Zooms

Zoom - UE et immigration : débat tendu entre Le Gallou et Murer !

Publiée le 24/11/2022

D’un côté, Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia, dont le dernier ouvrage en date s’intitule : "La société de propagande". Face à lui, l’économiste Philippe Murer auteur de "Sortir du capitalisme du désastre". Les deux intellectuels sont venus débattre de l’immigration et répondre à ces questions : Malgré l’Union européenne, peut-on empêcher une véritable politique d’immigration ? Peut-on arrêter les flux migratoires ? On attendait un fort consensus et l’on découvre des échanges parfois très vifs et des débats tendus. La démonstration de la division entre les identitaires et les souverainistes en matière d’immigration ? La question est directement posée aux deux personnalités invitées.

Zoom - Xavier Moreau : Je conteste totalement une "iranisation" de l’économie russe !

Publiée le 26/11/2025

Xavier Moreau répond au général Mandon ! Analyste politico-stratégique et homme d’affaires installé à Moscou depuis plus de vingt-cinq ans, Xavier Moreau est le fondateur du site d’analyse Stratpol. Ancien militaire et spécialiste de la Russie, il réagit aux récents propos du général Mandon, chef d’état-major des armées, qui a alerté les Français sur le manque de force d’âme nécessaire, selon lui, pour accepter les sacrifices que pourrait exiger la défense nationale — allant jusqu’à évoquer l’idée d’"accepter de perdre nos enfants".

Xavier Moreau répond également à l’accusation selon laquelle la Russie se préparerait à agresser un pays de l’OTAN dans les trois ou quatre ans. Le fondateur de Stratpol revient longuement sur les pourparlers de paix en cours à Genève, sur l’attitude des Européens et sur la progression continue de l’armée russe le long des mille kilomètres de front, particulièrement dans l’est de l’Ukraine.

Enfin, il répond aux analyses de l’IFRI (Institut français des relations internationales), qui évoque une "iranisation" de l’économie russe - c’est-à-dire un modèle économique adoptant des caractéristiques proches de celle de l’Iran : produits obsolètes, difficultés d’innovation et orientation massive vers l’effort de guerre.