Dans "La Science face au Pouvoir - Ce que révèle la crise Covid-19 sur la biopolitique du XXIème siècle", publié aux éditions Talma Studios, la pharmacienne-biologiste Hélène Banoun revient sur les mensonges auxquels nous avons été confrontés par le "biopouvoir". L’occasion pour l’auteur de dresser le récit factuel et tempéré d’une crise inédite. Hélène Banoun revient ainsi sur l’origine du virus Sars-Cov-2 que les médias ont attribué longtemps aux fameux pangolins, mais aussi sur les mécanismes réels de la maladie. Sans surprise, ce livre est aussi une occasion de revenir sur la technologie utilisée par ce que l’on a nommé "vaccins contre le Covid-19" mais également de regarder vers le futurs pour prévenir les futurs plans du biopouvoir.

Parler du wokisme, c’est s’exposer immanquablement à l’objection selon laquelle on parle de quelque chose qui n’existe pas : "Le wokisme n’existe pas", c’est une "obsession française", selon le journal Le Monde, une "chimère".

Woke et wokisme rejoignent ainsi au rayon des choses inexistantes la théorie du genre, le politiquement correct, l’islamo-gauchisme. En revanche, l’extrême-droite et la "fachosphère" existent bel et bien.

Dans son ouvrage "Paradoxes de la pensée progressiste", le philosophe André Perrin montre que cette sélectivité est le signe parfait des idéologues dont l’une des plus profondes convictions est qu’on peut changer les choses en changeant les mots, et ils s’y emploient en tentant d’imposer aux autres leur novlangue. L'auteur dresse un état des lieux et fait réfléchir savoureusement en pointant les multiples contradictions des idéologues qu’on peut quotidiennement voir et entendre en écoutant la radio publique et en lisant la "bonne presse".