Zooms

Zoom - Benjamin Brizard : Législatives : la droite est-elle toujours le camp de la défaite ?

Publiée le 20/06/2024

Dans son ouvrage "Dans le placard - Le for intérieur de la droite mis à nu par la droite", Benjamin Brizard, entrepreneur passionné d'histoire, analyse la face non assumée de la droite française qui la mène à perdre l’ensemble des combats auxquels elle participe. Pourquoi la droite est-elle "dans le placard" ? Les raisons de ce constat sont doubles : Tout d’abord, une grande partie de la droite française ne sait même pas qu’elle est en fait de gauche. L’auteur espère les réveiller en leur montrant ce que contient leur for intérieur, afin qu’un sursaut les amène à corriger leurs errements. Ensuite, un grand nombre d’autres ne s’assument pas, suivent en public la doxa de la pensée unique. L'objectif de Benjamin vise à encourager leur affirmation personnelle et à les inciter à revendiquer leurs convictions avec fierté et loyauté.

Zoom - Charles Onana : Holocauste au Congo : le business de la transition écologique

Publiée le 18/04/2025

"On tue tous les jours au Congo !" Les milices du Mouvement du 23 mars (M23), appuyées par le Rwanda, ont fait une percée ces derniers mois dans l'est de la République démocratique du Congo, massacrant femmes et enfants sur leur passage. Et cela dans une indifférence médiatique assourdissante. Des négociations de paix avaient été initiées le 18 mars... Où en sont-elles ?

Charles Onana, docteur en sciences politiques, spécialiste de l'Afrique des Grands Lacs et des conflits armés, est l'auteur de "Holocauste au Congo - L'omerta de la communauté internationale". Il revient pour TVLibertés sur les causes d'un conflit qui remonte au milieu des années 90, l'implication des Etats-Unis et de la France, l'impunité meurtière du président rwandais Kagamé, le viol du droit international, la situation des civils et le rôle des minerais comme le coltan et le cobalt, nécessaires à la politique européenne de transition écologique. Autant de sujets tabous couverts par le Système pour éviter de parler des 10 millions de morts et des 500 000 femmes violées.