Politique Eco
Politique & Eco n° 239 : Les illusions économiques de l’Union Européenne
1. L’UE idiot utile de la mondialisation.
- Du berceau à la tombe il faut penser du bien de l’UE. - Quand l’UE n’est pas l’Europe. - L’UE un problème démocratique. - L’utopie d’un état européen. - Les coûts de l’Europe, tout compris plus de 50 milliards. - On ne réforme pas de l’intérieur. - La divergence non la convergence, le cas des pays de l’Est. - Concurrence sociale et fiscale, le Luxembourg de M. Junker champion de l’optimisation fiscale ! - La Doxa européenne efficace contre la dissidence.2. L’Union Européenne nous protège-t-elle ?
- Le tarif extérieur commun une passoire ! - Etude comparée des taux douaniers Chine USA, Inde UE. - La libre circulation interne et externe des capitaux, feu vert pour les délocalisations. - L’affaire Alstom, une trahison ! - Le Brexit l’apocalypse ne se produira pas. - Brexit, l’euro fanatisme redoute le précédent britannique. - Probable augmentation de la contribution française. - Le mythe de la taille critique : ces petits pays qui réussissent hors et dans l’UE.3. L’Euro devait nous apporter la croissance.
- La zone euro : le plus faible taux de croissance mondiale. - Le déficit commercial français, l’euro surévalué pour la France. - Le chômage variable d’ajustement en l’absence de dévaluation monétaire, une dévaluation interne. - L’évolution du mark multiplié par plus de trois. - L’endettement public dans l’UE. - Les arguments faussement apocalyptiques des euro fanatiques. - La sortie de l’UE ne peut être qu’unilatérale, pas de négociations possibles. - La presse au service de la doxa européiste.Politique & Eco avec Pierre Jovanovic - 2008 : Le hold-up bancaire comme solution à la crise
Privatisation des profits, socialisation des pertes... Qui sont les vrais responsables ? Tout a commencé en 2008 mais rien n’est fini, l’économie est toujours sous l’emprise des effets de cette funeste année et des pratiques du système qui y ont conduit. Une arrière-cuisine de l’entre-soi bancaire et de l’Etat profond. La crise a débuté, comme d’habitude, outre-Atlantique et le degré de dépendance de l’économie mondiale aux Etats-Unis en fera une crise mondiale. La cause de ce désastre étant la fameuse crise des subprimes. Celle-ci devait se limiter strictement aux banques américaines, selon Alain Minc, constant dans l’art de formuler des professions foireuses.
Mais la question se pose : peut-on croire que des prêts incertains accordés à des ménages peu solvables soient la seule explication ? De surcroit ces prêts étaient garantis par des organismes proches de l’Etat (Fanny Mae et Freddy Mac) ou bien appuyés sur un CDS (Credit Default Swap), une assurance qui remboursait le prêteur à la place du ménage, produit titrisé éminemment toxique. Ces prêts accordés avec une intention sociale au bénéfice de minorités ethniques sont-ils la cause de la crise mondiale ?
Le président de Goldman Sachs, Hank Paulson, sera nommé secrétaire au trésor par George Bush et c’est lui qui va organiser, le hold-up sur les ménages et la plus grande vague de pauvreté qui s’en suivra.
Pierre Jovanovic, journaliste financier, lève le voile sur l'un des plus grands scandales financiers de l'histoire du capitalisme dans son ouvrage "2008" publié aux Jardin des Livres.
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