Zooms

Zoom - Didier Lecerf : Raspail, J-M Le Pen... ils avaient sonné le tocsin !

Publiée le 28/11/2023

Ecrivain, cadre et militant nationaliste depuis plus de 40 ans, Didier Lecerf a dirigé et conçu le dernier numéro en date de la revue "Synthèse nationale" : "Ce n’est donc pas faute d’avoir sonné le tocsin". Pour les auteurs du magazine, on se voile la face sur le douloureux problème de l’immigration depuis plus de 50 ans. Et l’embrasement de tout le pays qui a marqué ces dernières semaines n’est que l’aboutissement logique des politiques menées par l’ensemble des gouvernements qui se sont succédés. Didier Lecerf, spécialiste de la droite nationale, démontre que dès le début des années 70, des voix téméraires se sont élevées en France pour dénoncer l’immigration incontrôlée. Ce furent les militants patriotes du mouvement Ordre Nouveau, puis l’immense écrivain Jean Raspail avec son roman prophétique "Le camp des saints" et le Front National de Jean-Marie Le Pen à travers de multiples campagnes électorales. Tous avaient prévenu. Ce n’est donc pas faute d’avoir sonné le tocsin !

Zoom Exclusif : Bruno Guillot : "J’ai exécré la société occidentale !"

Publiée le 11/11/2025

"Adieu Soulayman" est plus qu’un livre : c’est une traversée. Celle d’un jeune Belge, né dans le vide spirituel et identitaire de l’Europe actuel, qui devient imam salafiste avant de tout quitter pour retrouver sa voie. Bruno Guillot raconte comment l’appel de Dieu s’est confondu, dans sa jeunesse, avec la séduction d’une idéologie totalisante. De Charleroi à Médine, de la ferveur à la peur, il dévoile de l’intérieur les mécanismes de sa radicalisation salafiste, de son rôle de prédicateur. Son témoignage, sans haine ni rancune, mais glaçant, explore les zones grises : l’aspiration à la pureté, la quête d’appartenance, le besoin d’absolu.

Puis vient la rupture : le doute, la désillusion, la fin des certitudes. À travers son récit, c’est tout un monde qui se dévoile - celui de jeunes Européens désorientés, vulnérables aux certitudes du fanatisme. Mais c’est aussi l’histoire d’une résurrection : celle d’un homme qui choisit la conscience plutôt que la soumission. Aujourd’hui, Bruno Guillot parle avec lucidité de ce qu’il fut, de ce qu’il a cru, et de ce qu’il veut transmettre.

Adieu Soulayman, c’est le cri d’un converti à rebours, un appel à rallumer la lumière du monde. Un témoignage nécessaire pour comprendre notre temps. On ne sort pas indemne de ce voyage au cœur de l’Islam radical.