Politique Eco
Politique & Eco n° 226 - La liberté de la presse en question : quand un rideau de fer tombe sur le Web
1) Les identitaires condamnés, Présent censuré sur Facebook
- Les identitaires contre les illégaux, opération "Defend Europe" - Une action qui ne peut pas porter à condamnation et pourtant condamnée - Au contraire, une aide à la loi puisqu’il s’agit de migrants qui violent la loi - Présent censuré sur Facebook pour publication "contraire au standard de la communauté" ! - Une règle contre le terrorisme qui se retourne contre les Français - Zuckerberg et Macron comme larrons en foire - Revanche paradoxale du journal papier sur les réseaux sociaux2) Les chances de l’information écrite en dépit des milliardaires
- Comment aider Présent ? - La classe d’âge des moins de 30 ans, une cible - Emmanuel Ratier avait vu juste sur la résistance du papier contre le numérique - Les 9 propriétaires de la presse en France - Facteurs du monopole, lois sociales de la presse et contrôle de l’opinion - Un phénomène totalement inédit : 50% de la presse contrôlée par deux personnes : B. Arnaud et X. Niel, son gendre - Un danger considérable pire que la censure d’Etat3) Comment se porte (et se comporte) la presse en France ?
- L’affaire Nice Matin - Journal de gauche dans une région de droite - Les curieux propriétaires de Nice Matin, une société belge contrôlée par le Parti Socialiste belge - Niel une fois de plus à la manœuvre contre Iskander Safa, propriétaire de Valeurs Actuelles et candidat à la reprise de Nice Matin - La PQR, presse quotidienne régionale, des difficultés, des charges supérieures à la capacité de vente - Comparaison USA-France : aux USA 95% de la presse soutenait Clinton, c’est Trump qui a été élu - Les chances de Présent, équipe restreinte, charges et coût faibles, un moyen de résister... comparaison avec l’Humanité sous perfusion ! A lire :"Présent, un défi au quotidien", le livre de Francis BergeronPolitique & Eco avec Pierre Jovanovic - 2008 : Le hold-up bancaire comme solution à la crise
Privatisation des profits, socialisation des pertes... Qui sont les vrais responsables ? Tout a commencé en 2008 mais rien n’est fini, l’économie est toujours sous l’emprise des effets de cette funeste année et des pratiques du système qui y ont conduit. Une arrière-cuisine de l’entre-soi bancaire et de l’Etat profond. La crise a débuté, comme d’habitude, outre-Atlantique et le degré de dépendance de l’économie mondiale aux Etats-Unis en fera une crise mondiale. La cause de ce désastre étant la fameuse crise des subprimes. Celle-ci devait se limiter strictement aux banques américaines, selon Alain Minc, constant dans l’art de formuler des professions foireuses.
Mais la question se pose : peut-on croire que des prêts incertains accordés à des ménages peu solvables soient la seule explication ? De surcroit ces prêts étaient garantis par des organismes proches de l’Etat (Fanny Mae et Freddy Mac) ou bien appuyés sur un CDS (Credit Default Swap), une assurance qui remboursait le prêteur à la place du ménage, produit titrisé éminemment toxique. Ces prêts accordés avec une intention sociale au bénéfice de minorités ethniques sont-ils la cause de la crise mondiale ?
Le président de Goldman Sachs, Hank Paulson, sera nommé secrétaire au trésor par George Bush et c’est lui qui va organiser, le hold-up sur les ménages et la plus grande vague de pauvreté qui s’en suivra.
Pierre Jovanovic, journaliste financier, lève le voile sur l'un des plus grands scandales financiers de l'histoire du capitalisme dans son ouvrage "2008" publié aux Jardin des Livres.
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