Zooms
Zoom - Professeur Christian Perronne : 4 ans après, la vérité ?
Il a été l’une des personnalités les plus calomniées durant la crise sanitaire. Le professeur Christian Perronne, fort d’une longue expérience autant dans les institutions sanitaires que dans le milieu hospitalier, a osé affronter la doxa. Qu’il s’agisse des questions de traitements de la maladie à la vaccination expérimentale à partir de l'ARN messager, ce franc-tireur n’a jamais hésité à affronter la doctrine imposée par les pouvoirs publics. Ce nouveau livre, "Le Réveil 4 ans après", est le résultat des entretiens entre l’ancien patron du service de maladies infectieuses de l’hôpital de Garches, et Stéphane Chatry à l’occasion d’un programme diffusé sur YouTube puis censuré… L’occasion pour les Editions Guy Trédaniel de publier un ouvrage qui revient aux sources et explique le parcours du professeur Perronne, de ses premiers pas à la folie sanitaire que nous avons connue.
Zoom - Bernard Wicht : La guerre sans Etats ? Mercenaires, gangs et auto-défense
Bernard Wicht est expert en stratégie militaire, enseignant à la faculté des sciences politiques de l’Université de Lausanne, en Suisse (université de Lausanne). Auteur de nombreux ouvrages, il présente "Guerre en Europe : Gangs contre Milices privées" publié par les éditions Jean-Cyrille Godefroy dans la collection Le Cercle Aristote dirigée par Pierre-Yves Rougeyron.
Dans cet entretien, Bernard Wicht explique comment guerre et Etat restent deux concepts étroitement liés, reprenant la célèbre formule de Charles Tilly : "la guerre fait l’Etat et l’Etat fait la guerre". Bernard Wicht montre que l’effondrement ou la prise de distance de l’Etat entraîne des conflits de plus en plus décentralisés (insurrections, terrorisme, gangs armés). Il s’appuie sur la théorie de l’effondrement de Joseph Tainter pour souligner qu’au-delà d’un certain point de complexité "le retour marginal sur investissement diminue", conduisant inévitablement à la rupture d’un système social.
Bernard Wicht évoque également la privatisation du conflit avec la montée du mercenariat et des sociétés militaires privées qui reflète une "libéralisation de la défense" face au monopole étatique de la violence en voie de délitement, multipliant les acteurs belligérants hors du contrôle des Etats. L’auteur questionne également les questions de "Capital guerrier" et d’autodéfense, estimant que les jeunes générations ne se mobilisent plus pour l’armée ni l’Etat, mais migrent vers des milices ou réseaux marginaux. La perte de sens collectif et la "guerre par procuration" en découlent.
Bernard Wicht conclut sur la nécessité pour chacun de se préparer à l’autodéfense pour parer à l’impuissance d’un Etat qui a déjà renoncé à assurer la sécurité de ses populations.
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