Bistro Libertés
Bistro Libertés avec Régis Le Sommier : Infos et intox sur le conflit ukrainien
Bistro Libertés spécial conflit ukrainien : Régis Le Sommier, grand reporter (Paris Match/ Sud Radio…) revient du Donbass où la guerre fait rage. Il est l’invité spécial d’Eric Morillot.
C’est son deuxième reportage sur le conflit : après celui du côté ukrainien, il revient cette fois du front au côté de l’armée russe avec des images saisissantes que nous diffusons. Qui est donc mieux placé que lui pour nous livrer un regard impartial sur cette guerre ? Comment le passage de l’autre côté a changé son point de vue ? Un témoignage poignant sur la réalité de ce conflit qui va changer votre option sur le premier événement militaire majeur de ce XXIème siècle.
La France Libre à Bistro Libertés
Pour cet épisode spécial Liberté d’expression, Eric Morillot a réuni 5 combattants de la liberté :
- Pierre Jovanovic, spécialisé dans scandales de la finance et du monde des puissants, victime d'une descente de police il y a quelques jours ;
- Hervé Moreau, le capitaine de gendarmerie le plus puni de France pour être sorti du silence ;
- Emmanuel Ostian, un grand reporter qui a couvert tous les grands conflits pendant dix ans ;
- Amélie Ismaïli, une journaliste indépendante, spécialiste des arnaques au "fact-checking" comme Conspiracy Watch ;
- Greg Tabibian, de la chaîne YouTube "J’suis pas content" dont l’humour noir, ne vous y trompez pas, sert d’habillage à des analyses beaucoup plus profondes. Il est l’archétype de l’homme libre qui s’est affranchi des barrières idéologiques.
Au programme de cet épisode :
1) Les forces de police au secours des faiblesses de l’esprit ?
A 6h du matin, les forces de police ont fait une descente au Jardin des livres, la maison d’édition de Pierre Jovanovic. Quand les mots manquent, l’intimidation devient la règle. Pierre Jovanovic témoigne.
2) Le devoir de réserve est-il obsolète ?
Pour avoir rompu son devoir de réserve, le capitaine Hervé Moreau va être l’officier de gendarmerie le plus puni de France avec un blâme du ministre des Armées, Florence Parly et 40 jours d’arrêts de rigueur. Pourquoi, ceux qui sont les principaux témoins des dysfonctionnements de la société sont-ils condamnés au silence ?
3) Peut-on sortir de l’autisme de la bien-pensance journalistique ?
Les écoles de journalisme sont des fabriques de relais d’une intelligentsia en rupture avec les aspirations populaires. Que faut-il faire pour rompre avec ce journalisme déconnecté ?
4) Fact-Checking : une vérification ou une altération des faits ?
En ne donnant qu’une vision tronquée sur la réalité des faits qui entourent un sujet, le "fact-checking" participe à désinformer le citoyen, au contraire de l’objectif qu’il prétend se donner. Rechecking est né de cette volonté de proposer un contre-fact-checking. Amélie Ismaïli nous parle de ce combat qu’elle mène au quotidien.
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