Zooms
Zoom - Alain Avril : Le vêtement est une composante visible de l’identité
Camaïeu, Pimkie, San marina, Gap France et beaucoup d’autres sont en difficulté financière ou tout bonnement en liquidation judiciaire. C’est pourtant à ce moment que quelques intrépides gaulois, autour d’Alain Avril, ont décidé de lancer une marque de vêtements : APER. APER, c’est le sanglier en latin, l’animal des gaulois des bandes dessinées, l’animal territorial puissant et libre. Rien de mieux que de le prendre en modèle pour former, forger le logo de la marque qui revendique son appellation : vêtement anti-woke !
A animal gaulois, exigence gauloise : les produits APER sont fabriqués principalement en France avec des tissus français. Et quand cela n’est pas techniquement possible, en Europe avec des tissus européens. Pour l’entreprise APER, cette démarche est la marque du meilleur des localismes pour adopter un comportement économique logique et responsable.
Alain Avril a d’ailleurs déposé un label "commerce identifiable" par analogie avec le commerce équitable. Le nouveau label veut imposer un minimum de critères d’identité des produits proposés. En ce qui concerne les produits, si la première saison printemps-été 2023 avait été un peu courte, la collection hiver s’est largement étoffée comme le démontre cet entretien.
En effet, Alain Avril ne manque pas de présenter tous les produits APER disponibles sur le site de vente https://aper-mode.com
Zoom - Jean-Paul Gourévitch : Les contes de fées survivront-ils à la culture de masse ?
Les contes de fées ont bercé notre enfance, mais que disent-ils vraiment de la vie, du monde et de nous-mêmes ? Dans son livre "Les contes de fées de notre enfance", Jean-Paul Gourévitch revisite cet héritage universel : des récits d’initiation où le merveilleux, le rêve et la morale préparent l’enfant à affronter le réel.
L’auteur évoque la puissance initiatique du conte comme langage symbolique par lequel les peurs, les épreuves et la sagesse se transmettent de génération en génération. Mais aujourd’hui, que reste-t-il de ce patrimoine ? Le merveilleux ne s’est-il pas effacé devant la technologie, les écrans et la fiction médiatique ? Les contes de fées peuvent-ils encore survivre à la culture de masse, au conformisme et au wokisme moralisateur qui aplanissent l’imaginaire ?
Dans cet entretien, Jean-Paul Gourévitch évoque les grandes figures du patrimoine occidental : Perrault, les frères Grimm, Andersen mais aussi Gripari, ces conteurs qui, chacun à leur manière, ont façonné notre rapport au rêve, au courage, à la justice mais aussi à l’identité.
Et si, malgré tout, la magie n’était pas perdue ? Comme le rappelle l’auteur : "tant qu’il y aura des enfants pour écouter, il y aura des contes à raconter…".
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