Politique Eco
Politique & Eco n°247 - Réchauffement climatique : mythe et réalité (1ère partie)
1) Climat : science et/ou idéologie ?
- Les exigences d’une méthode scientifique - Rencontre de Camille Veyres, polytechnicien, directeur technique à France Télécom, spécialiste des émissions hertziennes et du rayonnement - Une dénonciation des impostures scientifiques dominantes - Jean Jouzel, pape du réchauffisme - Le soleil, les volcans, la glace - Le GIEC : un copié-collé de l’Organisation Météorologique Mondiale - Questions sur les documents publiés par le GIEC - Derrière le GIEC, de nouvelles taxes ! - 96 000 milliards de $, soit plus de quatre fois le PIB américain2) Notre ami le CO2
- Le problème des modélisations mathématiques - Le cheminement du CO2 - A l’origine, beaucoup plus de CO2 sur la planète qu’aujourd’hui (X 20 000) - CO2 prisonnier des roches sédimentaires et libéré par les volcans - Les plantes et le CO2 - Cycle des végétaux et photosynthèse - Refroidissement de la terre ? - Le CO2 ne détermine pas la température (thèse du GIEC), c’est la température qui fait monter le CO2 - Le rôle primordial des océans - Le CO2 anthropique : seulement 6% du CO2 de l’atmosphère3) Nourrir les hommes
- Quand le réchauffement signifie des subsistances en plus - Croissance des arbres depuis le début du XXème siècle - La nature en souffrance du CO2 - Le rôle de l’activité solaire, fondamental - La construction de la cathédrale de Chartres et la production de blé en Beauce - Tâches solaires et marchés à termes - Aujourd’hui, l’activité solaire plutôt plus faible - Vers une nouvelle période glaciaire - Evocation de la petite glaciation moderne - Aujourd’hui, nous sommes dans un cercle interglaciaire La semaine prochaine avec JF. Auzolle : conséquences économiques et politique du supposé réchauffementPolitique & Eco avec Pierre Jovanovic - 2008 : Le hold-up bancaire comme solution à la crise
Privatisation des profits, socialisation des pertes... Qui sont les vrais responsables ? Tout a commencé en 2008 mais rien n’est fini, l’économie est toujours sous l’emprise des effets de cette funeste année et des pratiques du système qui y ont conduit. Une arrière-cuisine de l’entre-soi bancaire et de l’Etat profond. La crise a débuté, comme d’habitude, outre-Atlantique et le degré de dépendance de l’économie mondiale aux Etats-Unis en fera une crise mondiale. La cause de ce désastre étant la fameuse crise des subprimes. Celle-ci devait se limiter strictement aux banques américaines, selon Alain Minc, constant dans l’art de formuler des professions foireuses.
Mais la question se pose : peut-on croire que des prêts incertains accordés à des ménages peu solvables soient la seule explication ? De surcroit ces prêts étaient garantis par des organismes proches de l’Etat (Fanny Mae et Freddy Mac) ou bien appuyés sur un CDS (Credit Default Swap), une assurance qui remboursait le prêteur à la place du ménage, produit titrisé éminemment toxique. Ces prêts accordés avec une intention sociale au bénéfice de minorités ethniques sont-ils la cause de la crise mondiale ?
Le président de Goldman Sachs, Hank Paulson, sera nommé secrétaire au trésor par George Bush et c’est lui qui va organiser, le hold-up sur les ménages et la plus grande vague de pauvreté qui s’en suivra.
Pierre Jovanovic, journaliste financier, lève le voile sur l'un des plus grands scandales financiers de l'histoire du capitalisme dans son ouvrage "2008" publié aux Jardin des Livres.
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