Politique Eco
Politique & Eco n° 193 avec Pierre Jovanovic : Gilets jaunes, dette publique, pouvoir des banques
1. Révolution ou guerre civile : le résultat de la crise financière ?
- La République du mensonge - Le pouvoir exorbitant des banques - Le prix du gasoil un prétexte - Pourquoi les Français paieraient-ils pour "sauver la planète" ? - Non pas la transition écologique mais la dette - Une victoire des réseaux alternatifs face à la destruction du territoire - Le pire est à venir, augmentations de janvier, prélèvement à la source, hausse des péages - L’écologie une très bonne idée fiscale - Le quatrième pouvoir n’existe plus !2. La Ploutocratie règne en maître
- Paul Volker, ancien conseiller de Reagan :"la ploutocratie s’est emparée du monde" - Madoff, le retour via Groupama et Orange Bank - JPMorgan et le stock d’or de la Banque de France - Madame Goulard, éphémère ministre de la Défense, architecte du rapprochement JPMorgan / Banque de France - JPMorgan et la manipulation des cours, JPMorgan et le don au 93 - La banque Rothschild se sépare de sa "blanchisseuse" - Les stress tests de la BCE défavorables pour les 12 principales banques européennes - La Grèce vend ses monuments - Blackrock, l’institution financière la plus puissante (et la plus méconnue) du monde - France : l’Enarchie en question Pierre Jovanovic, "nous sommes à l’aube d’une nouvelle révolution 2.0"Politique & Eco avec Pierre Jovanovic - 2008 : Le hold-up bancaire comme solution à la crise
Privatisation des profits, socialisation des pertes... Qui sont les vrais responsables ? Tout a commencé en 2008 mais rien n’est fini, l’économie est toujours sous l’emprise des effets de cette funeste année et des pratiques du système qui y ont conduit. Une arrière-cuisine de l’entre-soi bancaire et de l’Etat profond. La crise a débuté, comme d’habitude, outre-Atlantique et le degré de dépendance de l’économie mondiale aux Etats-Unis en fera une crise mondiale. La cause de ce désastre étant la fameuse crise des subprimes. Celle-ci devait se limiter strictement aux banques américaines, selon Alain Minc, constant dans l’art de formuler des professions foireuses.
Mais la question se pose : peut-on croire que des prêts incertains accordés à des ménages peu solvables soient la seule explication ? De surcroit ces prêts étaient garantis par des organismes proches de l’Etat (Fanny Mae et Freddy Mac) ou bien appuyés sur un CDS (Credit Default Swap), une assurance qui remboursait le prêteur à la place du ménage, produit titrisé éminemment toxique. Ces prêts accordés avec une intention sociale au bénéfice de minorités ethniques sont-ils la cause de la crise mondiale ?
Le président de Goldman Sachs, Hank Paulson, sera nommé secrétaire au trésor par George Bush et c’est lui qui va organiser, le hold-up sur les ménages et la plus grande vague de pauvreté qui s’en suivra.
Pierre Jovanovic, journaliste financier, lève le voile sur l'un des plus grands scandales financiers de l'histoire du capitalisme dans son ouvrage "2008" publié aux Jardin des Livres.
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