Zooms

[EXCLU] Didier Raoult va porter plainte pour mise en danger de la vie d’autrui contre l’ANSM

Publiée le 29/10/2020
Depuis le début de la crise sanitaire, les débats autour de l’hydroxychloroquine, une molécule utilisée dans le protocole de soins du professeur Didier Raoult, ont fleuri partout, au point de transformer une question scientifique en hystérie générale. Il y a une semaine, l’ANSM, l’agence nationale de sécurité du médicament, a refusé une RTU, une recommandation temporaire d’utilisation pour l’hydroxychloroquine à l’infectiologue marseillais. Un refus infondé selon Didier Raoult qui rappelle que la molécule est utilisée depuis des décennies. Mais sa colère ne s’arrête pas là, au contraire. En effet, face au refus de tester dans des conditions sérieuses l’hydroxychloroquine, les autorités de santé ont consenti il y a plusieurs mois à délivrer une ATU, autorisation temporaire d’utilisation, au médicament du laboratoire américain Gilead, le Remdesivir. Un médicament reconnu comme dangereux par la HAS, la Haute Autorité de Santé. Face à ce « deux poids deux mesures », Didier Raoult a donc décidé de saisir la justice en déposant une plainte pour mise en danger de la vie d’autrui contre l’ANSM. Son avocat, maître Fabrice di Vizio, nous explique cette affaire complexe.

Zoom - Guillaume Senet : Quand l’extrême-gauche s’en prend à la culture !

Publiée le 15/09/2025

"Murmures de la Cité" est un spectacle immersif, historique et grandiose, joué cet été à guichets fermés devant plusieurs milliers de spectateurs au Centre national du costume et de la scène (CNCS) de Moulins. Conçu par Guillaume Senet, il retrace près de 2 000 ans d’histoire à travers des scènes vivantes, des costumes d’époque, des projections monumentales, une composition musicale originale et la participation de centaines de figurants.

Cette réussite populaire, qui illustre le dynamisme culturel au cœur d’une région enclavée, aurait pu susciter l’enthousiasme du monde politico-médiatique local et national. Mais ce spectacle nocturne, aux allures de "mini Puy du Fou", a déclenché un véritable déferlement de haine : attaques politiques menées par un député communiste local, mobilisation syndicale de la CGT, campagnes hostiles de certains médias régionaux comme La Montagne. Violences, délations, adresses personnelles révélées, manifestation menaçante devant le domicile de Guillaume Senet, pancartes injurieuses placardées devant les maisons des promoteurs du projet… tout a été mis en œuvre pour saboter le spectacle. En vain !

Pour TVL, Guillaume Senet, jeune entrepreneur de 25 ans, revient sur ces événements. Extraordinaire de courage et de détermination, il a tenu bon face aux assauts de l’ultragauche et prépare 2026 avec une détermination intacte.