Politique Eco
Politique & Eco n°439 avec Jacques-Marie Moranne - Climat et CO2 : décryptage d’une manipulation
On a transformé un optimum climatique, c'est-à-dire le réchauffement cyclique du climat, profitable à l’humanité, en catastrophe coûteuse qui va mobiliser des milliards en pure perte. A-t-on vu une aussi massive prise en charge de l'économie depuis les grandes dictatures du XXème siècle ? Revoici le Gosplan, l’organisme soviétique chargé de la planification.
Avec son ouvrage "Climat et CO2 : décryptage d'une manipulation", Jacques-Marie Moranne, ingénieur centralien, ancien alarmiste converti au réalisme, démonte un à un les arguments qui président à l'alarmisme ambiant sur la base du bon sens et des observations officielles. Les bienfaits du CO2 dépassent largement ses inconvénients. Et tout l'alarmisme ne repose finalement que sur des "Modèles" qui n'ont aucune crédibilité pour prévoir le climat dans 75 ans. Jacques-Marie Moranne démontre que la théorie médiatisée de l'effet de serre n’est pas fondée scientifiquement et que le doublement de concentration du CO2 ne saurait augmenter la température de plus d'une fraction de degré °C. Il faut donc chercher ailleurs les causes du réchauffement actuel et, de ceux comparables, qui l'ont précédé. Ce à quoi le GIEC se refuse. Le réchauffement minoéen, puis celui de l’empire romain, celui du Moyen-âge qui permit la construction des cathédrales et enfin le nôtre est un bienfait pour la végétation et l’alimentation des hommes.
La transition énergétique, qui doit conduire au Net Zéro Carbone pour 2050 est une utopie ruineuse, et la France n'a rien à y gagner et tout à y perdre. Une stratégie d'adaptation, plus pragmatique, serait infiniment moins coûteuse et plus efficace. En réalité, il y a derrière l’impératif de la décarbonation, une volonté de contrôle social.
Politique & Eco avec Pierre Jovanovic - 2008 : Le hold-up bancaire comme solution à la crise
Privatisation des profits, socialisation des pertes... Qui sont les vrais responsables ? Tout a commencé en 2008 mais rien n’est fini, l’économie est toujours sous l’emprise des effets de cette funeste année et des pratiques du système qui y ont conduit. Une arrière-cuisine de l’entre-soi bancaire et de l’Etat profond. La crise a débuté, comme d’habitude, outre-Atlantique et le degré de dépendance de l’économie mondiale aux Etats-Unis en fera une crise mondiale. La cause de ce désastre étant la fameuse crise des subprimes. Celle-ci devait se limiter strictement aux banques américaines, selon Alain Minc, constant dans l’art de formuler des professions foireuses.
Mais la question se pose : peut-on croire que des prêts incertains accordés à des ménages peu solvables soient la seule explication ? De surcroit ces prêts étaient garantis par des organismes proches de l’Etat (Fanny Mae et Freddy Mac) ou bien appuyés sur un CDS (Credit Default Swap), une assurance qui remboursait le prêteur à la place du ménage, produit titrisé éminemment toxique. Ces prêts accordés avec une intention sociale au bénéfice de minorités ethniques sont-ils la cause de la crise mondiale ?
Le président de Goldman Sachs, Hank Paulson, sera nommé secrétaire au trésor par George Bush et c’est lui qui va organiser, le hold-up sur les ménages et la plus grande vague de pauvreté qui s’en suivra.
Pierre Jovanovic, journaliste financier, lève le voile sur l'un des plus grands scandales financiers de l'histoire du capitalisme dans son ouvrage "2008" publié aux Jardin des Livres.
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