Politique Eco

Politique & Eco n°365 avec Philippe Béchade - Bientôt l'état d'urgence monétaire ?

Publiée le 21/11/2022

Tout commence avec les Midterms. Biden (où plutôt ceux qui le manipulent) est condamné à la cohabitation avec les Républicains. Conséquences : une rhétorique sans doute moins guerrière à l’égard de la Chine. Pendant ce temps, la Chine revend à l’Europe le gaz russe que celle-ci prétend refuser en raison de la guerre en Ukraine, tandis que le pays est sous perfusion d’argent occidental depuis Maïdan. 

Pour l’heure, c’est la hausse des taux et la fin de l’argent magique mais les marchés sont dans l’attente d’une grande décision de la Banque fédérale. Cette hausse se produit dans un contexte de récession pour lutter contre l’inflation : comment faire du profit lorsque les dividendes sont à 2% et les taux à 5% ? 

Avec le QE, les investisseurs ont acheté n’importe quel actif de basse qualité, mais nous connaissons la plus forte inflation depuis 46 ans et la plus forte récession depuis 30 ans. A cela s’ajoutent le coût exorbitant de la transition énergétique : "une dinguerie" généralisée pour laquelle aucune prévision n’a été faite.

Mais les Banques centrale disposent d’un outil dont l’utilisation est annoncée : tout convertir en monnaie numérique avec un retour de l’argent magique avec des pertes pour les épargnants (25%) et des menaces sur les retraites. Que vaut en effet l’euro ? La perte de confiance est possible, surtout si la situation sociale se dégrade consécutivement à l’inflation. Une situation potentiellement explosive et, en prime, une société du contrôle, après le passe sanitaire, le passe climatique et le passe monétaire du contrôle de votre docilité énergétique par exemple. Un provisoire annoncé comme tel pour la nécessité du moment, mais amené à s’inscrire dans la durée.

Politique & Eco avec Pierre Jovanovic - Terrorisme bancaire, TVL, Trump, Israël

Publiée le 15/09/2025

L'administration américaine a révélé que l'équipe de Joe Biden avait expressément demandé aux banques de "débancariser" Donald Trump pour l'empêcher de se présenter aux élections.

En France, TVL et Marc Touati ont vu leur compte bancaire bloqué. En Israël, la mairie de Jérusalem a bloqué les comptes de l'église orthodoxe grecque et de son patriarche Theophilos III.

Et pendant ce temps, Larry Fink a été nommé co-président du Forum économique de Davos (avec le milliardaire suisse André Hoffman) en remplacement du PDG intérimaire de Nestlé Peter Brabeck (proche de Macron) embarqué dans le méga scandale des eaux polluées Perrier ! 

 

- La défaite de l'Europe face à Trump

Donald Trump a roulé l’Europe dans la farine avec son chantage sur les taxes. Dans une interview sur Fox-News, le Secrétaire au Trésor américain a enfin dit haut et fort : "les alliés des Etats-Unis ne sont ni plus ni moins que ses esclaves économiques, et qu’il fallait les voler en plein jour".

 

- La logique des bas salaires

En soutenant uniquement les bas salaires, la France charge depuis 30 ans la barque des managers. Un choix qu'elle paye aujourd'hui au prix fort. 

Le taux que la France est obligée de payer sur ses obligations a grimpé et met le pays inévitablement en banqueroute, comme le démontre Jean-Pierre Chevallier par son discours alarmiste : Bayrou a fait perdre 20 milliards € aux trois principales banques françaises.

 

- La France est à l'arrête à cause de la pauvreté 

Les Français boudent les restaurants et les hôtels sont vides en pleine période de vacances et Amélie de Montchalin veut massacrer les retraites. 

Et pour conclure, l’inflation n’est pas derrière nous. La vraie inflation mesurée par l’augmentation du timbre-poste.

 

A la suite de "Politique & Eco", retrouvez la chronique financière de Philippe Béchade intitulée :"Le marché a trouvé son tondeur : Lecornu".  

Philippe Béchade est rédacteur en chef de La Chronique Agora et La Lettre des Affranchis aux @Publications Agora.

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