredi des dirigeants mondiaux représentant au moins 2 milliards et demi d’habitants de la planète… Pendant ce temps-là, Emmanuel Macron serre la main d’un djihadiste même pas repenti et accueille un chancelier mal élu.

Nous reviendrons d’ailleurs sur cette élection historique en Allemagne. Friedrich Merz a dû attendre un second tour pour prendre officiellement la tête du gouvernement. Un désaveu qui le poursuivra longtemps.

Et puis nous irons en Angleterre où les élections locales ont montré une nouvelle percée du souverainisme. Le parti Reform UK de Nigel Farage est sorti grand vainqueur du scrutin.