Zooms
Zoom - Bernard Germain : Islamisme : une instrumentalisation occidentale ?
Il est de tradition de prétendre que le 20ème siècle fut marqué par l'affrontement de deux totalitarismes, le communisme et le nazisme. Certains pensent que le communisme est le pire des régimes,d'autres expliquent que le nazisme est le mal absolu.
Mais curieusement, alors que le chercheur américain Bill Warner explique que l'islam a causé la mort de 270 millions de personnes en 14 siècles, l'islam -que certains appellent islamisme- continue à paraître préservé de toute critique.
Boualem Sansal, l'écrivain né algérien et devenu français, emprisonné pour délit d’opinion par le régime algérien, disait : "Nous avons construit des outils pour dénoncer le soviétisme et le nazisme. Mais on peine à analyser le phénomène de l'islamisme, alors qu'il n'est pas si différent".
Dans son ouvrage "Lislam pire que le nazisme et le communisme", Bernard Germain entreprend de comparer historiquement les trois totalitarismes. Il arrive à la conclusion qu'il n'y a plus de péril fasciste en France et en Europe. Mais il démontre que le danger essentiel qui menace l'Occident est la conquête islamiste, permise par la politique migratoire suicidaire des pays européens et la démographie menaçante du monde musulman.
Zoom Exclusif : Bruno Guillot : "J’ai exécré la société occidentale !"
"Adieu Soulayman" est plus qu’un livre : c’est une traversée. Celle d’un jeune Belge, né dans le vide spirituel et identitaire de l’Europe actuel, qui devient imam salafiste avant de tout quitter pour retrouver sa voie. Bruno Guillot raconte comment l’appel de Dieu s’est confondu, dans sa jeunesse, avec la séduction d’une idéologie totalisante. De Charleroi à Médine, de la ferveur à la peur, il dévoile de l’intérieur les mécanismes de sa radicalisation salafiste, de son rôle de prédicateur. Son témoignage, sans haine ni rancune, mais glaçant, explore les zones grises : l’aspiration à la pureté, la quête d’appartenance, le besoin d’absolu.
Puis vient la rupture : le doute, la désillusion, la fin des certitudes. À travers son récit, c’est tout un monde qui se dévoile - celui de jeunes Européens désorientés, vulnérables aux certitudes du fanatisme. Mais c’est aussi l’histoire d’une résurrection : celle d’un homme qui choisit la conscience plutôt que la soumission. Aujourd’hui, Bruno Guillot parle avec lucidité de ce qu’il fut, de ce qu’il a cru, et de ce qu’il veut transmettre.
Adieu Soulayman, c’est le cri d’un converti à rebours, un appel à rallumer la lumière du monde. Un témoignage nécessaire pour comprendre notre temps. On ne sort pas indemne de ce voyage au cœur de l’Islam radical.
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