Zooms

Zoom - Florian Philippot : « On peut obliger Macron à dégager ! »

Publiée le 27/07/2022
Florian Philippot, le président des Patriotes, n’a plus à prouver son engagement pour les libertés. Après avoir pris la tête du combat contre les vexations et l’autoritarisme sanitaire du gouvernement d’Emmanuel Macron, il exhorte les oppositions à faire pression pour démettre le gouvernement et contraindre le président à la démission. Une nécessité capitale selon Florian Philippot au regard des plaies qui se sont d’ores et déjà abattues sur la France et s’annoncent pour les semaines à venir. Les choix délirants de Bruxelles quant à la Russie et à l’énergie poussent de plus en plus d’Européens dans la précarité, pourtant, les dirigeants français embrassent la politique d’Ursula Von der Leyen pour le pire et uniquement le pire. L’abandon de la souveraineté de notre pays nous conduit ainsi dans un mur de la précarité et de l’autoritarisme ou les faits et gestes seront régis par des Pass en pagaille décidés par des mondialistes de Davos ou des Fondations de Bill Gates. Une interview de Florian Philippot sans concession qui doit pousser au réveil les derniers endormis.

Zoom - Xavier Moreau : Je conteste totalement une "iranisation" de l’économie russe !

Publiée le 26/11/2025

Xavier Moreau répond au général Mandon ! Analyste politico-stratégique et homme d’affaires installé à Moscou depuis plus de vingt-cinq ans, Xavier Moreau est le fondateur du site d’analyse Stratpol. Ancien militaire et spécialiste de la Russie, il réagit aux récents propos du général Mandon, chef d’état-major des armées, qui a alerté les Français sur le manque de force d’âme nécessaire, selon lui, pour accepter les sacrifices que pourrait exiger la défense nationale — allant jusqu’à évoquer l’idée d’"accepter de perdre nos enfants".

Xavier Moreau répond également à l’accusation selon laquelle la Russie se préparerait à agresser un pays de l’OTAN dans les trois ou quatre ans. Le fondateur de Stratpol revient longuement sur les pourparlers de paix en cours à Genève, sur l’attitude des Européens et sur la progression continue de l’armée russe le long des mille kilomètres de front, particulièrement dans l’est de l’Ukraine.

Enfin, il répond aux analyses de l’IFRI (Institut français des relations internationales), qui évoque une "iranisation" de l’économie russe - c’est-à-dire un modèle économique adoptant des caractéristiques proches de celle de l’Iran : produits obsolètes, difficultés d’innovation et orientation massive vers l’effort de guerre.