Zooms

Zoom - Stanislas Berton : "Etre Français, ce n'est pas un passeport !"

Publiée le 11/09/2019
Entrepreneur et écrivain, Stanislas Berton a publié "Etre Français, lettre à ma sœur", un vibrant et émouvant hymne d'amour à la France. Quand la sœur de l'auteur lui déclare qu'elle ne se sent pas française mais "citoyenne du monde", Stanislas Berton décide de lui apporter une réponse en désignant tout d'abord les coupables : ces responsables politiques et économiques qui ne veulent pas des peuples, des Français, mais des ressources humaines. En évoquant ensuite tous les éléments, y compris polémiques, qui plaident pour la défense d'une France digne de son rang et fière de ses racines. Stanislas Berton a le mérite de nous inviter à relever la tête et à ne jamais oublier que le destin de la France est d'étonner le monde.

Zoom - Jean-Paul Gourévitch : Les contes de fées survivront-ils à la culture de masse ?

Publiée le 28/10/2025

Les contes de fées ont bercé notre enfance, mais que disent-ils vraiment de la vie, du monde et de nous-mêmes ? Dans son livre "Les contes de fées de notre enfance", Jean-Paul Gourévitch revisite cet héritage universel : des récits d’initiation où le merveilleux, le rêve et la morale préparent l’enfant à affronter le réel.

L’auteur évoque la puissance initiatique du conte comme langage symbolique par lequel les peurs, les épreuves et la sagesse se transmettent de génération en génération. Mais aujourd’hui, que reste-t-il de ce patrimoine ? Le merveilleux ne s’est-il pas effacé devant la technologie, les écrans et la fiction médiatique ? Les contes de fées peuvent-ils encore survivre à la culture de masse, au conformisme et au wokisme moralisateur qui aplanissent l’imaginaire ?

Dans cet entretien, Jean-Paul Gourévitch évoque les grandes figures du patrimoine occidental : Perrault, les frères Grimm, Andersen mais aussi Gripari, ces conteurs qui, chacun à leur manière, ont façonné notre rapport au rêve, au courage, à la justice mais aussi à l’identité.

Et si, malgré tout, la magie n’était pas perdue ? Comme le rappelle l’auteur : "tant qu’il y aura des enfants pour écouter, il y aura des contes à raconter…".