Bistro Libertés
Bistro Libertés : Pierre-Yves Rougeyron au top !
L’invité d’Eric Morillot est un politologue et essayiste très écouté. Ce souverainiste de droite a aussi sa place sur le site "Front populaire" de Michel Onfray. C’est donc un homme à la fois ouvert et construit intellectuellement.
Dans cette émission consacrée aux crises intérieures (émeutes) et extérieures (Ukraine), Pierre-Yves Rougeyron donne une leçon magistrale à la bien-pensance.
Stella Kamnga, Mike Borowski, Romain Maréchal et Greg Tabibian sont les sociétaires de ce "Bistro Libertés" exceptionnel.
Au programme de cet épisode :
1) Guerre intérieure : de l’émeute à la guerre civile, il n’y a qu’un pas ?
Assiste-t-on au retour de la Stasi des anciens ? L’État peut-il restaurer l’ordre et l’autorité ? Comment régler le problème des banlieues ?
2) Guerre extérieure : peut-on éviter l’embrasement du monde ?
Quelle issue entre la Russie et l’Ukraine ? Assiste-t-on à un nouveau choc des civilisations ? Quelle doit être la place de la France dans cette nouvelle donne géopolitique ?
Bistro Libertés - Steven Gunnell : de chanteur à cinéaste
Pour cet épisode de "Bistro Libertés", Éric Morillot a invité le couple de réalisateurs du film "Sacré Cœur : son règne n’a pas de fin", dont la campagne publicitaire a été censurée par la RATP et la SNCF.
Toute la gauche wokiste est vent debout contre ce film dénoncé comme "prosélyte", qui porte sur les apparitions de Jésus à sainte Marguerite-Marie Alacoque, il y a 350 ans. Il s'ensuit une déprogrammation du film dans certaines salles. Cela n’empêche pas le film de franchir en un mois la barre des 500 000 téléspectateurs.
Lui est l’ancien chanteur du "boys band" Alliage. Avec des ventes qui dépassent à chaque fois les 500 000 unités, le groupe connaît le succès de 1997 à 1999. Puis arrive son "bug" de l’an 2000 avec un passage du statut de star à celui d’ange déchu avec à la clé la dépendance à l’alcool, la dépression et la misère. Un tournant tout relatif puisqu’il se convertit en 2000 dans l’église sainte Rita de Nice. Il est vrai que sainte Rita est la patronne des causes désespérées.
Six ans plus tard, Robert Hossein lui confie le rôle de Jésus dans "Ben Hur", puis celui de Jean-Paul II dans "N’ayez pas peur". Au même moment, Sabrina se remet d’une rupture amoureuse très difficile. Ils ont un coup de foudre et se marient dans la vie privée mais aussi dans le travail puisqu’ils fondent une société de production et réalisent des films documentaires pour KTO.
Avec Frigide Barjot, Charbel Lakis et Béatrice Rosen, ils évoquent la cathophobie en Europe.
Chaque année, la même scène se répète : crèches de Noël interdites, menaces islamistes et pressions wokistes… Dans une France culturellement catholique, les chrétiens se retrouvent de plus en plus ciblés, placés au cœur des tensions, jusqu’à devenir un marqueur idéologique que certains veulent effacer. Au même moment, le film "Sacré Cœur" explose les compteurs !
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