Pour commencer cette édition, la diplomatie mondiale bouleversée. Il devait être isolé, malade et mourant, Vladimir Poutine devrait accueillir vendredi des dirigeants mondiaux représentant au moins 2 milliards et demi d’habitants de la planète… Pendant ce temps-là, Emmanuel Macron serre la main d’un djihadiste même pas repenti et accueille un chancelier mal élu.

Nous reviendrons d’ailleurs sur cette élection historique en Allemagne. Friedrich Merz a dû attendre un second tour pour prendre officiellement la tête du gouvernement. Un désaveu qui le poursuivra longtemps.

Et puis nous irons en Angleterre où les élections locales ont montré une nouvelle percée du souverainisme. Le parti Reform UK de Nigel Farage est sorti grand vainqueur du scrutin. 

Au programme de cette édition, Emmanuel Macron recevra mercredi le nouveau patron du régime syrien, le djihadiste modéré Ahmed Al-Charaa. Entre nécessaire dialogue et connivence macabre, le chef de l'Etat navigue encore à vue.

Nous reviendrons ensuite sur le Conclave qui commencera demain mercredi et désignera le futur pape.

Et puis nous reviendrons sur le conflit en Ukraine et les interrogations quant aux célébrations du 9 mai en Russie, ouvertement menacées par Volodymyr Zelensky.