Zooms

Zoom - Bertrand Saint-Germain : Insécurité : plaidoyer pour le libre accès aux armes

Publiée le 08/02/2024

Si Robespierre rappelle qu’"être armé pour sa défense personnelle est le droit de tout homme", la bien-pensance dénonce l’accès aux armes qui garantirait le Far-West : "je ne veux pas d’un pays où prolifèrent les armes et où l’on considère que c’est aux citoyens de se défendre" (E. Macron). Les soldats suisses gardent leurs armes de guerre à leur domicile sans que le pays ne soit submergé par la violence... Et c’est en Californie, Etat le plus restrictif sur l’accès aux armes, que les tueries de masse sont les plus fréquentes. Touchant directement chasseurs, tireurs sportifs et collectionneurs, l’accès aux armes interroge, compte-tenu de la violence grandissante... "(P)rendre les armes ?", l’ouvrage de Bertrand Saint-Germain, docteur en droit et élu local, traite de toutes les questions soulevées par l’accès des particuliers aux armes.

Zoom - Stéphanie des Horts : Les Kennedy, une famille maudite ? Le cas de John et Carolyn

Publiée le 29/04/2024

Romancière, journaliste et critique littéraire, Stéphanie des Horts retrouve, dans son 11ème roman, l’Amérique des Kennedy. Elle fait, avec fougue et sans tabous, les portraits de John Kennedy junior et son épouse Carolyn. Le couple est, sur le papier, béni des dieux. Lui est "l’homme le plus sexy de la planète" selon la presse américaine et il n’a jamais cessé de collectionner les conquêtes. Elle, si belle et mystérieuse, est devenue l’égérie du couturier Ralph Lauren. Un mariage légendaire sur une île déserte et le conte de fées vire à la catastrophe. Carolyn et John se déchirent. La drogue, le sexe, la boisson, l’adultère, la politique, la presse people toxique s’en mêlent. Le couple est damné mais il ne le sait pas.

John dit : "Etre né Kennedy n’est pas une fatalité. La fameuse malédiction n’existe pas !". Et pourtant… Dans une ultime tentative pour sauver leur union, John convainc Carolyn de l’accompagner au mariage de sa cousine. Nous sommes le 16 juillet 1999. John pilote seul l’avion privé qui va les mener à la reception. Il pilote seul. Cela n’aurait jamais dû être le cas !