Politique Eco
Politique & Eco avec Georges Clément - Donald Trump : la mondialisation détruite ?
Pour le président du Comité Trump France, Georges Clément, le bilan après trois mois de présidence Trump est pour le moins mitigé. Sur le plan du protectionnisme, le risque n’est-il pas inflationniste pour l’économie américaine ? Sur cette question, ce qui est en cause, ce n’est pas la hausse des tarifs douaniers mais le fameux "quantitative easing" (QE), soit la fabrication de monnaie par la FED : la politique monétaire d’Obama et de Biden.
Pour réduire la dette, Donald Trump a voulu réduire la dépense des agences gouvernementales dont on découvre (affaire USAID) qu’elles financent la propagande gauchiste et wokiste aux Etats-Unis et dans le monde, sans aucun rapport avec le bien commun de la société américaine. Mais là encore, les juges bloquent les licenciements et la dette colossale de l’Etat américain n'est pas prête de se réduire. Tout rapprochement avec la situation française serait pur hasard ?
Sur la politique étrangère et principalement l’Ukraine, la paix se fera mais les changements de pied constants de Volodymyr Zelensky freinent sa résolution du conflit. Il apparaît à l’évidence que l’Ukraine a toujours été russe et que dans la circonstance, il est douteux que la Crimée et le Donbass puissent revenir à l‘Ukraine.
A la suite de "Politique & Eco", retrouvez la chronique financière de Philippe Béchade intitulée : "Pourquoi Donald Trump a provoqué un krach boursier".
Philippe Béchade est rédacteur en chef de La Chronique Agora et La Lettre des Affranchis aux @Publications Agora.
Pour télécharger gratuitement le dernier rapport de Philippe Béchade, cliquez ici.
Politique & Eco avec Pierre Jovanovic - 2008 : Le hold-up bancaire comme solution à la crise
Privatisation des profits, socialisation des pertes... Qui sont les vrais responsables ? Tout a commencé en 2008 mais rien n’est fini, l’économie est toujours sous l’emprise des effets de cette funeste année et des pratiques du système qui y ont conduit. Une arrière-cuisine de l’entre-soi bancaire et de l’Etat profond. La crise a débuté, comme d’habitude, outre-Atlantique et le degré de dépendance de l’économie mondiale aux Etats-Unis en fera une crise mondiale. La cause de ce désastre étant la fameuse crise des subprimes. Celle-ci devait se limiter strictement aux banques américaines, selon Alain Minc, constant dans l’art de formuler des professions foireuses.
Mais la question se pose : peut-on croire que des prêts incertains accordés à des ménages peu solvables soient la seule explication ? De surcroit ces prêts étaient garantis par des organismes proches de l’Etat (Fanny Mae et Freddy Mac) ou bien appuyés sur un CDS (Credit Default Swap), une assurance qui remboursait le prêteur à la place du ménage, produit titrisé éminemment toxique. Ces prêts accordés avec une intention sociale au bénéfice de minorités ethniques sont-ils la cause de la crise mondiale ?
Le président de Goldman Sachs, Hank Paulson, sera nommé secrétaire au trésor par George Bush et c’est lui qui va organiser, le hold-up sur les ménages et la plus grande vague de pauvreté qui s’en suivra.
Pierre Jovanovic, journaliste financier, lève le voile sur l'un des plus grands scandales financiers de l'histoire du capitalisme dans son ouvrage "2008" publié aux Jardin des Livres.
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