Le samedi politique

Le Samedi Politique avec Florian Philippot - En finir avec la France McKinsey de Macron

Publiée le 16/04/2022
La France a déjà subi Emmanuel Macron. Il y a cinq ans, il était présenté par la presse du Système comme le Mozart de la finance. Cinq ans plus tard, la dette publique a explosé avec une augmentation de 600 milliards d'euros sur le quinquennat. En 2017 déjà, il était présenté comme le rempart aux extrêmes. Pourtant, jamais les libertés individuelles n’auront été aussi attaquées qu’avec Emmanuel Macron. Les manifestations de Gilets Jaunes ont été réprimées par l’exécutif avec une violence verbale inédite et des consignes imposées aux forces de l’ordre dignes d’une démocratie défaillante. Plus tard, la crise sanitaire a agi comme un véritable révélateur de la destruction du pays. L’industrie française a été démantelée, rendant la nation toujours plus dépendante de l’extérieur. Sa recherche scientifique est apparue gangrénée par les conflits d’intérêts. Son système de santé, naguère envié dans le monde entier, s’enfonce à l’image de son service public global, anéanti par des finances en bernes, du copinage et une omniprésence de cabinets de conseil aux ordres des mondialistes et des lobbys. La France qu’Emmanuel Macron a su dessiner au fil de ces 5 années est un tableau horrifique où chaque pan de ce qui faisait la grandeur de la nation s’est effrité pour ne pas dire effondré. Dans cet entre-deux tours de l’élection présidentielle, les Français qui portent encore la France dans leurs tripes n’ont qu’une option : résister au Système oligarchique qui leur dicte la marche à suivre jusque dans l’isoloir à l’image d’un Jean-Luc Mélenchon, prompt à défendre ses intérêts aux législatives avant la nation. Pour le président des Patriotes, Florian Philippot, il n’y a pas de débat qui tienne à l’heure actuelle. La seule priorité est la défaite d’Emmanuel Macron. Une fois Jupiter déchu, tout restera à faire, mais tout pourra peut-être redevenir possible.

Le Samedi Politique avec Didier Maïsto - Guerre, JO, Covid : Macron ou le pouvoir de la peur !

Publiée le 27/04/2024

La France sombre-t-elle petit à petit dans l’autoritarisme ? C’est la question que l’on pourrait se poser à en juger la censure et l’autocensure pratiquées dans les médias du Système comme l’a confessé fièrement Adèle Van Reeth, la patronne de France Inter, il y a quelques jours. De plus en plus, une doxa s’impose et interdit toutes pensées en dehors de la ligne du pouvoir. Aucune critique quant à la politique étrangère sur la question ukrainienne n’est tolérée. Les questions sociétales, à l’image de la GPA, la gestation pour autrui, sont recouvertes d’un halo de bien-pensance et toutes remarques à rebours de la parole unique sera vouée aux gémonies, diabolisée, raillée et caricaturée.

A l’image du verrouillage totale de la parole pendant la période du Covid-19, la chape de plomb s’abat sur la presse et sur les esprits. Emmanuel Macron règne alors en maître diffusant l’unique bonne parole, parsemée de mensonges et de paradoxes, comme l’a encore démontré le discours de la Sorbonne à quelques semaines des élections européennes.

Ceux qui résistent, après avoir été éborgnés et mutilés dans les rues pendant les manifestations de Gilets Jaunes, sont parfois arrêtés chez eux et placés en garde à vue pour des méfaits imaginaires, des adversaires politiques sont convoqués par la justice ou des officines du pouvoir, des voix discordantes sont salies, souillées. 

Tout est fait pour que vous rentriez dans le rang et les Jeux olympiques vont s’illustrer en nouveau test de dressage et de domestication grandeur nature.

Le journaliste et ancien patron de Sud Radio, Didier Maïsto, ne cède rien à l’oppression ambiante. Il décrypte, démonte et dénonce le poids du pouvoir qui accable les libertés individuelles et appelle à un grand sursaut.