Les Conversations
Les Conversations de Paul-Marie Coûteaux n°48 - François Bousquet, une vie d'homme-Livre, entre l’admiration et l’effroi
Né à Paris en juin 1968 « au moment où tout bascule », comme il le dit lui-même en contemporain lucide de sa propre histoire, François Bousquet est un de ces intellectuels à la fois éclectiques et enracinés qui sont faits pour bâtir patiemment une œuvre. Fils de deux parents d’abord paysans dans le Rouergue avant de « monter à Paris », il installe sa vie parmi les livres, au point de devenir libraire, critique littéraire et philosophe, par dessus tout essayiste toujours confiant dans le force impérissable de l'archaïque français et européen. Très tôt il trouve ses marques dans la « Nouvelle Droite », européenne et différentialiste ( qui insiste sur les différences entre les genres, les sexes, les espèces, les peuples etc…),et plonge notamment dans l’oeuvre d’Alain de Benoist, dont il devient une sorte de bras droit, au point de diriger la revue phare du mouvement, « Eléments », Doté d'un grande ( et rare) faculté d’admirer, il sait comprendre, accompagner et prolonger quelques grands personnages auxquels il s’attache : voici évoquées les figures de l’éditeur Vladimir Dimitrijevic, du "génial bouffon" Jean-Edern Hallier, de l’avocat solaire Jacques Verges et du désormais incontournable Patrick Buisson. Le voici prêt à écrire la grande Archéologie de l’Europe dont il a l'intuition que, face à la déculturation et à l’invasion qui en découle, elle reste notre meilleure arme pour sauver l'avenir..
Les Conversations de Paul-Marie Coûteaux n°52 - Prince Jean : un roi pour la République ? (2ème partie)
Dans cette seconde Conversation (qui se comprendra mieux si l’on a vu la première, diffusée le 13 octobre dernier), le prince Jean, chef de la Maison de France, aborde quelques questions plus directement politiques, tout en gardant la prudence extrême, la simplicité et la réserve qui le caractérisent. Il revient sur ses voyages, en France et à l’étranger, sa foi profonde face à une société en décomposition, sur le sens que revêt pour lui le mot "service", la tentative du général De Gaulle de rétablir la monarchie élective, les réformes institutionnelles qui lui paraissent impératives, notamment la décentralisation, enfin sur ses relations avec les Français qu’il rencontre, sur la nécessité de restaurer la souveraineté nationale ou de renouer des relations de confiance avec la Russie. Sur l’opportunité de cette rencontre alors que nos instituions sont mises à rude épreuve, on se se reporter à la présentation de la première conversation.
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