Pour commencer cette édition, la diplomatie mondiale bouleversée. Il devait être isolé, malade et mourant, Vladimir Poutine devrait accueillir vendredi des dirigeants mondiaux représentant au moins 2 milliards et demi d’habitants de la planète… Pendant ce temps-là, Emmanuel Macron serre la main d’un djihadiste même pas repenti et accueille un chancelier mal élu.

Nous reviendrons d’ailleurs sur cette élection historique en Allemagne. Friedrich Merz a dû attendre un second tour pour prendre officiellement la tête du gouvernement. Un désaveu qui le poursuivra longtemps.

Et puis nous irons en Angleterre où les élections locales ont montré une nouvelle percée du souverainisme. Le parti Reform UK de Nigel Farage est sorti grand vainqueur du scrutin. 

Au programme de cette édition, l’affaire Epstein revient sur le devant de la scène. Le Congrès des Etats-Unis a voté pour la publication de dossiers concernant l’homme d’affaires pédocriminel. Les révélations à venir pourraient ébranler l’oligarchie politique, financière et culturelle américaine.

Nous reviendrons aussi sur la fuite en avant ukrainienne. Malgré l’hécatombe, la guerre offre un véritable dérivatif aux dirigeants rejetés par leur peuple. De Volodymyr Zelensky secoué par un scandale de corruption à Emmanuel Macron frappé par une impopularité record, tous multiplient les opérations de communication au détriment des hommes qui tombent au front.

Et puis retour en France, enfin à Marseille… Après l’exécution par des narcotrafiquants du jeune Mehdi Kessaci, frère du militant antitrafic Amine Kessaci, l’exécutif est confronté à sa propre impuissance.