Zooms
Zoom - Corentin Clerc : Von der Leyen ne défend pas l’Arménie, au contraire !
Un blocus continue de paralyser l’enclave arménienne du Haut-Karabakh. Cela fait maintenant plus de 130 jours que l’Azerbaïdjan bloque tout contact entre l’Arménie et le Haut Karabakh (Artsakh). Un drame qui se joue à 3 500 km de Paris !
Malgré les appels à la communauté internationale et les rodomontades du président Macron, 120 000 Arméniens sont privés de biens de première nécessité. L’Arménie subit une guerre qui ne dit pas son nom. Et pendant ce temps, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission Européenne, négocie les contrats de fourniture de gaz avec les autorités de Bakou (Azerbaïdjan). En poursuivant cette politique, von der Leyen affaiblit l’Union européenne et renforce le régime dictatorial d’Ilham Aliev.
Pour évoquer l’ensemble de cette situation dramatique, TVL a fait appel à Corentin Clerc, chef de mission de l’association humanitaire SOS Chrétiens d’Orient en Arménie. Aidé de dizaines de volontaires, SOS Chrétiens d’Orient est venue en aide à plus de 15 000 bénéficiaires en soutenant des projets de reconstruction mais aussi des projets médicaux et en distribuant des vivres aux populations du Haut-Karabakh, malgré le blocus.
Pour Corentin Clerc : "Par-delà les paysages, les monastères millénaires et l’accueil des Arméniens, je suis impressionné par l’unité et la cohésion de ce peuple. L’Arménie chrétienne devrait être un pays modèle pour l’Occident car elle possède de vraies convictions". Un témoignage important d’un engagement par l’action pour apporter aide et espoir.
Zoom - Jean de Kervasdoué : Ecologisme : l'imposture démontée par la science
Certains écologistes manient avec virtuosité la mauvaise foi : le débat est refusé, la science est souvent instrumentalisée, les esprits critiques qualifiés de "révisionnistes". À partir de faits et non de chimères dont veulent nous persuader les écologistes, l’auteur dénonce le sectarisme des adeptes de cette nouvelle religion. Ainsi, pourquoi interdire à brève échéance les moteurs thermiques qui consomment de moins en moins ? Comment expliquer cette rage envers les OGM ? Savent-ils que l’hydrogène n’est pas encore au point pour propulser avions et bateaux ? Quant au nucléaire, pourquoi ne pas reconnaître que cette énergie rejette le moins de gaz à effet de serre dans le monde ? Faut-il vraiment mettre à l’index tous les herbicides et autres produits phytosanitaires ? Et surtout, comment des croyances sans preuves peuvent-elles devenir des dogmes ? Jean de Kervasdoué, économiste de la santé et membre de l'Académie des technologies, répond précisément à toutes ces questions dans son ouvrage "La grande mystification - Ecologie : une imposture qui ne dit pas son nom".
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