Zooms
Zoom - Serge Federbusch : Macron dépassé : le Système cherche un nouveau champion
A la rivalité entre communisme et capitalisme a succédé depuis 40 ans une myriade de conflits marqués par des antagonismes religieux et nationaux sur fond d'anxiété climatique et de dérives généralisées des budgets étatiques. Guerre en Ukraine et à Gaza ; tension entre la Chine et Taïwan ; sourde rivalité entre les Etats-Unis et l'Empire du milieu ; emballement des dettes publiques ; paralysie européenne ; exacerbation des haines entre factions au pouvoir dans les pays occidentaux ou propagation de l'incompréhension radicale des déséquilibres contemporains. Elle frappe les élites autant que les masses. Dans son ouvrage "Le sabre et l'esprit - Comprendre le nouveau désordre mondial", Serge Federbusch met en lumière l'opposition entre le modèle de l'Etat-Providence et celui de la mondialisation, principal facteur explicatif des désarrois planétaires actuels. Au terme d'une brillante étude, il nous livre des clés nouvelles pour apprécier l'état du monde, la montée actuelle des périls et la façon d'y faire face.
Tags : serge federbusch, tvlibertés, pierre bergerault, trump, états-unis, occident, dette, déclin, révolution, mondialisation, paix, guerre, état providence, famille, religion, autoritarisme, démocratie, régimes autoritaires, progressisme, dictature, orban, illibéralisme, climat, terrorisme, pandémie, peur, communautarisme, entreprise, état, protectionnisme, isolationnisme, entreprises, dépenses, militaire, union européenne, macron, oligarchie, dette, banqueroute, bureaucratie, chine, pétrole,
Zoom - André Perrin : Wokisme : les contorsions du progressisme
Parler du wokisme, c’est s’exposer immanquablement à l’objection selon laquelle on parle de quelque chose qui n’existe pas : "Le wokisme n’existe pas", c’est une "obsession française", selon le journal Le Monde, une "chimère".
Woke et wokisme rejoignent ainsi au rayon des choses inexistantes la théorie du genre, le politiquement correct, l’islamo-gauchisme. En revanche, l’extrême-droite et la "fachosphère" existent bel et bien.
Dans son ouvrage "Paradoxes de la pensée progressiste", le philosophe André Perrin montre que cette sélectivité est le signe parfait des idéologues dont l’une des plus profondes convictions est qu’on peut changer les choses en changeant les mots, et ils s’y emploient en tentant d’imposer aux autres leur novlangue. L'auteur dresse un état des lieux et fait réfléchir savoureusement en pointant les multiples contradictions des idéologues qu’on peut quotidiennement voir et entendre en écoutant la radio publique et en lisant la "bonne presse".
Connexion
Afin d'utiliser cette fonctionnalité, vous devez vous connecter :