Zooms
Zoom - Philippe de Laitre : Saint-Exupéry, portrait d’un vrai anticonformiste
Passionné de littérature et admirateur de Saint-Exupéry, Philippe de Laitre nous livre dans "Saint-Exupéry - Au-delà du Petit Prince", le portrait touchant d’un anticonformiste. Car Antoine de Saint-Exupéry est un paradoxe. De tradition chrétienne, il admire Nietzsche. Aventurier, il chérit son foyer. On lui prête une certaine candeur… c’est oublier sa mélancolie profonde, qui l‘engage dans une quête de sens. Il en trouvera dans l’action collective de l’aérospatiale et plus tard, dans les remous de la Seconde guerre mondiale.
Pour Phillipe de Laitre, Saint-Exupéry souffre d’un malentendu. Critique de la démocratie libérale, sceptique envers les valeurs de la République, on a fait de lui un héros de la nation. Contempteur du matérialisme, on a imprimé son effigie sur un billet de banque. Nostalgique du monde pré-moderne, son livre le plus désenchanté, "Le Petit Prince", est devenu une entreprise florissante qui multiplie les produits dérivés. Tout au long du livre, l’auteur cherche à faire tomber ce "Saint-Ex" qui ne lui ressemble pas pour mieux nous permettre de redécouvrir le héros, le penseur, le poète.
Zoom - Claude Chollet : L’ARCOM représente l’extrême-centre liberticide !
Claude Chollet, président de l’Observatoire du journalisme, est également l’animateur de l’émission hebdomadaire "Portraits piquants", diffusée sur YouTube et en fin de magazine "I-Média", présenté par Floriane Jeannin et Jean-Yves Le Gallou.
Invité sur TVL, il passe en revue plusieurs sujets d’actualité médiatique. Il analyse notamment le changement de paradigme provoqué par l’arrivée de Donald Trump et J.D. Vance à la Maison Blanche. Il évoque également "la brise" de liberté qui souffle en France, malgré les décisions de l’ARCOM, dont il prône la suppression au profit d’une entité de régulation réellement neutre.
Claude Chollet critique par ailleurs les dérives du service public de l’audiovisuel et propose une réforme radicale : permettre à chaque foyer fiscal d’attribuer librement l’équivalent de la redevance audiovisuelle – actuellement financée par la TVA – au média de son choix. La possible fin d’une injustice pour la presse alternative. Qui ne dispose d’aucun financement.
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