Zooms
Zoom - Général Henri Roure : Les États-Unis ont ravagé l’Occident
Dans son dernier ouvrage "Dieu n’a pas béni l’Amérique" publié aux éditions Sigest, le général issu des troupes de marine Henri Roure livre un constat implacable sur l’obsession hégémonique des Etats-Unis. Il revient sur ces techniques bien rodées pour s’imposer au monde, depuis ce "charcutage géographique" qui façonne les frontières à la prédation territoriale à l’œuvre en Ukraine avec BlackRock.
Dans un texte précis et efficace, le général Henri Roure décrit les outils de domination mis en place par Washington, depuis l’omniprésence du dollar et de la langue anglaise, à l’extra-territorialité du droit américain en passant par des agents d’influence répartis partout sur le globe, à l’image des 800 bases militaires. Le Forum de Davos, la Trilatérale, Bilderberg, l’Open Society, le Dolder Group, mais aussi la CIA et bien d’autres officines sont à pied d’œuvre pour imposer leurs intérêts. Des intérêts qui, bien que dictés depuis Washington, sont loin de servir la population américaine, laquelle subit un déclassement économique, social, sécuritaire et sanitaire depuis des années, au point de pousser les États-Unis vers un déclin qui pourrait entraîner définitivement notre pays, dépourvu de sa souveraineté par la trahison de ses élites.
Zoom Exclusif : Bruno Guillot : "J’ai exécré la société occidentale !"
"Adieu Soulayman" est plus qu’un livre : c’est une traversée. Celle d’un jeune Belge, né dans le vide spirituel et identitaire de l’Europe actuel, qui devient imam salafiste avant de tout quitter pour retrouver sa voie. Bruno Guillot raconte comment l’appel de Dieu s’est confondu, dans sa jeunesse, avec la séduction d’une idéologie totalisante. De Charleroi à Médine, de la ferveur à la peur, il dévoile de l’intérieur les mécanismes de sa radicalisation salafiste, de son rôle de prédicateur. Son témoignage, sans haine ni rancune, mais glaçant, explore les zones grises : l’aspiration à la pureté, la quête d’appartenance, le besoin d’absolu.
Puis vient la rupture : le doute, la désillusion, la fin des certitudes. À travers son récit, c’est tout un monde qui se dévoile - celui de jeunes Européens désorientés, vulnérables aux certitudes du fanatisme. Mais c’est aussi l’histoire d’une résurrection : celle d’un homme qui choisit la conscience plutôt que la soumission. Aujourd’hui, Bruno Guillot parle avec lucidité de ce qu’il fut, de ce qu’il a cru, et de ce qu’il veut transmettre.
Adieu Soulayman, c’est le cri d’un converti à rebours, un appel à rallumer la lumière du monde. Un témoignage nécessaire pour comprendre notre temps. On ne sort pas indemne de ce voyage au cœur de l’Islam radical.
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