Zooms

Zoom - Erick et Sylvie Pétard : "Nous avons perdu nos deux filles sous les balles des terroristes"

Publiée le 24/10/2021
Le 13 novembre 2015, la vie de la famille Pétard a basculé. Anna et Marion, 24 et 27 ans, les deux filles d’Erick et Sylvie, se trouvent avec une amie à la terrasse du Carillon dans le Xème arrondissement de la Capitale. A 21h25 environ, une demi-heure avant la prise d’otages au Bataclan, une voiture s’arrête. Trois hommes armés descendent et tirent à vue. Anna et Marion seront tuées sur le coup. Commence alors pour les parents une interminable attente, rythmée de mauvais pressentiments et de bribes d’informations. Le verdict aussi injuste qu’inqualifiable tombera seulement samedi soir, avec un appel froid du ministère de l’Intérieur : "Je suis désolée, vos filles font partie des victimes des attentats". Cette phrase fait basculer pour toujours la vie de Sylvie et Erick Pétard. Une vie de parents aimants dont la plus grande joie était d’offrir une belle vie à leurs deux chères filles à force de travail. Après l’indicible, ils racontent l’attitude des autorités qu’ils tiennent responsables d’avoir laissé commettre de tels attentats meurtriers. Ils expliquent pourquoi ils se tiennent éloignés des hommages nationaux comme du procès des attentats du 13 novembre. Sylvie et Erick Pétard racontent aussi comment ils survivent à la disparition de leurs deux filles, en vivant avec elles par la prière, avec l’espérance de les retrouver un jour. Un entretien bouleversant de pudeur.

Zoom - Michel Fize : Macron, une personnalité pathologique ?

Publiée le 29/12/2025

S'appuyant sur les travaux des trois grands psychanalystes Freud, Adler et Jung, le sociologue Michel Fize nous livre, dans Le Roi "brindezingue", une analyse fine, méthodique, argumentée de la psychologie d'Emmanuel Macron. L'auteur met l'accent sur les capacités de "zinguerie" de l'actuel président : décisions erratiques, contradictoires, irrationnelles, tardives, et montre que, faute de pouvoir prouver la folie d'Emmanuel Macron, l'on peut affirmer qu'il est désormais fondamentalement dangereux. Son "désir d'être en haut est à ce point exacerbé que cet homme "un peu névrotique, un peu psychopathe, un peu pervers, un peu mégalomane" ne reculera devant rien pour asseoir sa "mégalothymia" - fut-ce en entraînant la France et ses enfants dans une guerre qu'ils n'auraient pas voulue...