Zooms

Zoom - Bernard Germain : Islamisme : une instrumentalisation occidentale ?

Publiée le 17/04/2025

Il est de tradition de prétendre que le 20ème siècle fut marqué par l'affrontement de deux totalitarismes, le communisme et le nazisme. Certains pensent que le communisme est le pire des régimes,d'autres expliquent que le nazisme est le mal absolu.

Mais curieusement, alors que le chercheur américain Bill Warner explique que l'islam a causé la mort de 270 millions de personnes en 14 siècles, l'islam -que certains appellent islamisme- continue à paraître préservé de toute critique. 
Boualem Sansal, l'écrivain né algérien et devenu français, emprisonné pour délit d’opinion par le régime algérien, disait : "Nous avons construit des outils pour dénoncer le soviétisme et le nazisme. Mais on peine à analyser le phénomène de l'islamisme, alors qu'il n'est pas si différent".
Dans son ouvrage "Lislam pire que le nazisme et le communisme", Bernard Germain entreprend de comparer historiquement les trois totalitarismes. Il arrive à la conclusion qu'il n'y a plus de péril fasciste en France et en Europe. Mais il démontre que le danger essentiel qui menace l'Occident est la conquête islamiste, permise par la politique migratoire suicidaire des pays européens et la démographie menaçante du monde musulman.

Zoom - André Bonnet : Les preuves de la trahison démocratique

Publiée le 13/05/2025

Avec "Les preuves de la trahison démocratique", André Bonnet, maître en philosophie et avocat de talent, balance un pavé dans la mare européenne. Juriste et ancien magistrat, il démonte méthodiquement ce qu’il appelle une “fraude démocratique d’État” : le rejet du traité constitutionnel européen par référendum en 2005, piétiné trois ans plus tard par la ratification parlementaire du traité de Lisbonne. Même texte, nouvelle étiquette, et cette fois sans demander l’avis du peuple. Pour André Bonnet, c’est clair : le pouvoir a contourné la souveraineté populaire, trahi le vote des Français, et brisé la confiance démocratique.

Son livre est un acte d’accusation, mais aussi un appel à la reconquête civique. Il pose la question : peut-on encore parler de démocratie quand le "non" du peuple est effacé par un "oui" du Parlement ? L’essai interpelle autant les souverainistes que les démocrates exigeants. Il plaide aussi, avec rigueur, pour un retour au référendum et pour une sortie assumée du traité de Lisbonne.