Politique Eco

Politique & Eco n° 191 avec Eric Doutrebente : Face à la crise financière, savoir raison garder

Publiée le 12/11/2018
Olivier Pichon reçoit Eric Doutrebente, président de la Financière Tiepolo. 1) Une société financière patrimoniale et indépendante - Eric Doutrebente et la Financière Tiepolo. Une gestion privée indépendante des banques et des compagnies d’assurance - Une dimension humaine, un travail d’équipe - Les enjeux d’argent contre l’humanisation - La parabole des talents : 1=5 ! - Toujours le long terme - Pourtant octobre 2018 fut un octobre noir - Analyse des baisses, le luxe, l’équipement automobile... - Penser aux enfants et aux petits-enfants - Assurer la liquidité pour faire face aux changements de vie - Cotés ou non cotés ? - Penser en cette fin d’année aux dons aux œuvres, prévoir les mandats de protection future 2) La financière Tiepolo et la macro-économie - La question des taux d’intérêts - Italie, Brésil, USA, mesure des risques et des chances - Taux d’intérêts et rachats de ses propres actions, W. Buffet - Acheter à la baisse, s’endetter avec les taux d’intérêts bas - Analyses des classes d’actifs : les obligations, l’immobilier, le CAC avec les dividendes - Le problème des résidences secondaires. - L’or : Mammon brille dans le désert, la « relique barbare » de Keynes 3) Qui n’a pas vendu, n’a pas perdu ! - Les valeurs moyennes, piliers de l’épargne patrimoniale - Des valeurs de croissance bien gérées - Une prise de bénéfice en octobre ? - Nouveaux métiers et start up - L’importance des métiers de brevets des hommes - Veille concurrentielle - Exemples volatilité et performances, Vallourec Technip, trop volatiles - Quelques exemples de pépites : des valeurs françaises à l’international - Insécurité fiscale ou pas ? - Pourquoi les Français sont-ils si réticents à l’investissement boursier ? - La politique de Macron pour favoriser l’investissement vise la baisse du chômage : quels résultats ? Conclusion : La finance doit rester de l’ordre des moyens et en toute chose rechercher la mesure.

Politique & Eco avec Marc Gabriel Draghi - Monnaie numérique : la réinitialisation des banques centrales ?

Publiée le 19/05/2025

Les monnaies numériques de banques centrales (MNBC) ont-elles du plomb dans l'aile en Occident ? En Europe, l’euro numérique ne sera pas pour octobre prochain comme on a pu le comprendre avec une annonce de la présidente de la BCE, Christine Lagarde. La BCE n’a en réalité donné aucune date de lancement officielle. Rien n'indique d'ailleurs que son lancement se fera un jour. Outre-Atlantique, le 23 janvier dernier, Donald Trump a signé un décret interdisant à la Réserve fédérale de continuer ses travaux en vue d’émettre un dollar numérique. 

Néanmoins, des centaines de banques centrales à travers le monde continuent leurs travaux en vue d'émettre leur MNBC. La Chine a en effet déjà lancé son yuan numérique et la Russie de Poutine, exclue de SWIFT (plateforme de messagerie des paiements internationaux), prévoit le lancement de son rouble numérique pour 2027. 

- Pourquoi les MNBC sont-elles rejetées en Occident ? 

- Comment fonctionne une MNBC ? 

- Les MNBC sont-elles annonciatrices d'une fin du cash ? 

- Pourquoi les BRICS préparent-ils le lancement de leur MNBC ? 

- Cyber Polygon, exercice international de cybersécurité sous l'égide du Forum de Davos, est-il l'arme ultime pour imposer les MNBC ?

Marc Gabriel Draghi, juriste spécialisé dans l'histoire du droit et la question monétaire, l'affirme : les MNBC sont bien un outil de contrôle des populations au profit d'une 4ème révolution industrielle. Il explique également les tenants et aboutissants de la politique douanière de Donald Trump et son combat avec le président de la FED, Jerome Powel...

 

A la suite de "Politique & Eco", retrouvez la chronique financière de Philippe Béchade intitulée :"Macron face à son échec : bientôt, ce sera la faute des taux d’intérêt".  

Philippe Béchade est rédacteur en chef de La Chronique Agora et La Lettre des Affranchis aux @Publications Agora. Télécharger gratuitement le dernier rapport de Philippe Béchade.