Bistro Libertés
Rougeyron et Chalençon pulvérisent tout à Bistro Libertés
Pierre-Yves Rougeyron et Pierre-Jean Chalençon sont les deux invités d’Eric Morillot pour cet épisode de "Bistro Libertés" exceptionnel. Ils se disent gaullistes tous les deux mais pourtant beaucoup de choses les séparent. La mesure de l’un, propre à un analyste politique contraste avec la truculence de l’autre, véritable "bête de scène". Ce qui les rassemblent ? L’amour de notre pays.
Pierre-Yves Rougeyron est un "hyperactif" sur le terrain des idées : il a créé le Cercle Aristote, la revue Perspectives Libres, mais aussi la maison d’édition éponyme. Ce politologue et essayiste très écouté nous parlera de la condamnation à 5 ans de prison de Nicolas Sarkozy qui a fait l’effet d’un coup de tonnerre. Certains y voient une haine des juges qui tranche avec le laxisme habituel de la justice.
Pierre-Jean Chalençon est un célèbre collectionneur d’objets napoléonien qui découvrira les méandres du service publique en participant à l'émission "Affaire Conclue" sur France 2. Une chaîne qui mettra fin à sa collaboration après qu’il ait assisté à l'anniversaire de Jean-Marie Le Pen. Il est donc la personne idoine pour témoigner des dérives de France Télévisions dont la gestion est contestée par la Cour des comptes et dont l’impartialité est souillée par l’affaire Cohen-Legrand.
Bistro Libertés - Steven Gunnell : de chanteur à cinéaste
Pour cet épisode de "Bistro Libertés", Éric Morillot a invité le couple de réalisateurs du film "Sacré Cœur : son règne n’a pas de fin", dont la campagne publicitaire a été censurée par la RATP et la SNCF.
Toute la gauche wokiste est vent debout contre ce film dénoncé comme "prosélyte", qui porte sur les apparitions de Jésus à sainte Marguerite-Marie Alacoque, il y a 350 ans. Il s'ensuit une déprogrammation du film dans certaines salles. Cela n’empêche pas le film de franchir en un mois la barre des 500 000 téléspectateurs.
Lui est l’ancien chanteur du "boys band" Alliage. Avec des ventes qui dépassent à chaque fois les 500 000 unités, le groupe connaît le succès de 1997 à 1999. Puis arrive son "bug" de l’an 2000 avec un passage du statut de star à celui d’ange déchu avec à la clé la dépendance à l’alcool, la dépression et la misère. Un tournant tout relatif puisqu’il se convertit en 2000 dans l’église sainte Rita de Nice. Il est vrai que sainte Rita est la patronne des causes désespérées.
Six ans plus tard, Robert Hossein lui confie le rôle de Jésus dans "Ben Hur", puis celui de Jean-Paul II dans "N’ayez pas peur". Au même moment, Sabrina se remet d’une rupture amoureuse très difficile. Ils ont un coup de foudre et se marient dans la vie privée mais aussi dans le travail puisqu’ils fondent une société de production et réalisent des films documentaires pour KTO.
Avec Frigide Barjot, Charbel Lakis et Béatrice Rosen, ils évoquent la cathophobie en Europe.
Chaque année, la même scène se répète : crèches de Noël interdites, menaces islamistes et pressions wokistes… Dans une France culturellement catholique, les chrétiens se retrouvent de plus en plus ciblés, placés au cœur des tensions, jusqu’à devenir un marqueur idéologique que certains veulent effacer. Au même moment, le film "Sacré Cœur" explose les compteurs !
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