Zooms
Zoom - Patrick Gofman : Pour en finir avec la mythologie trotskiste
Ancien trotsko-lambertiste, Patrick Gofman publie une nouvelle édition de « Le trotskisme dégénéré ». Depuis 1938, le trotskisme et ses mille chapelles se présente comme la direction alternative du prolétariat révolutionnaire mondial. Et pourtant , la chaloupe de cette idéologie nuisible a coulé dans un immense naufrage, en même temps que le paquebot stalinien. Comme le rappelle d’ailleurs l’auteur : « Le stalinisme, c’est le massacre de l’homme par l’homme. Le trotskisme, c’est le contraire. ».
Patrick Gofman décrit avec précision, références, humour et cruauté, les dégénérescences parallèles des staliniens et des trotskistes, leur choc fatal avec l’iceberg de l’Histoire, leurs gargouillis à travers leurs derniers rejetons : Melenchon, Panot, Quattenens et quelques autres.
Zoom - Jean-Paul Gourévitch : Les contes de fées survivront-ils à la culture de masse ?
Les contes de fées ont bercé notre enfance, mais que disent-ils vraiment de la vie, du monde et de nous-mêmes ? Dans son livre "Les contes de fées de notre enfance", Jean-Paul Gourévitch revisite cet héritage universel : des récits d’initiation où le merveilleux, le rêve et la morale préparent l’enfant à affronter le réel.
L’auteur évoque la puissance initiatique du conte comme langage symbolique par lequel les peurs, les épreuves et la sagesse se transmettent de génération en génération. Mais aujourd’hui, que reste-t-il de ce patrimoine ? Le merveilleux ne s’est-il pas effacé devant la technologie, les écrans et la fiction médiatique ? Les contes de fées peuvent-ils encore survivre à la culture de masse, au conformisme et au wokisme moralisateur qui aplanissent l’imaginaire ?
Dans cet entretien, Jean-Paul Gourévitch évoque les grandes figures du patrimoine occidental : Perrault, les frères Grimm, Andersen mais aussi Gripari, ces conteurs qui, chacun à leur manière, ont façonné notre rapport au rêve, au courage, à la justice mais aussi à l’identité.
Et si, malgré tout, la magie n’était pas perdue ? Comme le rappelle l’auteur : "tant qu’il y aura des enfants pour écouter, il y aura des contes à raconter…".
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