Zooms

Zoom - Erick et Sylvie Pétard : "Nous avons perdu nos deux filles sous les balles des terroristes"

Publiée le 24/10/2021
Le 13 novembre 2015, la vie de la famille Pétard a basculé. Anna et Marion, 24 et 27 ans, les deux filles d’Erick et Sylvie, se trouvent avec une amie à la terrasse du Carillon dans le Xème arrondissement de la Capitale. A 21h25 environ, une demi-heure avant la prise d’otages au Bataclan, une voiture s’arrête. Trois hommes armés descendent et tirent à vue. Anna et Marion seront tuées sur le coup. Commence alors pour les parents une interminable attente, rythmée de mauvais pressentiments et de bribes d’informations. Le verdict aussi injuste qu’inqualifiable tombera seulement samedi soir, avec un appel froid du ministère de l’Intérieur : "Je suis désolée, vos filles font partie des victimes des attentats". Cette phrase fait basculer pour toujours la vie de Sylvie et Erick Pétard. Une vie de parents aimants dont la plus grande joie était d’offrir une belle vie à leurs deux chères filles à force de travail. Après l’indicible, ils racontent l’attitude des autorités qu’ils tiennent responsables d’avoir laissé commettre de tels attentats meurtriers. Ils expliquent pourquoi ils se tiennent éloignés des hommages nationaux comme du procès des attentats du 13 novembre. Sylvie et Erick Pétard racontent aussi comment ils survivent à la disparition de leurs deux filles, en vivant avec elles par la prière, avec l’espérance de les retrouver un jour. Un entretien bouleversant de pudeur.

Zoom - Guillaume Senet : Quand l’extrême-gauche s’en prend à la culture !

Publiée le 15/09/2025

"Murmures de la Cité" est un spectacle immersif, historique et grandiose, joué cet été à guichets fermés devant plusieurs milliers de spectateurs au Centre national du costume et de la scène (CNCS) de Moulins. Conçu par Guillaume Senet, il retrace près de 2 000 ans d’histoire à travers des scènes vivantes, des costumes d’époque, des projections monumentales, une composition musicale originale et la participation de centaines de figurants.

Cette réussite populaire, qui illustre le dynamisme culturel au cœur d’une région enclavée, aurait pu susciter l’enthousiasme du monde politico-médiatique local et national. Mais ce spectacle nocturne, aux allures de "mini Puy du Fou", a déclenché un véritable déferlement de haine : attaques politiques menées par un député communiste local, mobilisation syndicale de la CGT, campagnes hostiles de certains médias régionaux comme La Montagne. Violences, délations, adresses personnelles révélées, manifestation menaçante devant le domicile de Guillaume Senet, pancartes injurieuses placardées devant les maisons des promoteurs du projet… tout a été mis en œuvre pour saboter le spectacle. En vain !

Pour TVL, Guillaume Senet, jeune entrepreneur de 25 ans, revient sur ces événements. Extraordinaire de courage et de détermination, il a tenu bon face aux assauts de l’ultragauche et prépare 2026 avec une détermination intacte.