Zooms
Zoom Hommage au père henri Boulad, combattant contre l'islamisme
Le père jésuite de rite Melkite Henri Boulad s’est eteint le 14 juin à l’age de 92 ans. KHenri Boulad fut à la tête du Collège de la Sainte Famille des Jésuites du Caire. Ses homélies, ses publications, ses livres, ses conférences ont été traduites en plus de quinze langues. D’un courage exceptionnel, il a exprimé sa clairvoyance à l’égard de l’islamisme.
Après les abominables attentats survenus en Egypte le dimanche des Rameaux en 2017, le père Henri Boulad etait l’invité de TVL. Il venait de publier un sévère « J’accuse » qui avait fait grand bruit. Dans l’entretien, le prêtre égyptien, qui parcourait le monde pour éveiller les consciences endormies, dénonce l’islamisme qui, dans son pays comme partout dans le monde, s’est enferré dans un dogmatisme dont il ne parvient pas à sortir. Il désigne aussi les grandes nations occidentales qui tout en prétendant défendre les valeurs de liberté, de démocratie et de droits de l’homme collaborent activement avec un islam fondamentaliste pour des intérêts bassement économiques et financiers. Un propos de grande actualité.
Zoom - Jean-Paul Gourévitch : Les contes de fées survivront-ils à la culture de masse ?
Les contes de fées ont bercé notre enfance, mais que disent-ils vraiment de la vie, du monde et de nous-mêmes ? Dans son livre "Les contes de fées de notre enfance", Jean-Paul Gourévitch revisite cet héritage universel : des récits d’initiation où le merveilleux, le rêve et la morale préparent l’enfant à affronter le réel.
L’auteur évoque la puissance initiatique du conte comme langage symbolique par lequel les peurs, les épreuves et la sagesse se transmettent de génération en génération. Mais aujourd’hui, que reste-t-il de ce patrimoine ? Le merveilleux ne s’est-il pas effacé devant la technologie, les écrans et la fiction médiatique ? Les contes de fées peuvent-ils encore survivre à la culture de masse, au conformisme et au wokisme moralisateur qui aplanissent l’imaginaire ?
Dans cet entretien, Jean-Paul Gourévitch évoque les grandes figures du patrimoine occidental : Perrault, les frères Grimm, Andersen mais aussi Gripari, ces conteurs qui, chacun à leur manière, ont façonné notre rapport au rêve, au courage, à la justice mais aussi à l’identité.
Et si, malgré tout, la magie n’était pas perdue ? Comme le rappelle l’auteur : "tant qu’il y aura des enfants pour écouter, il y aura des contes à raconter…".
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