Zooms

Zoom - Piero San Giorgio : La guerre contre la Russie est le dernier refuge de Macron

Publiée le 30/03/2024

Depuis une vingtaine d’années, l’essayiste Piero San Giorgio travaille sur les ressorts du survivalisme. Après des conseils pratiques pour se préparer au pire, de l’effondrement économique à la catastrophe nucléaire en passant par la guerre civile, le tome I de "Survivre à la Peur", aux éditions Culture et Racines (disponible ici https://boutiquetvl.fr/tous-les-livres/piero-san-giorgio-survivre-a-la-peur-tome-1 ), revient sur un autre aspect non moins capital de la résilience : la maîtrise de soi face à la peur.

Après des années particulièrement difficiles, avec la crise financière et la pandémie, c’est désormais l’ombre de la guerre qui plane sur les peuples européens. Dans ce contexte, nos dirigeants politiques, Emmanuel Macron au premier chef, instrumentalisent allègrement les peurs pour soumettre les populations en les sidérant. Piero San Giorgio propose au lecteur de plonger dans ses failles pour dompter son anxiété, son stress et ses angoisses et reprendre pleinement possession de ses moyens.

Zoom - Xavier Moreau : Je conteste totalement une "iranisation" de l’économie russe !

Publiée le 26/11/2025

Xavier Moreau répond au général Mandon ! Analyste politico-stratégique et homme d’affaires installé à Moscou depuis plus de vingt-cinq ans, Xavier Moreau est le fondateur du site d’analyse Stratpol. Ancien militaire et spécialiste de la Russie, il réagit aux récents propos du général Mandon, chef d’état-major des armées, qui a alerté les Français sur le manque de force d’âme nécessaire, selon lui, pour accepter les sacrifices que pourrait exiger la défense nationale — allant jusqu’à évoquer l’idée d’"accepter de perdre nos enfants".

Xavier Moreau répond également à l’accusation selon laquelle la Russie se préparerait à agresser un pays de l’OTAN dans les trois ou quatre ans. Le fondateur de Stratpol revient longuement sur les pourparlers de paix en cours à Genève, sur l’attitude des Européens et sur la progression continue de l’armée russe le long des mille kilomètres de front, particulièrement dans l’est de l’Ukraine.

Enfin, il répond aux analyses de l’IFRI (Institut français des relations internationales), qui évoque une "iranisation" de l’économie russe - c’est-à-dire un modèle économique adoptant des caractéristiques proches de celle de l’Iran : produits obsolètes, difficultés d’innovation et orientation massive vers l’effort de guerre.