Zooms

Zoom - Alexandre Caillé : L'admirable exemple des nouveaux bâtisseurs de Dieu !

Publiée le 06/06/2024

TVL a la volonté de soutenir toutes les actions culturelles, économiques, sociales, politiques ou spirituelles de jeunes Français qui offrent leur temps et leur talent à la Défense de l’esprit français et de notre civilisation.

Aujourd’hui TVL vous propose de partir à la rencontre d’Alexandre Caillé, le dynamique délégué général de l’association SOS Calvaires. Derrière une personnalité attachante se cache le travail de milliers de bénévoles pour "remettre La Croix au milieu du village" . Avec la foi des bâtisseurs, les "fous de SOS Calvaires" comme l’écrit avec amusement Alexandre Caillé ont déjà restaurés plus de 4 000 calvaires. C’est l‘ensemble de ces exploits qui sont racontés dans un livre judicieusement intitulé : "Que La Croix demeure".

Dans cet ouvrage, Alexandre Caillé relate des dizaines d’anecdotes et évoque des points qui peuvent susciter l’étonnement et parfois l’émerveillement. On découvre, par exemple, que les restaurations de calvaires suscitent des vrais engouements populaires dans les villages et dans les villes, que l’on soit croyant ou non. Ce qui fait dire à l’auteur que finalement "les croix sont à tout le monde".

Dans cet entretien plein de vigueur et de bonheur, Alexander Caillé dessine une jeunesse qui veut revenir au siècle des actes et non au siècle des mots, au siècle des actes simples : rebâtir, boulonner, célébrer, porter sa croix et surtout... relever la tête.

Zoom Exclusif : Bruno Guillot : "J’ai exécré la société occidentale !"

Publiée le 11/11/2025

"Adieu Soulayman" est plus qu’un livre : c’est une traversée. Celle d’un jeune Belge, né dans le vide spirituel et identitaire de l’Europe actuel, qui devient imam salafiste avant de tout quitter pour retrouver sa voie. Bruno Guillot raconte comment l’appel de Dieu s’est confondu, dans sa jeunesse, avec la séduction d’une idéologie totalisante. De Charleroi à Médine, de la ferveur à la peur, il dévoile de l’intérieur les mécanismes de sa radicalisation salafiste, de son rôle de prédicateur. Son témoignage, sans haine ni rancune, mais glaçant, explore les zones grises : l’aspiration à la pureté, la quête d’appartenance, le besoin d’absolu.

Puis vient la rupture : le doute, la désillusion, la fin des certitudes. À travers son récit, c’est tout un monde qui se dévoile - celui de jeunes Européens désorientés, vulnérables aux certitudes du fanatisme. Mais c’est aussi l’histoire d’une résurrection : celle d’un homme qui choisit la conscience plutôt que la soumission. Aujourd’hui, Bruno Guillot parle avec lucidité de ce qu’il fut, de ce qu’il a cru, et de ce qu’il veut transmettre.

Adieu Soulayman, c’est le cri d’un converti à rebours, un appel à rallumer la lumière du monde. Un témoignage nécessaire pour comprendre notre temps. On ne sort pas indemne de ce voyage au cœur de l’Islam radical.