Zooms
Zoom - Slobodan Kostadinovic : La Serbie est sous occupation des Etats-Unis
La Serbie est victime d'une guerre de faible intensité. La raison, selon Slobodan Kostadinovic, la soumission de ses autorités politiques à Washington. L'invité du Zoom du jour, qui a traduit l'ouvrage de Miloslav Samardjic "Tragiques Pâques 1944 - Pourquoi Belgrade a vu tomber plus de bombes alliées que nazies", explique pourquoi depuis 20 ans, aucun gouvernement ne peut se former en Serbie sans l'approbation de l'ambassade des Etats-Unis à Belgrade. Selon lui, "aucun politique ne peut être élu s'il ose parler de souveraineté" : la volonté d'intégrer l'Union européenne et l'OTAN est un prérequis. A l'image du chef de l'Etat, Alexandar Vučić, que Slobodan Kostadinovic qualifie de Macron local... Notre invité évoque aussi le risque de nettoyage ethnique de Serbes par les forces spéciales de la police des Albanais du Kosovo, les affrontements armés entre migrants au nord du pays, à la frontières avec la Hongrie et la possibilité de voir la Serbie se transformer en front chaud.
Zoom - Didier Lecerf : Raspail, J-M Le Pen... ils avaient sonné le tocsin !
Ecrivain, cadre et militant nationaliste depuis plus de 40 ans, Didier Lecerf a dirigé et conçu le dernier numéro en date de la revue "Synthèse nationale" : "Ce n’est donc pas faute d’avoir sonné le tocsin". Pour les auteurs du magazine, on se voile la face sur le douloureux problème de l’immigration depuis plus de 50 ans. Et l’embrasement de tout le pays qui a marqué ces dernières semaines n’est que l’aboutissement logique des politiques menées par l’ensemble des gouvernements qui se sont succédés. Didier Lecerf, spécialiste de la droite nationale, démontre que dès le début des années 70, des voix téméraires se sont élevées en France pour dénoncer l’immigration incontrôlée. Ce furent les militants patriotes du mouvement Ordre Nouveau, puis l’immense écrivain Jean Raspail avec son roman prophétique "Le camp des saints" et le Front National de Jean-Marie Le Pen à travers de multiples campagnes électorales. Tous avaient prévenu. Ce n’est donc pas faute d’avoir sonné le tocsin !
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