On dit STOP ?
Format Court : Une boite à propagande avec nos impôts..On dit STOP ?
Le propos le plus drôle de la semaine est celui de la nouvelle directrice de France Inter, Adèle Van Reeth. Dans les colonnes du quotidien gauchiste Le Monde, la nouvelle promue explique sans hésiter : "France Inter n’est ni de droite, ni de gauche. Nous sommes une radio de service public indépendante, qui préserve le pluralisme et l’esprit de contradiction". Péremptoire, la compagne de Raphaël Enthoven ajoute : "Je ne laisserai jamais dire le contraire !".
Eh bien, raison de plus d’affirmer le contraire ! Financé par le pouvoir d’extrême-centre qui désigne aussi indirectement ses dirigeants, France Inter ne peut se prévaloir du statut de média indépendant. Le manque d’impartialité de cette radio, qui vit de l’impôt de tous les Français, est si criant que les plus moqueurs rappellent que France Inter est pluraliste puisque toutes les sensibilités de la NUPES s’y expriment.
Quant à l’esprit de contradiction, il est volontairement mis sous le boisseau par l’interdiction faite à des centaines d’intellectuels, de journalistes, d’experts de s’exprimer sur une antenne où seuls bien-pensance et wokisme sont autorisés. Prenez les centaines d’invités prestigieux de TVL et dites-moi quand vous les avez entendus sur France Inter ?
France Inter dispose de moyens financiers considérables. Pendant la présidentielle, de nombreux candidats ont mis en cause cette "boite à propagande" où la gauche la plus radicale, du journaliste à l’humoriste, tient le pavé. Il est vrai qu’il est devenu insupportable de payer cette pravda avec notre argent !
La seule voie rapide pour contrecarrer l’influence de ce média public, c’est de donner les moyens à la presse alternative d’exister, de se développer, de toucher toujours plus de Français. Le meilleur moyen de réduire les méfaits des médias publics, c’est de financer TVL ! En tout cas, à court terme, je ne vois pas d’autre solution…
Format court : B.H.L financé avec nos impôts…On dit STOP ?
898 entrées en deux semaines pour le film de Bernard-Henri Lévy, "Slava Ukraini" : un bide retentissant pour ce documentaire pourtant vanté à longueur d’ondes et d’antennes. 898… c’est toutefois six fois plus que son documentaire précédent "Une autre idée du monde", sorti fin 2021 et qui avait attiré 152 spectateurs (dont 11 entrées cumulées le premier jour).
Chose surprenante, en 2021 comme en 2023, chaque documentaire a coûté 3 millions €, ce qui est au moins cinq fois supérieur à la normale. Pour un résultat technique cinq fois plus médiocre que la normale.
Parmi les aimables financiers, les chaînes publiques sont un soutien de longue date des projets audiovisuels de la firme BHL. Le service public a donné de l’argent pour plus de la moitié des productions de BHL (dont 500 000 € pour son "œuvre" de 2021 et 300 000 € pour celle de 2023). Mais cela ne s’arrête pas là car France Télévisions a financé les documentaires de l’épouse de Lévy et aussi ceux de son principal associé. Une situation qui permet à un observateur averti de parler "d’abus de copinage de la firme BHL".
Si on ajoute aux financements de France Télévisions, ceux du CNC et ceux des collectivités territoriales pour ces nanards, on comprend facilement à quoi ou plutôt à qui servent nos impôts. La moralité de l’histoire : personne n’a vu les films de BHL mais tout le monde a payé pour qu’ils soient réalisés et fassent vivre la firme !
La seule voie rapide pour contrecarrer le service public audiovisuel des copains et des coquins, c’est de donner les moyens à la presse alternative d’exister, de se développer, de toucher toujours plus de Français. Le meilleur moyen de réduire les méfaits des médias publics, c’est de financer TVL ! En tout cas, à court terme, je ne vois pas d’autre solution…
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